Crise Economique La Grece

Exposé la crise Pb : Quel est l’impact de la crise souveraine sur les banques ? Intro http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/des-subprimes-a-la-dette-souveraine-autopsie-des-crises_1331601.html ->subprimes : nature, retournement du marché de l’immobilier, titrisation La nature de la crise : une crise de la dette privée Grâce aux taux très bas pratiqués par la Fed, les ménages américains ont abusé des crédits pendant toute la décennie 2000, pour acheter leurs logements. Des crédits

Introduction La Grèce est le seul pays européen qui ait plongé aussi violement dans une crise semblable aux années 30. Durant les périodes de grande crise économique ainsi que social les mouvements des électeurs sont motivé par la déception, la colère, ainsi que par l’espoir de voir apparaitre une solution différente de celle a l’essai en ce moment, l’austérité  (Politique visant à réduire la dépense publique ou à accroitre les contributions). Cela change complètement les comportement traditionnelle

en 2009 par rapport à 2008, tant dans la zone euro que dans l’Union européenne à 27, tandis que le PIB a diminué. Aucun État membre n’a enregistré un excédent public en 2009. Les déficits publics les plus élevés par rapport au PIB sont ceux de la Grèce et de l’Irlande. Les niveaux les plus bas de dette publique par rapport au PIB ont été relevés en Estonie, au Luxembourg et en Bulgarie. La dette publique est la dette de l’Etat, c'est-à-dire l’ensemble des emprunts contractés par l’Etat (obligations

Origine de la crise grecqueLa Grèce est depuis plus de 15 ans le mauvais élève de la zone euro. Comment le pays est en est arrivé là ?Remontons tout d’abord en 2001, lorsque les 11 pays de l’Euro valident l’entrée de la Grèce dans la monnaie unique. Le pays remplit alors certains critères du traité de Maastricht comme un déficit budgétaire inférieur à 3% du produit intérieur brut et une inflation sous contrôle. En passant sous l’euro, le pays peut alors profiter d’un taux d’emprunt avantageux sur

 Après six années de dépression économique, la Grèce ne semble guère en meilleure forme à présent qu'elle aborde 2014. Les perspectives de croissance pour la nouvelle année sont effectivement toutes pessimistes et négatives alors que le P.I.B. pour 2013 est de 4% inférieur à 2012. De fait, l'économie grecque se retrouve aujourd'hui amputée de pas moins de 25% de ses richesses et de ses ressources et, ce, par rapport au démarrage de cette crise. A titre de comparaison, l'économie US avait fondu

LES EVENEMENTS DE DECEMBRE 2008 EN GRECE – PERSPECTIVES HISTORIQUES Le 6 décembre, la Grèce fait les grands titres des journaux européens : des émeutes ont éclaté dans les principales grandes villes, dont Athènes. Ces émeutes sont relayées différemment selon les médias, et le vocabulaire utilisé pour les décrire est caractéristique. On a ainsi entendu parler de mouvement social, de grèves, d’émeutes, de guérilla, d’insurrection ou encore de terrorisme. La situation semble ne pas être bien connue

Etats-Unis à l’origine de la crise........5 2. La titrisation des subprimes facilite La contagion au Sein du système Financier......................................................................................................5 3. La méfiance gèle Le marché interbancaire.....................................................6 4. La faillite de Lehman brothers Sème La Panique..........................................6 5. La crise financière tourne en crise économique………………………………...6 6

des entreprises pour le Portugal. C’est surtout la Grèce qui mène ces dernières années une grande politique de rigueur avec une augmentation des taxes sur les carburants, l’alcool et le tabac, une réduction des salaires des fonctionnaires et des retraites afin de ramener son déficit budgétaire à 3% du Produit Intérieur Brut d’ici 2014. L’Europe a donc commencé à voir se multiplier les plans d’austérité à travers les PIGS (Portugal, Irlande, Grèce, Spain pour Espagne), ces pays qui ont mal géré leurs

La sortie de la zone euro de la Grèce et la dévaluation de sa monnaie Le maintien de la Grèce dans la zone Euro n’est pas selon Pascal De Lima (2012) la seule bonne solution à la crise économique. Cette situation continue à exposer le secteur bancaire, les créanciers devant être remboursés. Cela correspondrait selon l’auteur à une véritable « faillite déguisée car interne à la zone euro », entrainant une nécessité constante de recapitaliser les banques et d’avoir recours pour le pays aux prêts

cette solidarité est la mise en place de plans d'aide aux pays en difficulté. En effet, la crise économique et financière de 2008 a fortement touché l'Union Européenne et plus particulièrement quatre États membres de l'Union Européenne : la Grèce, l'Irlande, le Portugal et Chypre. Devant l'ampleur des dégâts, ces quatre pays ont été contraints de demander une aide financière pour faire face à cette crise. La collaboration de la Banque centrale européenne, de la Commission européenne et du Fond Monétaire