Croatie centrale

monétaire obligatoire à 6% en mars 2010. Ainsi, le besoin en liquidité s’est établi à seulement 4,2 milliards de dirhams à fin 2010 contre 10,6 milliards en 2009. L'année 2010 a connu également des interventions excessives et permanentes de la Banque Centrale sur le marché monétaire et ce, pour préserver l’équilibre du marché et maintenir les taux à un niveau compatible avec les objectifs de la politique monétaire. Ces interventions se sont concrétisées notamment par l’importance des opérations des avances

prêteurs donc le bénéfice des banques va diminués. Pendant la désintermédiation, la France essaie de maitriser l’inflation donc la banque centrale européennes limite la création monétaire en augmentant sont taux d’intérêt donc les banques hésite a demandé un crédit. Les banques ne sont dont plus assurées de pouvoir se refinancer auprès de la banque centrale ( document 1 ). L’autofinancement peut aussi poser problème pour les entreprises car si leur épargne et inferieur à leur investissement ils

leurs clients, et par abus de position elles se servent de la compensation pour régler leurs opérations pour propre compte, ce qui revient à tirer sur elles-mêmes, f) elles ne sont donc pas dans l'obligation d'utiliser leur compte ouvert à la Banque Centrale, et ne se privent pas de cette liberté chaque fois que cela leur est possible, c'est-à-dire le plus souvent. Les établissements financiers ne peuvent que faire circuler la monnaie, car ils sont sous la dépendance d'un compte de banque approvisionné

17/11/2012 Exercice 1 a) |7 − 3x| 11 équivaut à −11 −18 4 −3 4 − 3 Corrigé de l’IE du 15/10/12 1S1 7 − 3x −3x x x 11 4 −18 −3 6 D’où S= − 4 ; 6 3 b) 6 − x +3 0 2 x −6 équivaut à − + 3 2 x 6 +3 2 x + 3 −6 ou 2 x x −9 ou 2 2 x −18 ou x x +3 2 3 6 6 D’où S = ] − ∞ ; −18] ∪ [6 ; +∞[ Exercice 2 Résolution de l’équation f (x) = −2 où f est la fonction définie sur IR par f (x) = |2 − x| − |2x − 10| Tableau de signes : x 2−x 2x − 10 −∞ 2 + − 0 − − 0 5 − + +∞

dialogue entre partenaires sociaux. 3. Le traité de Maastricht, 1992 : la CEE devient l’Union Européenne En 1992, le traité de Maastricht crée l’Union économique et monétaire (UEM) : au marché commun s’ajoutent une monnaie unique, une Banque centrale commune et l’harmonisation des politiques économiques (politique monétaire et politique budgétaire). De plus, l’Union doit assurer le progrès économique et social, tout particulièrement dans le domaine de l’emploi. NB : il est prévu le passage

SOMMET du G20 des 18 et 19 Février 2011 Réunion des Ministres des Finances et Gouverneurs de Banques centrales. (19 Février 2011 à Paris) 1.Nous, Ministres des Finances et Gouverneurs de Banques centrales des pays du G20, nous sommes réunis aujourd’hui pour traiter des défis économiques et financiers actuels et décider des actions à mener pour mettre en œuvre les mandats que les chefs d’État et de gouvernement nous ont confiés. 2. La reprise mondiale se renforce, mais demeure inégale et les risques

combustible chauffe l’eau qui actionne une turbine qui elle même actionne un générateur puis l’eau est refroidi avec un refroidisseur Document 2 : liste des centrales nucléaires en France [pic] centrales-nucleair es-1300201997.jpg http://www.changerdeville.fr/media/thumbnail/big/carte-de-france-des- La carte représente les emplacements des centrales nucléaires en France Document 3 : effet d’une irradiation Ce sont les effets observés lorsque des radiations ionisantes interagissent avec le

fixes et changes flottants, qu’on appelle des régimes intermédiaires. Un régime de change fixe suppose la définition d’une parité de référence entre la monnaie du pays considéré et une devise ou un panier de devises, parité à laquelle la banque centrale s’engage à échanger sa monnaie. Lorsque le marché des changes est libéralisé, le respect de cet engagement impose aux autorités d’intervenir sur le marché dès que le taux de change s’éloigne de la parité établie par l’achat de monnaie nationale

l’économiste va mettre en œuvre six propositions afin de procéder au passage à une économie monétaire et concurrentielle de biens diversifiés. Pour cela il va instaurer la monnaie (l’unité monétaire étant le topik basé sur l’étalon taro) et une banque centrale. Les récoltes sont achetées par les salaires et le surplus est conservé en nature par les propriétaires, ceux-ci étaient malheureux de ne pas pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les travailleurs, c’est-à-dire de se procurer un panier de biens

conjoncturelles des pays. En c qui concerne le marché des métaux, il y aura une reprise des cours après une forte baisse observées ces derniers trimestres. Et il y aura aussi une hausse des prix des produits agricoles. II -L’impact des banques centrales et du FMI dans les perspectives de croissance Dans la zone euro, les mesures prises par les pouvoirs publics n’ont pas été suffisantes et la crise européenne s’est aggravée. Et elle continuera à s’aggravée si les pouvoirs publics n’agissent pas