Critique Du Libertinage

Critique du pouvoir religieux sous Louis XIV Sous Louis XIV, au dix-septième siècle c’est la monarchie absolue du droit divin. C’est un régime politique où le roi ne partage son autorité avec personne et n’admet aucune limite à son pouvoir qu’il justifie par le droit divin. Il est choisi par Dieu et n’a de compte à rendre qu’à Dieu et doit par conséquent se plier à l’ordre religieux. Le théâtre a mis en place des stratagèmes pour contourner la censure et diverse pressions politiques et religieuses

puissance dont je vous ai vu quelquefois si étonné. Etude linéaire n°6 : Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, lettre LXXXI Eléments pour l’introduction :Qu’est-ce que le libertinage de mœurs ? Quel lien peut-on établir avec notre objet d’étude « personnages en marge, plaisirs du romanesque » ? Le terme « libertin » (du latin libertinus , esclave qui vient d’être libéré », « affranchi »)

dramaturge comédien Molière. Cette pièce est inspiré e l’œuvre Don Juan de Tirso de Molina, c’est une contre-attaque à a Cabale des Dévots après la censure de Tartuffe, en 1664. En pleine époque classique, Molière créer une pièce baroque sur le sujet du libertinage, très présent dans la société du XVIIème siècle qui reste néanmoins sensible, surtout pour l’Eglise. Dès la deuxième représentation de la pièce, Molière a joué la prudence, contre ses détracteurs, en modifiants certains passages ayant choqués le

l’Espagnol Tirso de Molina. Cette pièce nous conte les aventures d’un grand aristocrate espagnol et de son fidèle serviteur, inspiré de la comdia dell arte, Sganarelle. En pleine époque classique, Molière crée une pièce baroque sur le sujet du libertinage. Tout comme Tartuffe, Dom Juan subit rapidement la censure après quelques représentations. (accroche avec informations sur l’oeuvre) L’extrait présenté ici se situe à la fin de la scène d’exposition de la pièce. Sganaralle se lance dans une longue

progressivement réussi à rendre le théâtre légal malgré la présence importante de l’Église. Dans les scènes 1 et 2 de l’acte, 3/50 de la pièce Dom Juan, Molière défend le libertinage et le rationalisme avec la forme dramatique comique dans son œuvre, apparut en 1665. Dans les lignes qui suivent, il sera question de l’apologie du libertinage et du rationalisme des satires des médecins et de l’opposition de l’église de Molière dans la/100 pièce Dom Juan. Premièrement, le personnage Don Juan se moque de la

Dossier littéraire I- Le libertinage au XVIIème siècle a) Contexte historique: événements marquants, rois... Contexte politique Le 17ème siècle marque l'apogée du libertinage d’esprit. Être libertin, c'est remettre en cause la religion, c'est souvent contester le pouvoir royal. Aussi n'est-il pas sans danger de défendre de telles positions. Les risques sont grands. Pour les écrivains, c'est la difficulté de se faire éditer, Cyrano de Bergerac en a fait l'expérience. Ce peut être aussi l'arrestation

pour tous décrire une variété des choses (fleurs, outils, ouvriers, pâtissiers) Trois divisions des lumières : lumières optimistes, lumières militants, ? Problématisation : le roman au XVIIIe siècle un genre en quête de légimité : mal vus, critiqué, méprisé. Il n'y a que des dévots qui le critiquent même des écrivains célèbres. Voltaire les méprenait. Diderot les trouvait frivoles, dangereux pour les esprits et les mœurs. Le genre a été brièvement supprimé en 1737. le roman était le dernier

philosophique et morale: -Critique de l’optimiste métaphysique de Liebnitz. -Débat des idées de bonheur, malheur et de providence. -Le mal vient des hommes qui sont cruels et intolérants, il est dans la nature (séisme, maladie), dans les institutions, surtout religieuses. -Critique de la religion, satire des prêtres (le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin). -Dénonciation de la complicité entre le pouvoir politique et l’Eglise. -Critique de toutes formes d’injustices

préjudices. Finalement, on fera l’analyse du monde et de la société idéaux pour lesquels luttaient les Lumières. Tout d’abord, nous allons voir que les Lumières dissimulent souvent leurs indignations, leurs critiques, dans leurs écrits. Ces critiques montrent leur côté rationnel, tout en étant un cri de guerre silencieux. Pour cela nous étudierons le théâtre des Lumières, puis leurs romans et enfin l’ironie, souvent utilisée dans la littérature des Lumières. Le théâtre des Lumières

donnée à la clarté, la raison, la mesure, les codes et la morale, ainsi que l’imitation des Anciens et la fréquente référence à l’Antiquité. Molière choisit de représenter la morale sur scène mais préfère à la tragédie, la comédie, qui permet une critique des mœurs et travers de son temps. Dom Juan, qui est joué pour la première fois en 1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient de faire interdire Tartuffe. Si