Croates

Serbie, le Monténégro, la Macédoine) et de 2 régions autonomes (Vojvodine pour les Hongrois et Kosovo pour les Albanais). La RSY fut créée en 1945 au moment des accords de Yalta relatif au partage de l’Europe, par le chef de la résistance communiste croate Tito. La Slovénie devient enfin un très jeune pays indépendant avec un très long passé historique : influences ottomanes, vénitiennes et austro Hongroises. Quant à la Slovaquie, aux influences hongroises et austro-hongroises, elle devient indépendante

ce conflit sera l’illustration de la difficulté d’intervenir dans le cadre d’une guerre civile. En partant de cette hypothèse, nous allons nous intéresser au cas de la Bosnie-Herzégovine qui est un état pluriethnique dont les « nations » serbes, croates et musulmanes sont très imbriquées. Cet état rentre en guerre le 6 avril 1992 au moment de la reconnaissance de la Bosnie-Herzégovine par la Communauté Européenne. La Slovénie et la Croatie se sont déclarées indépendantes le 25 juin 1991, ce qui va

les ex-territoires yougoslaves convoités, pour ainsi purifier le territoire. La guerre civile en Bosnie : - Indépendance de la Bosnie-Herzégovine le 15 octobre 1991 où vivent 2 millions de musulmans (serbes et croates convertis à l’Islam), 1.5 millions de serbes orthodoxes et 750 000 croates catholiques. Milosevic nouveau dirigeant serbe de la nouvelle Yougoslavie veut regrouper dans un ensemble politique la totalité de la population serbe créant ainsi une guerre civile. - 1992 : échec de la Forpronu

Caucase (Arménie/Azerbaïdjan). Russie refuse indépendance de la Tchétchénie ( troupes russes depuis 1994, répressions, guerre. - Ex-Yougoslavie : 1992-1995 : S.Milosevic, pdt serbe , attise nationalismes serbe ( guerre contre croates et bosniaques (puis entre croates et bosniaques) ; violences contre les civils, purification ethnique, destruction des villes. 1994 : intervention de l’OTAN en ex-Yougoslavie. 1999 : Kosovo. Difficultés des forces internationales à protéger les populations, à imposer

révèlent : En Europe :Yougoslavie 1991-1995, un état multi-ethnique : Slovènes,Croates, Musulmans, Serbes. Il y a des répressions féroce. Milosevis Slobam est les chef du parti communiste Yougoslave , il va utiliser les revendications national Serbe quand il arrive au pouvoir et pour se maintenir, les Serbes veulent la grande Serbie, il va aider les serbes qui vivent en Bosnie à se lancer dans guerre en Bosnie. Musulman, Croates et Serbes vivent mélangé, Serbe de Bosnie se lance dans guerre de purification

ines-6-Bosneiaque-7-Serbes-8-Croates-9-Hongrois Et une séparation religieuse (Catho-musulman et orthodoxe) 1974-regime fédéral (régime automne et républicaine) =>fin des 1980/ début 1990 chut du com. et assenions des nationalismes de chaque ethnie qui est fort Conflit armes quand un état veut sortir de la fédération pour obtenir son indépendance Car minorité et territoire résident pose problème Ex : Sarajevo est en Bosnie et 3 ethnie y vivent = serbe/croate : bosniaque 1991 Slovénie

lesquelles les Serbes, les Croates, les Slovènes, les Bosniaques, et d’autres. Jusqu’aux années 80, le pouvoir communiste maintenait par la force le pays soudé. -En 1991, les Slovènes décident de quitter la Fédération yougoslave et déclarent leur indépendance, suivis par les Croates. Les Serbes, majoritaires à Belgrade, la capitale, tentent de s’y opposer par l’envoi de la force armée. Si les Slovènes se détachent rapidement de la Yougoslavie, une guerre entre Serbes et Croates s’engage. L’ONU intervient

côté des hongrois, des croates. A la différence des slovaques étaient une population qui disposait-elle aussi d’une grande légitimité historique car le royaume de Croatie avait connu l’apogée au XVIII siècle. En étant rattaché en 1102 au royaume de Hongrie, ce royaume de Croatie avait conservé ce que l’on appelle une assemblée (diète) mais aussi un banc, un gouverneur. La diète et le banc été des institutions qui en perdurant au début du XIX garantissait les droits des croates. Cela signifie que face

Puis, il est intervenu dans le débat suscité par la crise yougoslave en adoptant un point de vue farouchement pro-croate… Dans sa préface du livre La guerre comme maladie sociale et autres textes politiques de Mirko Grmek, Alain Finkielkraut parle des raisons pour lesquelles il a décidé de se mettre aux côtés de la Croatie dans les moments décisifs de l’histoire moderne croate. « Lorsqu’on fait partie d’un petit peuple négligé et menacé, on a besoin de parler en son nom. Mirko Grmek l’a fait

mais que je n’ai pas relatés correctement. En octobre 1991, au pire moment de la guerre entre Serbes et Croates, j’ai visité un hôpital, sur la ligne de front. Nous étions à Vinkovci, en Croatie : tout ce qui dépassait du sol avait été rasé, toute croix rouge sur un bâtiment ou un véhicule de l’hôpital s’était transformée en cible et avait été détruite. Dans le sous-sol, les médecins croates soignaient leurs patients — des militaires, en majorité— dont quelques Serbes. Dans mon reportage, j’avais