Crise de la dette dans la zone euro

dans la crise & la refonte nécessaire mais non envisageable du mandat de la BCE 6 D. Les aléas moraux engendrés 6 1. Conduite rationnelle de la BCE envers les états 7 2. Au travers des banques 7 3. Différence entre états et banques 8 E. L’Implication fiscale 8 IV. Objections 9 A. Une banque centrale, prêteur en dernier ressors : une solution faisant preuve à l'étranger 9 B. La BCE est la seule à pouvoir éviter l’effondrement du système bancaire et de la zone euro. 9 C

La crise économique européenne 1. La situation de la Grèce La zone euro est prête à débloquer un prêt de 8 milliards d’euros en faveur de la Grèce durant le mois de novembre qui fait partit d’un total de 110 milliards qui s’agissent du premier plan de sauvetage de la Grèce. Il manque uniquement l’accord du FMI (Fond Monétaire International), pour que le transfert ait lieu. Le plan prévoit aussi de modifier les salaires et le chômage va augmenter énormément, engendrant des manifestations

Synthèse A l’heure actuelle, les Etats de la zone euro cherchent à réduire la dette publique qui s’est vu fortement augmentée sous l'effet de la crise de 2007, la plupart des États économiquement développés connaissent aujourd'hui des déficits publics très importants. Dans cette situation, le déficit public peut soutenir l’économie des pays comme par exemples ceux de la zone euro. Le déficit public a de grandes influences sur la consommation de la population car pour le réduire, il faut donc

La crise grecque : L'un des pays à plus forte croissance au sein de la zone euro entre 2000, l'année qui précède l'introduction de la monnaie unique, et 2007, l'année de l'éclatement de la crise dite des « subprimes », la Grèce a été la première à plonger dans la crise de la dette souveraine. Les causes : - aujourd’hui la Grèce est en crise car elle a accumulée d’importants dettes, Elle a empruntée plus qu’elle n’en a besoin. -En 2000, afin de rejoindre la zone euro, la Grèce fournit de fausses

Etat-investisseur n’est basée sur aucune incitation juridique, car il est difficile de mettre en place une sanction pénale contre un Etat lorsque celui-ci est en cessation de paiement. L’existence de ce marché de la dette souveraine repose donc sur le fait que l’Etat est incité à rembourser sa dette, car il sait qu’un financement de déficit dans le futur n’est pas impossible. L’investisseur sait cela et c’est pour cette raison qu’il prête ses fonds à l’Etat. Néanmoins, nous savons que si ce qui sanctionne

A partir de l’exemple de la FED et de la BCE montré quels sont les objectifs et les instruments de la politique monétaire en période de crise, quels en sont les conséquences sur l’économie internationale ? Introduction Définir la politique monétaire, elle consiste à contrôler la création de monnaie donc l’injection de liquidités en fonction des besoins de l’économie. La politique monétaire à un double objectif : garantir la stabilité des prix et donc de prévenir l’inflation et favoriser la croissance

période de Crise qui dure depuis 2007-2008 les Etats européens ont connu une crise financière en premier lieu avec les banques. Malgré le fait que les pays européens n'aient pas provoqué cette crise mais ils la subissent. Mais les pays européens ne sont pas tous dans la même situation,certains subissent la Crise plus pronfondememnt que d'autres. L'Espagne et le Royaume-Uni ont connu ces dernières années un essor important du secteur de l’immobilieret de ce fait on été plus touché par la crise financière

notamment lors des périodes de crise économique. De ce fait, plusieurs interrogations subsistent : au niveau européen, quelles sont les politiques qui agissent à court terme et qui permettent d’ajuster la situation économique ? Comment s’articulent les politiques monétaires et budgétaires ? Enfin, quels sont les problèmes de coordination auxquels l’Union européenne doit faire face ? Dans un premier temps, nous aborderons la conduite de la politique monétaire au sein de la zone euro. Puis nous verrons les

L’Europe face à la crise : quels scénarios ? Eclatement, statu quo ou poursuite de l’intégration ? RÉSUMÉ La crise des finances publiques de certains Etats membres de la zone euro a replacé la question de l’intégration économique européenne au cœur des débats. Le choix semble a priori clair : d’un côté, l’évolution vers un système politico-économique de nature fédérale au niveau de la zone euro, de l’autre le repli national, potentiellement jusqu’à l’éclatement de la zone euro. Pourtant, depuis le

privilégiée avec le dollar pour l’émission de dette. L'euro a favorisé une période d'inflation modérée (compris en moyenne entre 8 et 10% dans les années 1970 et 1980, le taux d’inflation s’est établi à 3% dans les années 1990 et à 2% en moyenne entre 1998 et 2008) et une meilleure intégration économique, grâce à la suppression des risques de change et la réduction des coûts de transaction. Si l'euro se porte bien, la zone euro traverse elle une crise profonde, marquée par l'atonie de l'activité