Crépuscule Du Soir

malveillance / beauté / érotisme / beauté de la femmeXXXIXJe te donne ces vers afin que si mon nomSentiments de malveillance XLSemper eademCollage linguistique / sentiments de malveillanceXLITout entièreBeauté de la femme / érotismeXLIIQue diras-tu ce soir, pauvre âme solitaireBeauté de la femme / beauté / amourXLIIILe flambeau vivantMort / natureXLIVRéversibilitéSentiments de malveillance / socio-politiques / blasphèmesXLVConfessionBeauté / beauté de la femme / sentiments de malveillance XLVIL’aube

silence lui faisait peur, et, aussi l’étrange crépuscule gris qui rendait tout irréel. Il avait déjà vu un paysage comme celui-ci, baigné dans une lumière diffuse, mais c’était en rêve. a- Relevez tous les pronoms relatifs puis donnez leur fonction. (1pt½) b- Analysez logiquement la 1ère et la dernière phrase. (3pts) c- Donnez la nature et la fonction des mots soulignés. (2pts) d- Repérez du texte 2 expansions différentes du mot « crépuscule » puis donnez leur nature et leur fonction

fréquence des cris s’accéléra, ils formaient un cercle autour de moi. Je crus ma fin proche. Et pour cause, jamais je n’avais entendu de tels bruits excepté une fois, une seule, le soir de la mort de ma mère. C’était il y a longtemps, très longtemps, Rosalie Hawkings –car tel était son nom- et moi nous promenions au crépuscule à l’autre bout de cette même forêt. J’avais alors cinq ans, et je débarquais dans la vie, insouciant, et naïf. Nous approchions du cimetière de mon village quand soudain ces

veines (prix du bois) - colère des mineurs qui se sentent lésés - une mine- tombeau : chevaux n’en ressortent pas I,6 - Sortie de mine - L’avantage Même jour, soir - Etienne pense d’abord quitter la mine, mais Maheu lui négocie un logement chez - Rasseneur, mineur licencié cabaretier - extérieur de la mine décrit au soir (cf chap1) - dureté excessive pour Etienne - mais engagement politique (Pluchart à Lille, ami de Lantier) PARTIE II : PREMIER JOUR D’ETIENNE – LA VIE AU CORON

Crépuscule 1 L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires, 2 Frissonne; au fond du bois la clairière apparaît ; 3 Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; 4 Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ? 5 Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ? 6 Vous qui passez dans l’ombre, êtes-vous des amants ? 7 Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines; 8 L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants. 9 Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe

démesuré, il donne à la ville sa gloire matinale et la grandeur de ses soirs, à l'heure où un couchant enflammé s'abat sur la VIII° Avenue et sur le peuple immense qui roule entre ses devantures, illuminées bien avant la nuit. Il y a aussi certains crépuscules sur le Riverside(1), quand on regarde l'autostrade(2) qui remonte la ville, en contrebas, le long du Hudson(3), devant les eaux rougies par le couchant; et la file ininterrompue des autos au roulement doux et bien huilé laisse soudain monter un

temporelle précise, si ce n'est la tombée de la nuit « crépuscule »(ligne 33) et sans doute le fait que l'on soit à la fin de l'été ou du moins que la Saint-Jean soit dépassée puisque les jours raccourcissent « les jours avaient bien diminué », l'adverbe bien laisse supposer que l'on est peut-être déjà en automne. Le lecteur est davantage sensible à la création d'une atmosphère. En effet, le climat engendre une atmosphère lugubre avec le soir, la solitude des rues désertes «la petite place semblait

l'unique souci est d'aller vite et droit devant eux. On y voit des apprentis en tablier de travail, des ouvrières reportant leur ouvrage, des hommes et des femmes tenant des paquets sous leur bras ; on y voit encore des vieillards se traînant dans le crépuscule morne qui tombe des vitres et des bandes de petits enfants qui viennent là, au sortir de l'école, pour faire du tapage en courant, en tapant à coups de sabots sur les dalles. Toute la journée, c'est un bruit sec et pressé de pas sonnant sur la pierre

 Harmonie du soir Introduction : Ce poème des "Fleurs du Mal" de Charles Baudelaire fait partie du cycle de l'amour : c'est l'avant dernier poème consacré à Mme de Sabatier. Il est fondé sur l'harmonie, avec un ensemble de 4 quatrains formés d'alexandrins, et de rythmes et sonorités organisés : le pantoum. I) Une forme particulière 1. Le pantoum Fonctionnement du pantoum : reprise des vers 2 et 4 de la première strophe aux vers 1 et

textes, les personnages principaux ont tous les deux une barbe bleue : « mais par malheur, cet homme avait la barbe bleue » (l3). Dans la nouvelle d’Annie SAUMONT aussi : « sa barbe n’effraie pas, elle est soyeuse, bleue dans la clarté, douce au crépuscule » (l24-25). On peut dire qu’Annie SAUMONT a écrit une nouvelle. En effet, son texte est court, il ne fait que trente huit lignes puis dans son histoire, il y a peu de personnages, c’est-à-dire Pierre et sa femme. De plus, il n’y a aucun dialogue