Cyclone tropical

1) Les risques naturels Ils sont souvent liés à l’instabilité de l’écorce terrestre (comme les séismes, les éruptions volcaniques) et les irrégularités du climat ( comme sécheresse, inondations , Cyclone et glissements de terrain) . Ces aléas sont inégalement répartis à la surface du globe * Les séismes et éruptions volcaniques concernent les régions situées à proximité des plaques tectoniques qui s’écartent ou coulissent : * En 2004 en Asie du sud : 300 000 morts * En 2010

peuvent pas toute s’en protégé Il existe trois grandes catégories de risques naturels qui concernent différentes régions de la planète. Ce sont en premier Les risques climatiques : cyclones, tempête, orages ou inondation. Les cyclones se trouve dans les zones tropicales : le littoral Pacifique de l'Asie, l'océan Indien, le Golfe du Mexique et de l'Amérique centrale. Les grands fleuves peuvent être à l'origine d'inondations sur tous les continents.

Etude de cas : l’Australie Document 1 : Carte des climats d’Australie et du bassin du fleuve Murray | |Equatorial | | |Tropical | | | | | | | | |Subtropical | | |Désertique | | |

agricoles Dérèglement des saison (La date de début des vendanges à Chateauneuf-du-Pape a avancé d'un mois en cinquante an) -Faune et flore Dérèglement des cycles des écosystèmes -Cyclones tropicaux Le consensus scientifique dans le rapport de 2007 du GIEC est que l'intensité des cyclones tropicaux va probablement augmenter (avec une probabilité supérieure à 66 %). -Réchauffement des océans et élévation du niveau de la mer L'élévation de température depuis 1960 est estimée à 0,6 °C

plusieurs années, il y a une augmentation des catastrophes naturelles. Demain, à quels changements climatiques devrons-nous faire face ? Élévation du niveau de la mer, pluies intenses ou sécheresses selon les régions, fontes des glaciers, ouragans, cyclones, modifications des événements extrêmes, impacts sur les écosystèmes. Les changements sont importants et rapides si l’on considère les variations passées du climat. Cette problématique est un enjeu majeur concernant l’humanité toute entière et face

km² en 2009. Sur les années 2008 et 2009 la banquise arctique a repris l'équivalent de deux fois la superficie de la France. Son évolution en 2009 se rapproche de la normale. • Cyclones tropicaux et niveau des eaux Le consensus scientifique dans le dernier rapport du GIEC est que l'intensité des cyclones tropicaux va probablement augmenter (avec une probabilité supérieure à 66%). Ce réchauffement entraîne une montée du niveau de la mer par dilatation thermique des océans. Le GIEC estime que

(sécheresses, inondations, cyclones, ...), déstabilisation des forêts, menaces sur les ressources d’eau douce, difficultés agricoles, désertification, réduction de la biodiversité, extension des maladies tropicales, etc. Selon le GIEC (1995), ce changement climatique s'accompagnerait : - d'une perturbation du cycle de l'eau, - d’une augmentation de la fréquence et de l'intensité des catastrophes naturelles d'origine climatique (sécheresses, inondations, tempêtes, cyclones), - d’une menace de disparition

annuel important. - Une végétation tropicale. La tropicalitée s’accompagne de risque naturel important : La Martinique possèdent un volcan actif de type explosif ( la montagne Pelée). La nature de ce territoire le rend vulnérable au séisme ( ex : en 2007) et au tsunami. A la fin de la saison des pluies les tempêtes tropicales entrainent des glissement de terrains et des inondation. Elles provoque des catastrophe en devenant des cyclones ( ex : le cyclone Dean en août 2007 ). L’éloignement et

souffleront forts dans cette région. Le tracé des isobares montre, en tout temps et en toute région, un certain nombre de configurations types : ● La dépression ou zone de basses pressions (Low, symbole L ou D. P° < 1013 Hpa) : parfois dénommée cyclone, il s'agit d'une région où la pression décroît à mesure qu'on se rapproche du centre. Les isobares se présentent sous forme plus ou moins circulaire. Une telle région peut avoir un diamètre variant de quelques centaines de mètres à plusieurs centaines

140 000 morts au Bangladesh en 1991 après le passage du cyclone Gorky et la submersion qui s'ensuivit, 290 000 morts en Chine en 1976 après un séisme qui détruisit Tangshan... De fait, les risques naturels pèsent sur les sociétés humaines à travers le monde entier, avec une intensité variable. La France n'est pas épargnée, comme en témoignent par exemple la tempête de décembre 1999 ou la canicule d'août 2003 en métropole, ou encore le cyclone Dina à la Réunion en janvier 2002. L'idée que les hommes