Culture serbe

La ville est située aux confins des régions de la Bačka et de la Syrmie. Depuis sa fondation en 1694, elle est devenue l'un des centres les plus importants de la culture serbe, ce qui lui a valu le surnom d'« Athènes serbe ». Novi Sad est aujourd'hui un important centre économique et financier du pays. Nis Niš est l'une des plus anciennes villes des Balkans et d'Europe ;

alphabet latin), serbe et macédonien (en alphabet cyrillique) (. .. ). Une histoire commune ? Avant la formation de l’État yougoslave, les différents peuples qui le composent n’avaient jamais appartenu ni a un même État ni à une même culture. Document 3 Document 4 Document 5 © Cned – Académie en ligneSéquence 2-HG11 43 Un sentiment national ? Il suffi sait de parler quelques minutes avec n’importe quel citoyen yougoslave pour déterminer, à ses propos, s’il était serbe, croate, slovène

plusieurs années de guerre caractérisées par des massacres, des viols, des crimes de guerre et même la création de camps de concentration. Ce conflit se caractérise également par des déplacements forcés et massifs de population autant du côté Croate, Serbe ou Bosniaque. Ces déplacements étaient en quelques sortes un enjeu stratégique pour faire fuir les populations locales et ainsi permettre de faire avancer de plus en plus leur armée dans les terres à conquérir. A cause de ces immigrés, les pays risquant

LJUBLJANA : capitale de la Slovénie Ljubljana  est la ville principale et la capitale de la Slovénie. Ville d'environ 280 000 Ljubljanais, elle a été influencée tout au long de son histoire par différentes cultures du fait de sa position géographique charnière entre les cultures germanique, latine et slave. Depuis 1991, la ville est le centre économique et culturel principal de la Slovénie. La superficie est de 275 km2 Château de Ljubljana Le château de Ljubljana est un château médiéval situé

Culture Générale Slovénie Actuellement, la Slovénie n'a pratiquement aucun problème immédiat et il ne lui reste qu'un seul point de contestation avec les autres républiques, soit l'héritage de l'actif et du passif. Or, les Slovènes gardent un silence prudent sur ce sujet, car leurs dettes envers la Yougoslavie sont plus importante que l'actif qu'ils doivent en recevoir. Les Slovènes doivent surtout aujourd'hui faire face à des difficultés internes, qui ressemblent à celles que doivent résoudre

l’avocate Gorana Zagovec qui revendique de parler le serbo-croate, la langue de l’ex-Yougoslavie. A droite, Camil Durakovic, le maire de Srebrenica, dans son bureau. Ci-dessous, de gauche à droite : Igor Bunic, conseiller parlementaire serbe, chez lui à Sarajevo. Mersud Spiljak, ingénieur en télécommunications, qui s’est déclaré bosniaque. Tahsin Hadziarapovic, patron d’un café à Srebrenica. Aleksandra Golijanin, interprète de Sarajevo, qui a répondu que sa religion était

accompli grâce à la complicité du Gouvernement serbe. En jugeant que lʼ Empire des Habsbourg ne pouvait pas tolérer la très grave provocation serbe, après sʼêtre assuré lʼappui de lʼAllemagne, il envoya cet ultimatum à la Serbie, les termes duquel, inacceptables, provoquèrent, quelques jours plus tard, le début de la première guerre mondiale. Le Gouvernement se voit dans lʼobligation (Le I. R. Gouvernement) dʼexiger une assurance officielle du Gouvernement serbe quʼil condamne la propagande adressée contre

arrivent à résister mais ne sont pas « assez forts pour gagner la paix ». De ce fait la guerre va sans doute durer longtemps. Il se montre plutôt optimiste car ses derniers mots sont porteurs d’espoir car il pense que même si actuellement le président serbe ne veut pas reconnaitre la Bosnie. Il pense qu’un jour il la reconnaitra. Question n°3 : Les peuples serbes qui vivent en Bosnie revendiquent le fait qu’ils veulent faire tomber la Bosnie pour la rattacher à la Serbie. Car ils ne veulent plus être

Préparation de l’attentat de Sarajevo Tout commence à Belgrade, capitale de la Serbie, où le chef des services de renseignement manipule une organisation secrète terroriste : La Main Noire. Celle-ci a pour objectif de réunir au sein d’un unique état serbe l’ensemble de territoires faisant partie de l’Autriche-Hongrie, ou de l’Empire ottoman ainsi que le Monténégro. L’assassin et ses complices sont des jeunes gens pauvres originaires de Bosnie-Herzégovine, ancienne province ottomane, (dont Sarajevo

mutuelle d’être les seuls occupants légitimes de cette région. Aujourd’hui encore, la composition ethnique du Kosovo du 15e siècle fait l’objet de nombreuses controverses, chaque partie interprétant en sa faveur les documents de l’époque. Du côté serbe, le Kosovo est décrit comme le « berceau de la Serbie[->55] », car il en était, entre le XIe et le XVe siècles, le centre politique (Pristina[->56]), économique (mines de Novo Brdo[->57]), et spirituel (monastères de Peć[->58], de Dečani[->59], de