Cycle

concurrentielle A. L’analyse concurrentielle 1) Le métier. 2) Le domaine d’activité. 3) La segmentation stratégique. 4) Les facteurs clé de succès. B. La position concurrentielle 1) L’effet d’expérience. 2) Le cycle de vie d’un produit. 3) Le portefeuille d’activité. a. Le modèle du Boston Consulting Group (BCG)  b. Le modèle du McKinsey  c. Le modèle d’ADL C. Les forces concurrentielles 1) Les nouveaux entrants.

la croissance : La théorie des cycles économiques a pour objectif d'interpréter les fluctuations de l'activité économique, marquée par la hausse puis la baisse de certaines grandeurs caractéristiques ( production ; niveau de l'emploi ; prix ) Un cycle économique se déroule sur quatres phases : - L'expansion (Période de croissance éco généralement forte donc le taux de variation du PIB est positif ) - La crise (Moment de retournement de la croissance éco, soit la croissance ralentie, soit elle

2) Deux siècles de fluctuations économiques De 1820 à nos jour on peut identifiés 5 cycles KONDRATIEV : Dans son ouvrage de 1939 ''Le cycle des affaires'', Shumpeter ne constate que les trois 1er cycles car il meurt en 1950. Après son décès, des économistes reprennent ses travaux : on les appelle les néo-shumpeteriens. Le dernier cycle, évalué dans les 90's/2000 n'est qu'une théorie. Il y a cependant une différence entre les trois 1er cycles et les cycles néo-shumpeteriens. Au XIX°s

........... 2 III. La symbiose ............................................................................................................................................................... 2 La fixation de l’azote et ses conséquences dans son cycle ......................................................................................... 2 La photosynthèse..........................................................................................................................................

plus difficile et une augmentation du chômage. C)La croissance n’est pas linéaire On peut analyser la croissance économique à l’aide de cycles, un cycle économique étant une succession de phases de durées et d’amplitudes régulières. On distingue plusieurs analyses cycliques de la croissance, de périodicités différentes : • Le cycle de Juglar (économiste français) qui met en avant les cycles variant de 6 à 11ans et se repère à travers une fluctuation de l’activité économique avec 4 phases :

marché par rapport aux concurrents. L’incohérence au niveau du produit peut brouiller la position perçue par les consommateurs et être une cause d’échec. 2 3 II. La cohérence dans le temps L’analyse du portefeuille de l’entreprise et du cycle de vie des produits amène à prendre des décisions de modification de l’offre, soit au niveau de la gamme, soit au niveau du produit. 1. L’adaptation au niveau de la gamme En fonction des caractéristiques du marché et des objectifs poursuivis

photochimiques produisent de l’ATP. -La phase de fixation du carbone ou plus communément appelé le cycle de Calvin. Une fois le carbone fixé, il se fait réduire en glucide par ajout de proton (H+). Pour convertir le dioxyde de carbone en glucide, le cycle de Calvin a besoin de l’énergie chimique sous forme d’ATP, qui est produite lors des réactions photochimiques. Contrairement aux réactions photochimiques le cycle de Calvin n’a pas besoin de lumière. En claire lors de la photosynthèse, l’H2O est acheminé

(squelettes de coquillage ou de corail) soustrait aux forces de cohésion se laisse ballotter par l'eau et le vent sur les plages, les déserts ou les rivières en attendant son recyclage dans les abysses ou les entrailles de la Terre pour recommencer un cycle de vie.   Roches détritiques : sables, grès, argiles, conglomérats, moraines. Ces roches sont issues de l'érosion des autres roches et ont été transportées par un agent de l'érosion (eau, vent, glace) Les roches sédimentaires d'origine détritiques

par des innovations dites « suiveuses » qui ont marqué les économies. En observant cela Joseph SCHUMPETER a pu modéliser un cycle de l’économie, c'est-à-dire des phases successives d’expansion, de crise, de récession et de reprise de l’économie que l’on qualifie de « cycle de l’innovation ». SCHUMPETER a ainsi mis en exergue la corrélation entre cycle de l’innovation et cycle économique : les phases de fortes croissance correspondent aux phases de diffusion des innovations, la plupart du temps sous

bioblastes et postule leur autonomie métabolique et génétique. En 1937, un scientifique allemand, Hans Adolf Krebs, construit un modèle qu’il appela « citric acid cycle ». Ce cycle a lieu dans la mitochondrie chez les eucaryotes. En 1940-43, Claude isole les mitochondries dans des cellules du foie. En 1948-50, Kennedy et Lehninger montrent que le cycle de Krebs, la bêta-oxydation et la phosphorylation oxydative ont lieu tous dans la mitochondrie. En 1978, Peter Mitchell obtient le Prix Nobel pour sa théorie