Crépuscule Du Soir

• Ses Principales 0euvres: * Poésie lyrique : Odes et ballades (1826), Les Orientales (1829), Les feuilles d'automne (1831), Les chants du crépuscule (1835), Les voix intérieures (1837), Les rayons et les ombres (1840), Les contemplations (1856), Les chansons des rues et des bois (1865) L'année terrible (1871), L'art d'être grand-père (1877), Les quatre vents de l'esprit (1881) * Poésie satirique: Les châtiments (1853) * Poésie épique: La légende des siècles

départ avec la périphrase aube, propices à la méditation et favorable au repli sur soi. dans le vers 1, il y a 3 notations de temps formant un groupe ternaire selon le rythme 2/2/8, le départ est prévu . Il se termine au crépuscule comme le démontre la méthaphore du vers 9 " L'or du soir qui tombe " Le voyage occupe donc toute une journée entiére sans interruption, à travers divers paysages. 2. La progression dans l'espace Elle est exprimée par la succession des paysages différents. Anaphore de

HUGO & Joris-Karl HUYSSMANS Le corpus est composé de deux textes, portant sur le thème commun du travail des champs, qui n’ont pourtant pas la même visée. Le premier est un poème écrit en 1865 par Victor Hugo, intitulé Saison des semailles (Le soir) issu du recueil Les Chansons des rues et des bois. Le second est un extrait réaliste du livre En rade de Joris-Karl Huysmans, qu’il a rédigé en 1887. Il s’agit de montrer que les deux textes présentent deux visions opposées de la campagne et du

détermination. a) La progression dans le temps Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ (tout le vers 1 : trois notations de temps formant un groupe ternaire selon le rythme 2/2/8). Il se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant

l’aube La structure du poème souligne une double progression dans le temps et dans l'espace, et un itinéraire mené avec détermination. Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ. Il se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. La progression dans l’espace est exprimée par une série d’anaphore : "j'irai par", "par la forêt", "par

m'entouraient. La sonnerie du métro retentis. Je m'arrache à ma rêverie et descend à toute vitesse de la rame du métro. L'odeur me donne brièvement la nausée mais l'habitude l'étoufe et me permet de sortire de la station sereinement. Il fais chaud ce soir. Je porte un jean et un T-shirt rouge avec une simple pair de basquette, mon sac de toile sur l'épaule contenant mon livre et mes cours. Je franchis cette grande porte en bois si familière et cette impression de sécuritée m'enveloppe aussitôt. Depuis

en tombant sur les sombres gazons, Comme de grands lacs de lumière. Puis voilà qu’on croit voir, dans le ciel balayé, Pendre un grand crocodile au dos large et rayé, Aux trois rangs de dents acérées ; Sous son ventre plombé glisse un rayon du soir ; Cent nuages ardents luisent sous son flanc noir Comme des écailles dorées. Puis se dresse un palais. Puis l’air tremble, et tout fuit. L’édifice effrayant des nuages détruit S’écroule en ruines pressées ; Il jonche au loin le ciel, et ses cônes

Le roi s'amuse (1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles d'automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les Rayons et les Ombres (1840). Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles.. « Parfum exotique » de Charles Baudelaire Baudelaire

(livre II 22) ; « le poète s’en va dans les champs » (livre I 2)… 2. La réflexion sur la condition humaine : La présence obsédante de la mort donne des textes divers :  Invitation au carpe diem dans « crépuscule » (II 26) ; donner un sens à sa vie (II 22)  Temps qui passe irrémédiablement « un soir que je regardais le ciel »A (livre II) ;  Vanité des biens et richesses (livre III « la source ») ;  Cruauté du hasard (livre III « à la mère de l’enfant mort »)  La mort entrevue comme une solution

entre autre, de chagrin d’amour. Il s’adresse à une femme très joviale et semble vouloir croire à l’amour durable. XLI. TOUT ENTIERE Charles Baudelaire décrit l’une de ses compagnes et précise qu’il apprécie tout en elle. XLII. Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire, L’auteur compare l’une de ses compagnes à un ange et illustre son statut de muse (tel « un fantôme du Beau »). XLIII. LE FLAMBEAU VIVANT Il semble associer les yeux d’une muse (son regard) à un flambeau lié à son inspiration