Croisée du transept

façade à l’antique et recherche sur le plan centré A La coupole Marque bien l’influence antique Système de voûtement hémisphérique utilisé pour couvrir des espaces réguliers (circulaire, carré, polygonaux), couvre de petits espaces ou la croisée du transept. Soit posée sur un espace circulaire ou quadrangulaire (pendentif). Peut être fermée d’oculi (en rond comme à santa maria del fiore) sur le tambour. Coupole soit ouverte au sommet par un oculus ou couronnée par une lanterne. Santa Maria del

églises mais aussi pour le courroiement (la coupole symbolisait le cosmos). Eglise Sant’ Andrea de Mantoue(1470) Alberti : il s’agit d’une nef unique à voute en berceau, avec trois chapelles latérales à voute de même type, transept chœur a plan carré, abside semi-circulaire et croisée dotée d’une coupole à tambour, dont l’ornementation murale s’inspire de modèles antiques. La façade réalise une fusion des types de l’arc de triomphe et des façades de temple témoignant d’une volonté d’aboutir à une harmonie

voûte en pierre sera adaptée durant l’époque carolingienne. Plus spectaculaire et plus durable. Le modèle de la basilique romane est modifié pour répondre au culte chrétien. On ajoute : * transept * déambulatoire (autour de l’abside) * chapelles (greffées sur les collatéraux, sur le transept ou l’abside) Les églises voûtées se développent au IXe siècle (époque carolingienne) et à l’époque romane (XI-XIIe siècle) * Eglise Saint-Sernin, Toulouse * nef centrale : 115 x 8 m

Arcimboldo. Avant d’être appelé à Vienne par Maximilien II à la cour de Ferdinand Ier en 1562, il réalise plusieurs décors (baldaquins, vitraux,..) dont une tapisserie pour la cathédrale de Milan et travaille avec Giuseppe Meda sur un projet à fresco du transept de la cathédrale de Monza. On ne sait si il a été appelé en tant que portraitiste ou bien en tant que décorateur car Arcimboldo s’est bâtit une réputation pour ses talents de créateur de décors éphémères et de metteur en scène de fêtes grandioses

France!) sont construites avec la même disposition, de taille plus ou moins grande, mais toujours proportionnelles à ce qui suit (on y reviendra plus loin) : Oculus Sanctuaire Chapelle de Transept Bras de Transept Croisée de Transept Escalier Passage du dortoir du jardin Chapelle de SaTransept cristie Bras de Transept Salle du Chapitre Rez de chaussée : salle des moines er Armarium au 1 étage sous les combles : dortoir Galerie est du cloître Chauffoir P Nef Puits Préau (elle peut être bordée

Mais si l’on garde le plan basilical classique (et plus naturellement « orienté »), un problème architectural va se poser : il faut poser un cercle sur un carré, □ faire porter le poids de la coupole aux murs droits ou aux colonnes de la croisée des transepts… Pour cela, deux moyens sont possibles pour « racheter les angles » □ : soit on construit de petites niches (en cul de four) dans les angles du carré pour le rapprocher de l’octogone, et donc du cercle, soit on dispose un « plan », une surface

occidental. Il est suivi d’une nef à collatéraux simples. Elle est composées de 8 travées divisées en 4 travées doubles qui ne mesure pas moins de 88m de long pour une hauteur de 25m, ce qui en fait le plus haut vaisseau de l’époque. Elle est suivie d’un transept très saillant aux bras divisés en 2 travées avec sur chacun de ses bras une absidiole. Notre-Dame possède un long chevet enveloppé par un déambulatoire sans chapelle rayonnantes, évoquant le domaine ottonien. 2) Les massifs occidentaux. Les

commune à tous les rapports, reprise de la notion de modules, recherche de l’harmonie. Filippo Brunelleschi, La cathédrale de Florence, Santa Maria dei Fiore, la coupole (1420-1436), arrêt au XIVème siècle de l’élévation au-dessus de la croisée du transept, car il fallait voûter un espace de 42 m. de diamètre. On n’avait voûté un tel espace. Cathédrale liée à la politique artistique très ambitieuse de la république florentine, qui voulait élever le plus grand dôme du monde. Brunelleschi, qui

décors monumentaux à fresques. C'est le cas à Assise. À partir de 1277, il travaille dans l'église supérieure de la basilique Saint François. Il y décore les deux bras du transept, le chœur, ainsi que la voûte de la croisée du transept. Il réalise 16 fresque monumentales partant du transept nord, en passant par l'abside jusqu'au transept sud. Fresque probablement conçue par les théologiens franciscains. Cycle apocalyptique en partie mais qui s'attarde également sur les vies de Saint Pierre et Saint Paul

Saint-Pierre de Rome * L'usage du clair-obscur et des jeux de lumière : avec les progrès techniques : les baies | | | | La fresque du dôme de Saint-Ignace, vue depuis la nef elle donne l'impression qu'un vrai dôme s'élève sur la croisée du transept. | Éclairage latéral du maître -autel de la cathédrale de Klagenfurt. | Contre-jour et couleurs, église de l'Ascension de la Vierge, Kłodzko | Clair-obscur autour du maître-autel de Michaelerkirche, Vienne | Théâtralité du baroque :