Croissance Démographique à La Belle époque

 La France des années 1920 : entre ruptures et continuité ? Introduction : « Je crois que nous assistons à la fin d'un monde, d'une culture, d'une civilisation, que tout doit être remis en cause. » Telle est l'analyse de l'écrivain français André Gide au début des années 1920, concernant le profond choc provoqué par la première guerre mondiale. Celle-ci implique alors une remise en question et des bouleversements au sein des sociétés belligérantes, dont la France. Pays européen faisant

Partie 2 : (des années 1880 à la seconde guerre mondiale) Le capitalisme au XIXe est un capitalisme libéral : le marché régule l'économie, les prix, les salaires sont flexibles ; initiative privée, multitudes d'entreprises se font concurrence avec recherche du profit comme moteur ; peu d'intervention de l’État même si impulsion de départ dans certains pays. 1880-1945, marquée par deux très grandes crises : Grande dépression et crise des 30's deuxième guerre

AU VIRAGE DU XX ème SIECLE I. L'affirmation des sociétés industrielles A. Mise en place de la II ème révolution industrielle La Ière révolution industrielle (1848-1873), aussi appelée "Les Premières Trente Glorieuses" a été initiée par l'Angleterre, avec des inventions comme le charbon, l'acier ou la fabrication du gaz d'éclairage, ainsi que de nouvelles innovations telles que la machine à vapeur, qui ont permis d'augmenter

HISTOIRE DE LA SOCIETE FRANCAISE AU XXe SIECLE. R. Schor Première partie: chapitre 1 à Chapitre 12. Pour des raisons pratiques, utilisation des quelques abréviations courantes. PARTIE 1: Une Belle Époque? Belle Époque = deux ou trois décennies av 1914 (nom donné ap 1ere G.M), idéalisation du passé Chapitre 1: essoufflement démographique XIXs: France (Fr) pays le plus peuplé du vieux continent 1991: Fr au 5eme rang I) vieillissement de la population fr XIXs: déclin natalité

« La Belle Epoque » entre ombre et lumière : Citons un exemple de développement : " Cependant, le progrès ne profite pas à toutes les catégories sociales : ceux qui en profitent le plus sont la bourgeoisie et la classe moyenne urbaine, qui connaissent une période de prospérité. Ceux sont eux qui soutiennent le plus la République, car c’est la IIIème république qui a rendu l’école laïque, obligatoire et surtout gratuite : l’école est un moyen d’insertion social. L’école de la République profite

appliquée par Ford qui a compris que celle-ci pourrait lui rapporter plus. Elle fut inventé par Taylor, un ingénieur américain. C'est un meilleur moyen pour gagner de l'argent pour les employeurs tout en produisant plus : Les employés répètent toute la journée le même travail et chacun d'eux à un poste bien précis. Les tâches de conception sont séparées des tâches de réalisation et chaque employé travaille dans celle qui lui correspond (certains seront plus doués pour réfléchir à la réalisation etc

VII. LA FRANCE DE LA « BELLE EPOQUE » : UN PAYS EN RETARD ? A. Un déclin à relativiser 1. De sérieuses difficultés durant la Grande dépression a. Des handicaps naturels et conjoncturels En matière minéral et en charbon, la France été moins bien dotée que ne l’était l’Allemagne et la Grande Bretagne, surtout sur le charbon, énergie reine de l’époque. Cela ne veut pas dire que la France n’avait pas de charbon (gisements dans le Nord, Massif Central…) mais globalement

1896-1914 La Belle Époque Pays dvpés : 2%/an Croissance (environ) USA GB : GB 1918-1930 Les années folles OCDE : I (Schumpeter) fordisme métallurgie & électricité - I -> PT (6%/an) (electricité -> GP) Forts GP (3%/an ds - Hausse quant. (imm) secteurs pointes, ntm auto) & qual. (a partir 60's) I-> car : m-o a) Innovations produits - taylorisme & fordisme - Faible cout matière (voiture, ciné, aviation, (mais surtt USA) première aluminium,..) - Hausse Y -> eco échelles -> cercle vertueux D: a) Forts

RUPTURE HISTORIQUE ESSENTIELLE : L’AGE INDUSTRIEL. Un processus long longue durée qui convient à l’étude d’une civilisation : prendre la mesure de la croissance sur près d’un siècle et de la mettre en relation avec son processus d’origine : l’industrialisation. La croissance éco commande l’histoire du monde industriel entre 1850 et le début des années 1970 : production accrue et diversifiée, grâce à la mise au point de nouveaux produits et de nouveaux procédés de fabrication. Progrès réalisé

système moteur est du à W.W Rostow. Comme matériaux de base, la fonte cède la place à l’acier (Procédé Bessemer), et des matières plastiques apparaissent (fibres, produits solides) issus de l’industrie chimique. Du point de vue des structures des entreprises, les entreprises familiales cèdent en partie la place à des entreprises cotées en bourse (des sociétés anonymes). Le management devient rationnel sous l’impulsion d’ingénieurs tels que Frédéric Taylor, et Henry Ford. A- De nouvelles innovations :