Crucifix

main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où  l'humanité a disparu, son appel à l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de ce tas de corps flotte un squelette sur un résidu d'architecture (citation indirecte du christ crucifié) et qui désigne de son doigt la mort et la barbarie. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité

Crucifixion. La petite fille au centre est nue, et a les bras en croix. Elle est entourée d’autres enfants dans la même situation qu’elle. Le Christ nu, au centre du tableau, a lui aussi les bras en croix. A ses côtés, il y a deux hommes eux aussi crucifiés, et à leurs pieds, des soldats romains qui ne leurs prêtent pas attention (ils jouent au dé). On peut là encore faire un parallèle avec les soldats américains, eux aussi oppresseurs, qui sont complètement indifférent au martyre des enfants.

bibliothèque, grande passionnée de fantastique qu'elle était. Je fini par trouver parmi les ouvrages nombreux de ma mère quelques articles sur les légendes et celle qui me correspondait était les vampires. Je ne pouvais m'arrêter de lire : "Ail, lumière, crucifix, pieu, teint blafard, absence de reflet, rapidité, assoifé de sang, .." Tous ces mots se bouscluaient dans ma tête sans que je ne sache quoi faire. Et pire encore cette légende de Loup-garou et de pleine lune liée à celle des vampires que j'avais

issu d'une famille de riches marchands, en fait une vanité), une œuvre qui symbolise que la mort rend insignifiants les luxes et les aspirations de l'existence, et que le chrétien doit avant tout se préparer au Jugement dernier. Le crucifix, à moitié caché, dans une position intermédiaire entre ce qui est devant le rideau, le monde des hommes et ce qui est caché à leur regard, l'inconnu derrière la tenture, symbolise la position du Christ intermédiaire entre l'ici-bas et l'au-delà

| | |Elle décrit chronologiquement les étapes de ce qu’elle a vécut. Etape christique (comme Jésus qui a perdu toute sa | | |pudeur avant de se faire crucifier). Le lecteur a pitié car c’est une victime (on l’accuse avec des propos non | | |fondés, d’où l’utilisation du futur antérieur = hypothèse) | |

Si ! C'est du poison. Mais j'ai la joie au coeur. Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel. Permettez, ô mon Dieu, justice souveraine, Que ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon coeur crucifié, Vivant, par son amour, mourant, par sa pitié ! La Reine. Du poison ! Dieu ! C'est moi qui l'ai tué ! – je t'aime ! 2250 - Si j'avais pardonné ? ... Ruy Blas, défaillant. J'aurais agi de même. Sa voix s'éteint.

éclatent des émeutes. Pour calmer les foules, Néron veut accuser les chrétiens d'être à l'origine de l'incendie. Petronius s'oppose et tombe en disgrâce. Les chrétiens sont massacrés dans les rues, ou jetés en prison. Ils périssent ensuite, brulés vifs crucifiés, ou dévorés par des bêtes sauvages. Parmi les prison-niers se trouve aussi Ligia. Vinicius cherche en vain un moyen de secourir sa bien-aimée. Lors des jeux suivants apparaît un taureau portant Ligia nue, attaché sur son dos. Ursus, condamné également

Document 1 : C’est un graffiti d’Alexamenos, visible au palais impérial de Rome, de l’Antiquité, datant du Ier-IIIème siècle. Ici les Romains, polythéistes, critiquent un chrétien. Ce dernier est représenté crucifié avec une tête d’âne. La traduction indique : « Alexamenos adore son dieu »Document 2 : C’est une caricature datant de l’époque des Lumières . Ici, une femme de la bourgeoisie est critiquée par l’intermédiaire

je ne trouve en lui aucun crime. 5. Jésus sortit donc, portant la couronne d’épines et le manteau de pourpre. Et Pilate leur dit : Voici l’homme. 6. Lorsque les principaux sacrificateurs et les huissiers le virent, ils s’écrièrent : Crucifie ! crucifie ! Pilate leur dit : Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; car moi, je ne trouve point de crime en lui. 7. Les Juifs lui répondirent : Nous avons une loi ; et, selon notre loi, il doit mourir, parce qu’il s’est fait Fils de Dieu. 8

des moines, et l'instruction religieuse était obligatoire à tous les élèves. Les lois du 28 mars abolissent ces pratiques. Dans l'image (document 2),l’État, représenté par des policiers, vient retirer toutes représentations de religions, ici les crucifix. Plus aucune association ne doit être faite entre l'école et l’Église. Les premières lois sur la parité font leur apparition en 1882, quand les écoles primaires adoptent le même programme pour les filles et les garçons. Mais la mixité des classes