Crise bancaire

possibilité de faire opposition pour quelque motif que ce soit, car la loi allemande ignore la notion de provision. En définitive, ni la lettre de change, ni le chèque n'apparaissent comme des moyens de paiement très efficaces. En revanche, le virement bancaire reste le procédé le plus courant et les grandes banques allemandes sont reliées au réseau SWIFT qui assure rapidité et efficacité de traitement. Dans ce contexte défavorable, les comportements de paiement des entreprises qui sont restés satisfaisants

| |Le quotidien d’une entité bancaire en temps de crise | | | |La crise économique a-t-elle influencé la vision des employés d’une entité bancaire vis-à-vis de leur quotidien ? | |

IEP de Toulouse Mémoire de recherche présenté par Mlle Céline BEGON : Le rôle des agences de notation dans la crise de la dette européenne : Pouvoirs et insuffisances du rating souverain en zone euro. Directeur de mémoire : Stéphane COLLIAC 2011 IEP de Toulouse Mémoire de recherche présenté par Mlle Céline BEGON : Le rôle des agences de notation dans la crise de la dette européenne : Pouvoirs et insuffisances du rating souverain en zone euro. Directeur de mémoire : Stéphane COLLIAC 2011 Avant-propos

puissance économique mondiale. Pendant des années, les Pays-Bas ont disposé d'une économie de pointe, combinant des revenus élevés par habitant avec une distribution assez égalitaire des revenus. Cependant, le pays a été très durement touché par la crise internationale. Les Pays-Bas sont en récession depuis le second trimestre 2008. La croissance a été négative sur l’année 2009 et on estime qu’elle ne redeviendra positive qu'à partir de 2011. Largement dépendante du commerce extérieur, l'économie néerlandaise

sélectivité de refinancement. Cela veut dire qu’elles n’octroyées des crédits que aux personnes à capacité de remboursement ce qui fait qu’il y avait une stabilité financière car le pourcentage de risques était faible. Hors en 2009 (soit après la crise financière de 2008), les risques financiers ont énormément augmenter car les conditions d’octroie de crédit sont devenues faible, notamment avec les « subprimes » ou les institutions financières ont accordés des crédits aux ménages qui n’avait pas

Chapitre I : La gestion de la liquidité bancaire avant la crise…………...…….. Introduction ……………………………………………………………………………….…. Section 1 : Définition, généralité et sensibilité de la liquidité bancaire…………………….. I- Notion et principe ………………………………………………………………….. 1- la liquidité des banques, la liquidité de marché………………………………….. 2- identification du risque de liquidité……………………………………………… II- La sensibilité de la liquidité bancaire………………………………………………… 1- l’importance

de contourner toutes les règles prudentielles, et l'accès aux CDS n'était pas contrôlé par les pouvoirs publics. Largement vus comme une des grandes sources de la crise financière, la plus grave depuis 1929, les CDS sont dans le collimateur de ceux qui veulent affermir les réglementations et resserrer le contrôle des activités bancaires.

loi d’août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations soutient très probablement ce maintien en temps de crise, en réduisant le coût final du don pour le donateur. On sait que la fiscalité du don motive les ménages les plus aisés : ces tranches révèlent précisément dans le Baromètre 2008 un comportement à la hausse. Troisième effet possible de la crise actuelle : le recentrage des causes soutenues vers le « plus proche ». Si le palmarès des causes ne change pas dans sa hiérarchie

Les causes du déficit de la sécurité sociale La sécurité sociale, créée en 1945, est un système de protection sociale obligatoire. Il connaît des problèmes financiers importants qui se sont amplifiés avec la crise financière de 2008 puisqu’on prévoit un déficit record de 30 milliards d’euros en 2010. Pourquoi le déficit se creuse-t-il ? On peut rechercher les causes de ce déficit dans les deux éléments qui composent le budget de la Sécurité Sociale, à savoir les recettes et les dépenses

La dette publique monte si haut que le français redoute qu'elle lui tombe sur la tête sous forme d'impôt et d'inflation. Deux économistes ont examiné la chose sur 200 ans et convoqué les statistiques annuelles de 44 pays, mais rien n'y a fait: Carmen M. Reinhardt et Kenneth Rogoff n'ont pas découvert de "lien évident" entre dette publique et taux de croissance économique. Plus précisément, l'économie ne semble pas affectée par des ratios dette publique/PIB modérés (entre 30 et 90%). En