Cure psychanalytique

gestuelles l'inconscient modifie le rapport à l'autre en modifiant en retour sa structure.Ce n'est pas le sens des phénomènes psychiques qui est à l’œuvre dans les lapsus, actes manqués etc mais leurs valeurs.Valeurs pour l'analysant que la cure psychanalytique fera remonter des profondeurs de l'inconscient au fil des séances à la lumière de l'extinction du symptôme...Enfin tout ces phénomènes font symptômes à plus ou moins grande échelle et affirment la névrose de chacun également à des degrés divers

échappent. Que reste-t-il alors de notre liberté et de notre lucidité selon ces idées et de l'autonomie morale du sujet conscient? L'homme est-il un sujet libre ou un objet de déterministes qui le façonnent à son insu? TROISIEME PARTIE: LA THERAPIE PSYCHANALYTIQUE. Il semblerait que la psychanalyse soit une pensée déterministe ne laissant pas de place à la liberté. Mais la psychanalyse, partie d'un matérialisme radical, d'un déterminisme quasi-absolu des désirs inconscients comme fondement de la personnalité

cause organique. BREUEUR allait voir cette jeune patiente, parfois plusieurs fois par jours. Il pratiquait l’hypnose sur Anna. Une fois hypnotisé, il demandait à Anna de parler. Lorsqu’Anna voyait BREUEUR arrivé, elle disait : « Voilà, je vais faire ma cure par la parole ». BREUEUR va expliquer que dans l’hystérie, il y a 2 formes de consciences qui coexistent dans le psychisme : Une conscience normale. Une conscience hypnoïde (elle fonctionne en quelque sorte comme un corps étranger dans la personnalité

sans effectuer de censure). Là le psychanalyste notera tout les errements et les ratés de la conscience comme : lapsus, l’acte manqué, le rêve,… Il faut ensuite trouver une méthode d’analyse et de décryptage de ces manifestations, ce sera la cure psychanalytique. Situation de l’inconscient dans l’appareil psychique Dans la deuxième topique, (topique : représentation spatiale d’idées) l’inconscient est divisée en « ça » et « sur moi » et « moi ». Le « ça » est le pôle des pulsions il est la

psychologiquement à vie par ce manque. • De plus, pour Freud, tout le psychisme de la femme repose sur son manque de phallus : ce manque l’obsèderait, et elle serait prête à tout pour récupérer la chose dont on l’a privée de posséder ; même d’entamer un cure psychanalytique. • Freud utilise alors le mot « envie » (l.10) qui vient du latin « in-video » signifiant étymologiquement regarder quelqu’un avec hostilité, c’est-à-dire, jalouser quelqu’un, et en espagnol ce verbe donne le mot « envidia » qui morphologiquement

dans les séances mais un fait à souligner, c’est que le symptôme disparaît lorsque sa première apparition est verbalisée par la patiente. Breuer nomme ce phénomène « la catharsis ». Il laisse, à ce moment là, sa patiente mener l’entretien. Cette cure par la parole n’est pas encore la psychanalyse. Elle l’anticipe ! Elle commence dans la pratique, initiée par une patiente ! C’est la caractéristique de la démarche freudienne, prendre au sérieux ce que dit le patient. Breuer, à la fin du traitement

Le rêve est le gardien du sommeil La critique psychanalytique emprunte la base de sa méthode aux découvertes de Freud dans le domaine de la psychologie clinique. En effet, la raison de ce rapport étroit qui est établi entre la littérature et la psychanalyse revient à l’attachement personnel de Freud à la littérature, car dès ses premières élaborations théoriques, il a tenté d'appliquer sa théorie sur les ouvrages littéraires. Essentiellement, c’est la raison de la fréquence des notions psychologiques

fournir une piste essentielle. Il lui fait part d’une patiente inhabituelle connue dans l'histoire de la psychanalyse sous le nom d’Anna O (cas très grave d’hystérie: contracture, paralysie, trouble de la vue… ) et d’un traitement particulier: la cure par la parole (= quand elle décrit ses symptômes et leurs origines, ces derniers tendent à disparaître). Freud va expérimenter ce traitement particulier et remarque que les causes d’hystérie de ses patients découlent de traumatismes de l’enfance

Que reste-t-il alors de notre liberté et de notre lucidité selon ces idées et de l’autonomie morale du sujet conscient? L’homme est-il un sujet libre ou un objet de déterministes qui le façonnent à son insu? TROISIEME PARTIE: LA THERAPIE PSYCHANALYTIQUE. Il semblerait que la psychanalyse soit une pensée déterministe ne laissant pas de place à la liberté. Mais la psychanalyse, partie d’un matérialisme radical, d’un déterminisme quasi-absolu des désirs inconscients comme fondement de la personnalité

peut créer également un sentiment hostile à l’égard de la mère. Ces affects ne sont pas anodins puisqu’ils laissent une empreinte dans notre construction psychique et peuvent être ravivés par des évènements ultérieurs de notre vie. En terme plus psychanalytique, cette hostilité serait due à la frustration de notre désir libidinal différent en fonction des stades (oral, anal, phallique) qu’il traverse. Mais l’élément décisif qui tourne la petite fille vers la féminité serait le complexe de castration