Croyance Universelle

se consacra ensuite à la philosophie et à la morale. C’est à cette époque qu’il rédigea ses « Pensées ». Blaise Pascal dit qu’il y a folie lorsque l’on n’emploie que la raison en excluant nos autres facultés humaines : nos sentiments, nos croyances, notre sensibilité, notre instinct, nos émotions… ou, à l’inverse, que l’on ne fait appel qu’à nos facultés citées ci-dessus, sans utiliser la raison. Notre réflexion partira d’une tentative de définir ce qu’est la raison. A partir de là,

affirmer que la vérité est absolue, c'est-à dire invariable, unique, complète, universelle ? Si oui ceci voudrait dire qu'il y a qu'une seule vérité pour n'importe quelle personne. Mais on peut aussi se demander comment démontrer une vérité relative, vérité qui varie d'un individu à un autre ? Pour tenter d'éclaircir ce problème, nous aborderons d’abord l’idée d’une vérité absolue dans laquelle on parlera de la vérité universelle, nous étudierons ensuite celle d’une vérité relative. Une vérité absolue

on pense qu’il ne peut pas ne pas l’accepter. Le don est l’acte volontaire qui peut ou non avoir été sollicité par celui ou celles ou ceux qui le reçoivent. La culture occidentale, nous, valorise les dons non sollicités, cette attitude n’est pas universelle. Donner semble instituer simultanément un double rapport entre celui qui donne et celui qui reçoit. Un rapport de solidarité, puisque celui qui donne partage ce qu’il a, voir ce qu’il est, avec celui à qui il donne et un rapport de supériorité puisque

rassembler. Discours religieux : qui poursuit et marque la philosophie. Mystère dans l’origine du monde = rejeté sur l’Homme ou sur la religion. B) Les distinctions Extérieur/intérieur : extérieur = dans la société (rituels) –> pratiques, croyance, rite, cérémonie (cultes). Intérieur = individu, foi, ce que je ressens en moi -> le sentiment religieux dans notre cœur. Sacré/profane : sacré = habité d’un pouvoir qui dépasse le monde -> respect des règles à observer (1ère est respecter

RELIGIONS, CROYANCES ET LAÏCITE Parmi les 6 milliards d’individus que compte la planète, environ 4.5 milliards d’entre eux sont des croyants, et parallèlement la notion de laïcité est largement répandue. Il existe à la fois des similitudes et de profondes divergences entre ces deux notions de religion et de croyance d’une part, et de laïcité d’autre part, alors même que chacune d’entre elles occupe une place importante et qu’elles coexistent dans le monde contemporain : Similitude dans la

« ensemble de croyances et de sentiments », un système qui a sa vie propre « Un ensemble de croyances et de sentiments communs » Durkheim perçoit le système social de façon radicale. Le système social surplombe, s'impose aux individus. Ex : langue, règles de droit, mœurs, coutumes, etc. On subit les mœurs et coutumes dans la perspective de Durkheim. Il estime que même les sentiments qui nous poussent les uns vers les autres ne nous appartiennent pas. Citations : « l'ensemble des croyances et des

fonction de la personne qui l'énonce. Ainsi, les sophistes, Protagoras en tête, partent du principe que l'homme est la mesure de toute chose. Que veulent-ils dire ? Que l'opinion est la mesure de toute connaissance, et que la vérité est relative aux croyances de chacun. Plus une idée réussit à emporter l'adhésion des esprits, plus elle est vraie. Personne ne peut donc prétendre que ce qu'il pense est vrai pour tout esprit de façon absolue. Pour Protagoras en effet : "[…] telle une chose m'apparaît

voulait savoir quelque chose, on consultait ce qu'ils avaient dit à son propos; c’est à ça que s’oppose Descartes 2) Le statut du Je : qui parle? a) Si Descartes parle à la première personne, le "je" qu'il emploie est pourtant un "je universel", impersonnel, dans lequel tout le monde peut se reconnaître : - sa position n'est pas celle d'un savant accompli, qui aurait déjà découvert la doctrine philosophique qui va plus tard être soutenue - au contraire, il feint de se trouver à un

savoir quelque chose, on consultait ce qu'ils avaient dit à son propos; c’est à ça que s’oppose Descartes 2) Le statut du Je : qui parle? a) Si Descartes parle à la première personne, le "je" qu'il emploie est pourtant un "je universel", impersonnel, dans lequel tout le monde peut se reconnaître : - sa position n'est pas celle d'un savant accompli, qui aurait déjà découvert la doctrine philosophique qui va plus tard être soutenue - au contraire, il feint de se trouver à un

COMMUNICATION ET INFLUENCE SOCIALE 1 PERCEPTION SOCIALE,MOTIVATION,ATTITUDES Nos perceptions résultent de notre cadre de référence (croyances, valeurs, opinion, attitudes, sentiments) + notre vecu (experience) Cadre de référence +vecu = perceptions La perception est une activité structurante qui nous permet : d'interpreter de mettre en relation d'attribuer une signification le monde qui nous entoure (physique et social) Il existe une tendance générale à rechercher un environnement