Croix de fer

mondiale. L'aspect  des  joueurs n'a rien d'humain, l'un d'entre eux tient ses cartes avec le pied. Otto Dix critique ainsi la guerre, en montrant de façon choquante ses conséquences dans la société. En montrant un de ses personnages arborant la croix de fer des anciens combattants, Otto Dix dénonce également le nationalisme de certains anciens combattants qui, au lieu de tirer des leçons de la guerre, ressassent des rancœurs et refusent ainsi le pacifisme.

n’est fait que d’os, il n’a pas de peau. Ce personnage a un oeil de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage n’a pas de jambe , il est posé sur une sorte de socle en fer. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot. Sur son veston il porte une croix germanique: signe de ralliement des Allemands. Ces trois caricatures sont donc vraiment exagérées. Ils sont difformes estropiés, affreux. Au second plan trois articles de journaux

la carte avec son pied). Le fait qu’un autre porte fièrement la croix de fer à sa veste est sans doute une critique du peintre à l’égard du nationalisme excessif exprimés par certains anciens combattants allemands Le joueur de droite : Sa fausse mâchoire porte l'inscription "Prothese Marke : Dix" = « Marque de Prothèse : Dix ». Dix est le nom du peintre ; peut-être identifie-t-il ce personnage à lui-même ? Il porte la croix de fer allemande, décoration récompensant la bravoure des soldats. Il n'a

ses épaules, son dos étant cambré et ses jambes tendues au-dessus de sa tête. Elle prend généralement appui sur ses bras, positionnés au sol et alignés avec le corps ; Croix de fer : figure statique se réalisant aux anneaux, les bras à l'horizontale et perpendiculaires au tronc soutenant le reste du corps. On parle de croix de fer inversée lorsque le tronc est placé perpendiculairement au-dessus des bras ; Cubitale (prise) : prise de la barre avec paume des mains vers le haut mais en rotation inverse

aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière, grande ouverte, incendiait le carrefour, et que les peupliers, rangés en face, le long du ruisseau, fumaient comme des torches. Au loin, au milieu de la douceur de crépuscule, la cadence des marteaux sonnait à une demi-lieue, semblable au galop de plus en plus rapproché de quelque régiment de fer. Puis, là, sous la porte béante, dans la clarté, dans le vacarme

L’homme se tient sur sa chaise, on peut constater qu’il lui manque ses jambes et son nez qui est dissimulé sous un cache. Sa mâchoire est de fer et son bras est une prothèse de bois. Ce qui nous laisse supposer qu’il a perdu ses membres à la guerre. Sur sa veste il a la croix de fer qui est accrochée, il s’agit d’une décoration militaire allemande qui était considérée comme un honneur ce qui nous indique qu’il s’agit d’un ancien combattant de la première guerre

personnages, il y a : - Un homme avec une veste bleue sans jambes et avec un bras mécanique. tient ses cartes avec une main droite articulée et sa main gauche. Il n’a plus de jambes et repose sur un socle en fer. Le sexe est apparent, il a même perdu sa dignité. Il porte la Croix de Fer - Au milieu il y a un homme, ayant des jambes mais en bois, qui tient ses cartes dans sa bouche et ayant partie du crâne greffé. Sur cette greffe on voit une femme, gravée comme un symbole de d’un souvenir personnel

de boîtes rouillées se trouve à l’entrée, il coupe le visiteur de l’effervescence de la ville, de la circulation. Il s’annonce comme un basculement d’un univers quotidien dans un tout autre univers. Ces boîtes de biscuits qui le constituent sont en fer, utilisées depuis longtemps dans le langage plastique de Boltanski, elles portent en elles-mêmes les traces du temps. Les tâches d’oxydation sont les marques des années dans la matière. Elles parlent des petits secrets de chacun, quand enfant, on y

Résumé I) L’art nouveau Au cours du XVIIIe siècle, le développement de l’industrialisation généralisa l’utilisation du fer et de l’acier, qui facilitèrent et accélèrent la construction. Au XIXe siècle, architectes et ingénieurs imaginèrent les premières structures entièrement en acier permettant de construire des bâtiments vastes et hauts, en un temps record (la Tour Eiffel ...) À la fin du XIXe siècle, on s’éloigne du style classique. Architectes et décorateurs créent un style qui joue

étage présentent un avant-corps souligné de garde-corps en fer forgé ouvragé. Le portail en bois à claire-voie est une copie de celui du XVIII ème siècle. Hôtel Fouteau-Dutertre : Cet hôtel du début du XVIIIème siècle est une belle construction sous Louis XV, propriété en 1812 de la veuve de Fouteau-Dutertre. Sa façade galbée et le comble brisé de la toiture en font l'un des joyaux de l'architecture de la ville. Situé rue Sainte-Croix, l'hôtel de l’Hermitte du Landais appartenait à une riche