Cuisse de Nymphe

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mortel qui ne forme des voeux : L'un de Voisin convoite la puissance ; L'autre voudrait engloutir la finance Qu'accumula le beau-père d'Évreux. Vers les quinze ans, un mignon de couchette Demande à Dieu ce visage imposteur, Minois friand, cuisse ronde et douillette Du beau de Gesvre, ami du promoteur. Roy versifie, et veut suivre Pindare ; Du Bousset chante, et veut passer Lambert. En de tels voeux mon esprit ne s'égare : Je ne demande au grand dieu Jupiter Que l'estomac du

et disparût dans le brasier, Zeus lui arracha son enfant près de naître; il le mit dans sa propre cuisse afin de le dissimuler à Héra et l'y garda le temps qu'il fallait avant sa venue au monde. Hermès l'emporta alors et le confia aux nymphes de Nysa - la plus jolie de toutes les vallées terrestres, mais aucun homme ne l'a jamais vue et nul ne sait où elle se trouve. Les uns disent que ces nymphes étaient les Hyades, que Zeus plus tard plaça dans le ciel après les avoir transformées en étoiles

le grand dieu balinais, est toujours rangé sous le Kanyonan. Il est le dieu d’origine locale le plus important pour les balinais. Il est le régisseur de l’univers. * Les Batara (dieux), les Batari (déesses), les Rési (sages) et les Widadari (nymphes), qui sont aussi bien des divinités locales qu’hindoues. L’ordre dans lequel ils sont placés dans le coffre varie selon les affinités du Dalang avec certaines divinités. * Les personnages et les héros sont rangés dans l’ordre de leurs castes respectives ;

ampleur royale et d'une richesse un peu chargée. Décolletée jusqu'à la pointe des seins, les bras découverts avec des touffes de violettes sur les épaules, la jeune femme semblait sortir toute nue de sa gaine de tulle et de satin, pareille à une de ces nymphes dont le buste se dégage des chênes sacrés ; et sa gorge blanche, son corps souple, était déjà si heureux de sa demi-liberté, que le regard s'attendait toujours à voir peu à peu le corsage et les jupes glisser, comme le vêtement d'une baigneuse folle

répandre la rumeur au salon de 1847, d’un moulage sur nature d’Apollonie Sabatier «  vivandière des fauves » selon les Goncourt bien que Baudelaire la qualifie «d ‘Ange-gardien, de Muse et de Madone ». La cellulite qui s’affiche sur le haut de ses cuisses plaide pour la naissance du réalisme, Delacroix parle même de « daguerréotype en sculpture ».Paradoxalement, l’avancée dans le siècle met fin à la progression du « document humain », la « Bacchante » et « l’Hébé endormie » ( dont l’aigle de Jupiter

goût sous la direction de Patrick Bebi, dans le cadre du Festival de Liège. Elle joue par ailleurs dans plusieurs projets indépendants dont Frühlings(er)wachen sous la direction d'Ulrike Günther en tournée en Allemagne dès janvier 2014 ainsi que Cuisse de Nymphe Emue, spectacle qui sera présenté à Bruxelles en avril 2014. Renelde Pierlot assiste à la mise en scène Marja-Leena Junker pour la création de La Voix Humaine de Cocteau et Myriam Muller pour Pour une heure plus belle de Daniel Keene. Renelde

combattre pour l’amour. Nous devrions être courti- – 35 – sées, et nous n’avons pas été faites pour faire la cour. Je veux vous suivre, et faire de mon enfer un ciel, en mourant de la main que j’aime si tendrement. (Ils sortent.) OBERON. – Nymphe, console-toi. Avant qu’il quitte ces bosquets, tu le fuiras, et il recherchera ton amour. (Puck revient.) OBERON. – As-tu la fleur ? Sois le bienvenu, vagabond. PUCK. – Oui, la voilà. OBERON. – Donne-la-moi, je te prie. Je connais une rive où croît

ampleur royale et d’une richesse un peu chargée. Décolletée jusqu’à la pointe des seins, les bras découverts avec des touffes de violettes sur les épaules, la jeune femme semblait sortir toute nue de sa gaine de tulle et de satin, pareille à une de ces nymphes dont le buste se dégage des chênes sacres ; et sa gorge blanche, son corps souple, était déjà si heureux de sa demi-liberté, que le regard s’attendait toujours à voir peu à peu le corsage et les jupes glisser, comme le vêtement d’une baigneuse folle

nécessaire pour la décider. Les seuls obstacles sont Mme de Volanges et la maladresse de Cécile, qui fait tomber la clé dans un vase orné, ce n’est pas un hasard, d’anses en forme de serpent et d’une scène mythologique représentant un satyre et une nymphe (CT.00 :43 :20). La caméra place alternativement le spectateur à la place de Valmont, de Cécile et de Mme de Volanges. Le suspense ménagé par l’inquiétude de Danceny et la digression de Mme de Merteuil est transposé en jeux de scène lors de l’échange