Critique De La Theorie Quantitative De La Monnaie

une production en petite série, plus réactive, flexible. Dans un contexte où la concurrence s'accroît les consommateurs font de la qualité un argument essentiel d'achat. - Au niveau écologique et idéologique: le mode de croissance fordiste est critiqué car il conduit à une exploitation intensive des ressources qui s'épuisent et à une pollution forte. 2. Pourquoi affirme-t-on que le PIB n’est pas un bon indicateur de développement ? Le Produit intérieur brut ou P.I.B. est défini comme étant

durable et général de hausse cumulative du niveau général des prix. Les sources de l’inflation sont très diverses, cependant, trois d’entre elles apparaissent particulièrement importantes. La théorie quantitative de la monnaie (I. Fisher) insiste sur le fait que l’inflation résulterait d’une émission de monnaie trop importante. L’inflation peut être également associée à un déséquilibre du marché. Si Keynes insiste sur l’inflation par la demande (déséquilibre entre la demande globale et l’offre globale)

du Transport et de la Logistique de Sousse. 1 1 PLAN DU COURS Introduction I. Les fonctions de comportement des agrégats/ 1. La fonction de consommation. 2. La fonction d’épargne. 3. La fonction d’investissement. 4. La demande de monnaie. II. Les modèles macroéconomiques : 1. Le modèle macro-classique. 2. Le modèle IS-LM. 3. Le modèle keynésien général ou la synthèse néoclassique. Bibliographie introductive 1- Ando, A. et F. Modigliani, “The Life-Cycle Hypothesis of Saving:

c. Le chômage technologique d. Le chômage de segmentation e. Le chômage structurel et la déréglementation du marché du travail Chapitre 02 : L’INFLATION A. Les origines de l’inflation 1. Le rôle de la monnaie et l’explication monétariste 2. L’inflation par la demande ou la théorie keynésienne de l’inflation 3. L’inflation par les coûts 4. L’inflation : phénomène structurel B. Les conséquences de l’inflation 1. Les effets bénéfiques de l’inflation 2. Les effets néfastes de l’inflation

certaine mesure quantitative du volume de la production. Afin d'effectuer des comparaisons internationales, on utilise également la parité de pouvoir d'achat, qui permet d'exprimer le pouvoir d'achat dans une monnaie de référence. Pour comparer la situation d'un pays à des époques différentes on peut également raisonner à monnaie constante. L'indicateur du PIB reste cependant imparfait comme Alfred Sauvy mesure de la croissance économique. Il est pour cela l'objet de plusieurs critiques : Il ne mesure

est négatif cela signifie qu’on a produit moins. La chine est à 10% par an. Rq : Le calcul des importations/exportations est quantifié en monnaie. Pratique/facile/source de pbs : cet indicateur de la monnaie est lui-même sujet à caution. Par exemple : 10 crayons à 1 euro, si le pris passe à 1,20 euro, c’est une augmentation monétaire mais pas quantitative. Avec les stats on est capable d’éliminer les effets de l’inflation dans les calculs (on élimine l’inflation monétaire). Euros courants : 1

l’évolution des taux de change sur les décisions des agents économiques Toute opération commerciale entre pays ne partageant pas la même monnaie donne lieu à une opération de change. Taux de change nominal : Prix d’une monnaie exprimé dans une autre monnaie, appelée devise.   Les cours des monnaies obéissent à la loi de l’offre et la demande : le taux de change d’une monnaie peut augmenter (appréciation) ou diminuer (dépréciation) par rapport à une autre.   Face à ces mécanismes de marché, les autorités

Etats-Unis : La crise peut être illustrée par un schéma cumulatif : Crise Financière → Crise Economique → Crise Sociale →Crise internationale. (Aujourd’hui en France, nous sommes entre la crise économique et la crise sociale : Avec l’apparition de la théorie du « Black Swan » (évènement inattendu qui va précipiter une crise internationale). On peut également faire un parallèle avec ce qui ce passe en Russie ou encore en Allemagne (Rf. à PEGIDA : émergence d’une extrême droite allemande populaire pour

MONNAIE Plan : Introduction générale sur l’histoire de la monnaie et celle du système bancaire. PARTIE 1 : Détermination de l’offre et de la demande de monnaie : Section 1 : Processus de création monétaire Section 2 : Les déterminants théoriques sur l’offre de monnaie Section 3 : La demande de monnaie PARTIE 2 : Le financement de l’économie L’intermédiation financière Les marchés de capitaux et la monnaie L’internationalisation du financement de l’économie PARTIE 3 : La politique

priorités. II/Friedman et la critique monétariste A_ Remise en cause de la courbe de Phillips (stagflation et la réponse de Friedman) A partir des années soixante-dix, les économies développées entrent dans une longue période de stagflation, faisant douter de la pertinence de cette courbe. L’efficacité des politiques de relance est de plus en plus contestée, elles tendent à accélérer l’inflation sans véritablement permettre une baisse du chômage. * La critique de la courbe de Phillips (ou plutôt