Cueillez Cueillez Votre Jeunesse

diem, à l’urgence de vivre. En effet, l’auteur a bâti son poème principalement autour du champ lexical de la vieillesse « vieille, sommeillant, repos » (v.1,6,7). Il tente de la convaincre de l’aimer en insistant sur le fait que la beauté et la jeunesse sont éphémères et qu’elle-même finira par vieillir. Dans le dernier tercet, on ressent bien l’idée principale du poème. Structure Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle est un sonnet de 14 vers qui se compose d’alexandrin. Les

place Las ! Las ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. Giovanni Battista Tiepolo, Apollon et Daphné, 1744 Pierre de Ronsard, Les Odes, 1553 Pierre de Ronsard est né le 11 septembre 1524 à Couture-sur-Loir et mort le 27

bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ? Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit, Maudit comme l'opprobre et comme le blasphème ! Ô Dieu ! qu'il soit maudit au

la place Las ! Las ses beautez laissé cheoir ! Ô Vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre àge fleuronne En plus sa verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur le vieillesse Fera ternir vostre beauté. » Cette ode à Cassandre détaille les atouts d'une rose, métaphore filée de la femme. On sent une forte émotion de la part de l'auteur. Ce poème est très humaniste, car

formulé à l'impératif « allons voir » , cela inclus le poète , le locuteur et la femme. C'est une nature bucolique, symbolique. Le mot rose est mis en valeur à la rime. La métaphore poétique : La métaphore permet de mettre en place une ider de jeunesse avec l'ouverture du bouton de rose, c'est une personnification du mot « rose ». Au vers 6 il y a une comparaison «  Et son teint au vôtre pareil ». Il y a 2 indications temporelle « le matin » vers 2 et « vesprée » vers 4. Un effet dramatique :

fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie." Pierre de Ronsard Analyse du poème : L’auteur s’adresse a Hélène, il lui exprime son opinion sur le fait qu’elle devrait profiter du moment présent et aimer Ronsard avant qu’il ne meure afin d’éviter certains regrets après.. Il l’illustre clairement en exprimant a l’impératif : cueillez, vivez et n’attendez. (Dans les deux derniers vers)

Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Joachim du Bellay Joachim du Bellay est né vers 1522 à Liré en Anjou, et est mort en 1560, à Paris.il fut l un des principaux fondateur de la pléiade. Un des plus célèbres

la place Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Pierre de Ronsard est né en septembre 1524note 1 au Château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois et mort le 27 décembre 1585 est

m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie Elasticité temporelle voix inchangées c’était hier le jour avant celui qui le précède pourtant l’eau a coulé sous les ponts c’est comme ça que l’on dit ? elles se sont parlé comme si le temps s’était figé jadis elle a toujours cette boucle d’oreille en argent donnée par une main d’adolescente elle l’a conservée dans un écrin brindille d’un parcours de vie couleur de sa jeunesse étourdie de plaisirs partagés de

la femme fleur - Alors que "fleuries" (vers 6) indique l'épanouissement de la fleur, "flétries" (vers 7) désigne la mort de celle-ci. Le rapprochement de ces paronymes à la rime met en évidence la proximité de la naissance et de la mort : dès sa jeunesse, Marie est condamnée.
- Ce déclin d'abord est amplifié par l'utilisation des adverbes "toutes" vers 9 et "tout" vers 10 puis, il est accéléré par les compléments circonstanciels de temps placés au début et à la fin des deux derniers vers du deuxième