Cryptographie

.................................................................. 130 MYTHES ET LEGENDES DU CHIFFREMENT........................................................................................... 133 MYTHES ET LEGENDES DES MATHEMATIQUES DE LA CRYPTOGRAPHIE............................................... 139 MYTHES ET LEGENDES DES TECHNOLOGIES QUANTIQUES DE L'INFORMATION................................... 142 MYTHES ET LEGENDES DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE .........................................

étapes parcourues par l’agent mobile au cours de son transfert. Figure 1.6 Schéma conceptuel du transfert d’un agent En effet, l’agent doit arrêter son exécution, puis enregistrer son état « sérialisation », subir un ensemble d’algorithmes de cryptographie et enfin migrer à travers le réseau. Au niveau de la station destination, comme dans le cas des piles de protocoles OSI ou TCP/IP, l’agent doit subir les mêmes actions mais dans l’ordre inverse. Intégration de protocoles de sécurité dans des

granularité : Les SGBD permettent généralement de spécifier assez finement les privilèges d'un utilisateur en fonction des objets manipulés : .....................................................................63 3.2 – Autres solutions : la cryptographie......................................................................................................64 I - LES BASES DE DONNEES..................................................................................................................

bibliothèques numériques Bases de données Data mining Bibliothèque numérique Moteur de recherche Manipulation de données Métadonnées Mise en réseau de données Sécurité informatique Sécurité informatique Cryptographie Fuite d'information Hacking Aspects économiques, écologiques et sociologiques TIC et développement durable Green IT Aménagement numérique Économie post-industrielle Monopoles du savoir Société de l'information

la demande Permanents : internet, intranet, téléphone mobile, téléconférences Flash : information importante, scoop Intranet : rapide, ciblée en évitant la surinformation Bulletin électronique : newsletters Sécurisation des échanges : Cryptographie  Le DCSSI : direction centrale de la sécurité des systèmes d’information sous l’autorité du chef du SGDN (secrétariat général de la défense nationale) CERTA : centre d’expertise gouvernementale de réponse et de traitement des attaques informatiques

l’encontre des pays émergents en général sont aussi valables pour la Tunisie. Il faut souligner l’urgence d’accroître la libéralisation du secteur des télécommunications et d’harmoniser les normes de sécurité avec les standards internationaux de cryptographie. Le client qui accède à son compte à distance ou –plus largementqui désire effectuer un paiement électronique, est en droit de réclamer des garanties maximales de sécurité surtout si elles existent déjà ailleurs. On peut voir que les freins au

pigments; MARS (Molecular Adsorption Recirculating System), une thérapie de traitement du sang, MARS (Model for Applications at Regional Scale), un logiciel de modélisation hydrodynamique côtière développé par l'Ifremer, MARS, algorithme de cryptographie; MARS, une méthode statistique Martin Mars, un hydravion. Mars, un navire de guerre suédois construit entre 1563 et 1564 (aussi connu comme le Makalös). le fer désigné par les alchimistes. Exploration spatiale[modifier | modifier le code]

IPsec est l'une des méthodes permettant de créer des VPN (réseaux privés virtuels), c'est-à-dire de relier entre eux des systèmes informatiques de manière sûre en s'appuyant sur un réseau existant Le chiffrement : Le chiffrement est un procédé de cryptographie grâce auquel on souhaite rendre la compréhension d'un document impossible à toute personne qui n'a pas la clé de (dé)chiffrement. 12 Expliquer l’approbation entre deux domaines d’active directory Via l'établissement d'une relation d'approbation

deux composantes logicielle et de service, à savoir : le logiciel : il assure la gestion du composant de la couche bas niveau (protocole) à la couche applicative (ex : gestion de procédés) en passant par des couches intermédiaires (sécurité, cryptographie) le service : il amène une valeur ajoutée complémentaire aux applications, comme dans le cas de la téléphonie. En vue d'expliquer un système RFID, prenons et développons l’exemple du passage au péage autoroutier. Comment se fait-il qu’en arrivant

d'utiliser une pièce déjà dépensée, la puce n'autorise pas la transaction. Ces puces sont conçues de façon à ce que la carte devienne inutilisable après toute tentative de modification des données qui s'y trouvent. La seconde méthode repose sur la cryptographie. En structurant le protocole cryptographique, il est possible de s'assurer que l'identité du double utilisateur soit révélée lorsqu'une pièce de monnaie retourne à la banque. En principe les utilisateurs ne devraient pas dépenser deux fois leurs