Crépuscule Du Soir

Un long dimanche de fiançailles Samedi soir : C’est le premier chapitre du romain, qui présente la guerre des tranchées pendant l’hier 1917 qui à fait beaucoup de morts. On voit 5 soldats qui sont condamnés à mort en conseil de guerre pour s’être mutiler eux mêmes pour échapper à la bataille. Le nom de ce chapitre vient de la nuit du samedi 6 janvier 1917, date de leur exécution présumée. Premier soldat : Kleber Bouquet dit Eskimo. Matricule : 2124 Il a 37 ans. Il est d’un bureau de

d’une boutique en face de la cathédrale. Il était tellement près qu’il ne pouvait voir l’édifice dans son ensemble. Pour chacun des 30 tableaux, il a représenté la cathédrale à un moment différent de la journée : au petit matin, à midi, le soir, mais aussi au crépuscule ou par temps de brouillard. Ce qui l’intéressait, ce n’était pas de représenter la cathédrale pour elle-même, mais pour mettre en avant les variations de la lumière sur sa façade. Pour chaque tableau, il devait se dépêcher de peindre,

Mariette la servante) » ……..Jeanne Duval : maîtresse de B. = relation pleine de méprit et objet érotique / « Le serpent sui danse » « parfum érotique », « une charogne » ……..Les prostitués : relation de mépris car misogyne et sexiste / « Le crépuscule du soir », « les métamorphoses du vampire » ……..Beaux poèmes : « l’invitation au voyage », « l’homme et la mer » ……..Un beau vers : « Que le soleil est beau quand tout frais il se lève » du « coucher de soleil romantique » Organisation du recueille :

Six semaines s’écoulèrent. Rodolphe ne revint pas. Un soir, enfin, il parut. Il s’était dit, le lendemain des comices :

 -N’y retournons pas de sitôt, ce serait une faute. Et, au bout de la semaine, il était parti pour la chasse. Après la chasse, il avait songé qu’il était trop tard, puis il fit ce raisonnement : -Mais, si du premier jour elle m’a aimé, elle doit, par l’impatience de me revoir, m’aimer davantage. Continuons donc ! Et il comprit que son calcul avait été bon lorsque, en entrant

nombreux adjectifs liés à la lumière tels que « luisant » (v.2), « éblouissement » (v.5) qui montrent que nous sommes durant la journée, puis la notion du temps qui passe apparait au fil du poème à travers le changement des termes de luminosités « crépuscule » (v.24), « nuit » (v.26) qui s’assombrissent ce qui a pour effet de rendre le cadre spatio-temporel de plus en plus effrayant avec l’arrivée de la nuit. On peut également constater un parallèle entre la nuit qui tombe et le couperet qui tombe.

laurier! Je vois s'épanouir vos passions novices;Sombres ou lumineux, je vis vos jours perdus;Mon coeur multiplié jouit de tous vos vices!Mon âme resplendit de toutes vos vertus! Ruines! ma famille! ô cerveaux congénères!Je vous fais chaque soir un solennel adieu!Où serez-vous demain, Eves octogénaires,Sur qui pèse la griffe effroyable de Dieu? 4 | Les aveugles Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux!Pareils aux mannequins; vaguement ridicules;Terribles, singuliers

plus froid La pluie plus violente que ce soir-là Le soir de ses vingt ans Le soir où elle a éteint le feu Derrière la façade de ses yeux Dans un éclair blanc Elle a sûrement rejoint le ciel Elle brille à côté du soleil Comme les nouvelles églises Et si depuis ce soir-là je pleure C'est qu'il fait froid Dans le fond de mon cœur Elle a sûrement rejoint le ciel Elle brille à côté du soleil Comme les nouvelles églises Et si depuis ce soir-là je pleure C'est qu'il fait froid Dans

déplacées. Rodolphe, de temps à autre, se penchait et lui prenait sa main pour la baiser. Elle était charmante, à cheval ! Droite, avec sa taille mince, le genou plié sur la crinière de sa bête et un peu colorée par le grand air, dans la rougeur du soir. En entrant dans Yonville, elle caracola sur les pavés. On la regardait des fenêtres. Son mari, au dîner, lui trouva bonne mine ; mais elle eut l’air de ne pas l’entendre lorsqu’il s’informa de sa promenade ; et elle restait le coude

insistante sur le moment du départ. Dans tout le vers 1, il y a trois notations de temps, « demain», puis « des l’aube » et « a l’heure ou », qui semblent copier le rythme de la marche : 2/2/8. Le voyage se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 : " l'or du soir qui tombe ". Le voyage occupe donc une journée entière de marche rythmée, sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de

I. Methode utilisée par Balzac L'histoire se termine lors d'une nuit d'hiver, à la fin de l'année. Il fait un temps humide et sombre "un humide crépuscule agaçait les nerfs". Ceci aide à créer une atmosphère de tristesse. Les symboles représentants la fin sont nombreux dans ce texte; Balzac nous emmène à la fin de son livre, un soir, en hiver, en fin d'année à un enterrement. Les situations ou attitudes conventionnelles prennent une tonalité parodique et même odieuse, révélant