Cymbale

L'œuvre adopte une forme classique ABCBA chez Reich (un premier et un dernier mouvement rapide, et un mouvement central plus lent). Les sons joués en direct sont couplés en général à un instrument classique (comme les bois pour les klaxons, ou les cymbales pour les bruits de freins). Les voix sont doublées par plusieurs instruments, mais contrairement aux premières compositions de Reich, elles ne sont pas à proprement parlé déphasées, mais utilisées d'un point de vue rythmique, dans une approche comparable

ne ressent aucun sentiment envers lui, n'éprouve aucun remords "j'en avais assez de rester là". Cependant, nous pouvons croire que Meursault était prédestiné à commettre un meurtre car ce passage est sublimé par la personnification des éléments "cymbales du soleil", et par le champ lexical du châtiment "céder; détruire; malheur". Enfin, la révolte contre les paroles d'espoir et de quiétude de l'aumônier, que Meursault n'accepte pas. Le registre tragique y apparait par la notion de la mort, le champ

"front" battant "ensemble sous la peau". Il est également question des "yeux", des "sourcils", des "cils" et des "paupières". Une sensation auditive aussi pénible vient rejoindre les sensations visuelles et tactiles : "je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front". L'environnement est hostile à Meursault; II] Une scène tragique Le retour du pge est présenté comme une banale promenade. Il se retrouve face à l'Arabe qui devient alors son adversaire, alors même qu'il est surpris

m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et

de la mélodie est plutôt rapide et ralentit à quelques reprises durant le morceau. La Musique est cadencée, les pulsations sont très marquées. Les instruments présents durant la totalité du morceau sont les tambours, trompettes, grosse-caisse, cymbales, trombone, saxophone et clarinette. La chanson est organisée sous forme de couplets et refrains, et de rimes. Le texte a subi plusieurs modifications de couplets, Rouget de Lisle a écrit 6 couplets et le 7ème a été ajouté plus tard. Paroles

d'une flûte alto), 2 haubois, un cor anglais, 2 clarinettes, 1 petite clarinette, 1 clarinette basse, 2 bassons, 1 contrebasson, 8 cors, 6 trompettes, 6 trombones, un tuba. Les percussions sont composées de ''triangle, caisse claire, grosse caisse, cymbales, wood-block'', xylophone, 2 harpes, et cordes (la partition prescrit un minimum de 16 premiers violons, 14 seconds violons, 12 altos, 10 violoncelle et 8 contrebasses. Et il a réussit a introduire un piano dans sa symphonie ce qui ne ce fesait pas

| | |(piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, cor anglais, petite clarinette, 2 clarinettes, clarinette basse, 2 bassons, contrebasson, 4 | | |cors, cornet, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, 3 saxophones, 3 timbales, 2 tambours, cymbale, tam-tam, célesta, harpe, 2 | | |violons, alto, violoncelle, contrebasse) | | |

encore un oiseau merveilleux. Ces cadeaux deviennent hyperboliques grâce à l’utilisation de comparatifs d’intensité (« cet arbre si grand que… » v.4 du cinquième sizain) ou de supériorité (« un chant plus doux que le hautbois/Plus éclatant que les cymbales » aux v.2 et 3 du dernier sizain). Ainsi, tant l’île que l’enfant est envisagé comme incarnant la beauté, la douceur et la puissance imaginative : cette vision s’oppose à la brutalité du réel que le poète exprime dans toute sa violence. Dès

frappant sa tendre poitrine palmis : de ses mains (534) « Perfidus ille abiit ; : il est parti le perfide qui mihi fiet ? » ait : que va-t-il m’arriver ? dit-elle (535) « qui mihi fiet ? » ait : que va-t-il m’arriver ? dit-elle cymbala sonuerunt : les cymbales sonnèrent (536) toto litore : sur tout le rivage ,et tympana adtonita : les tambourins en liesse plusa manu : frappés par la main (537) Excidit illa : elle s’évanoui metu : de peur rupitque : elle ne prononça plus novissima verba : de nouvelles paroles

défilée des créatures "L’aveugle", "la biche", "le nain", placé chacun en première position de trois vers successifs à la construction symétrique (sujet, verbe, complément). Enfin, la musique du cirque est elle-même présente avec “sonne en mesure les cymbales”.Dans la cette partie précédente, nous avons parlé de la manière dont Apollinaire a créé cette fantaisie avec la thématique du cirque. Maintenant dans la deuxième partie, nous étudierons le lyrisme et l’amour présentés dans ce poème.II. Le lyrisme