Cyrénaïsme

fondations directes d'une philosophie hédoniste sont la curiosité et le goût pour l'existence d'une part, et d'autre part l'autonomie de pensée. 4. →Histoire Dans l’Antiquité, cette doctrine est associée notamment à Aristippe de Cyrène et au Cyrénaïsme, mais aussi à Épicure, bien que leurs définitions du plaisir soient légèrement différentes. En effet, Épicure rappelle qu'un plaisir excessif actuel doit être évité s'il conduit à une douleur future alors que les Cyrénaïques insistaient sur le

| |3.7 Stoïcisme | |3.8 Épicurisme | |3.9 Cyrénaïsme | |3.10 Gnosticisme | |3.11 Spinoza

dernières années de la vie de Socrate sont presque totalement inconnues. En 400 av. J.-C., un autre disciple, le provoquant Antisthène, fonda la deuxième école des Petits socratiques : le cynisme. L’année suivante, Aristippe fonda la troisième école : cyrénaïsme. Aristophane a raillé Socrate dans sa pièce Les Nuées (423 av. J.-C.). Le procès de Socrate[modifier] Article détaillé : procès de Socrate. Plusieurs membres de la classe dirigeante athénienne affirmèrent voir en lui un esprit pervertissant

mal 3 Histoire du mal 3.1 Zoroastre 3.2 Pythagore et Platon 3.3 Premières occurrences du mal dans les textes judéo-chrétiens 3.4 Théodicée augustinienne 3.5 Les Présocratiques 3.6 Platon et néoplatonisme 3.7 Stoïcisme 3.8 Épicurisme 3.9 Cyrénaïsme 3.10 Gnosticisme 3.11 Spinoza 3.12 Leibniz 3.13 Kant - Définition du mal 3.14 Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling 3.15 Nietzsche 3.16 John Rawls - Théorie de la justice 3.17 Norman Spinrad 3.18 Marxisme 3.19 Michel Henry 4 Source du

-C., fonda la première école des « Petits socratiques » : le mégarisme. En 400 av. J.-C., un autre disciple, Antisthène, a fondé la deuxième école des « Petits socratiques » : le cynisme. L’année suivante, Aristippe fonda la troisième école : le cyrénaïsme. L’acmé de Socrate est contemporaine de la mort d’Anaxagore34 . Sa mort Un mois s'écoula entre la condamnation de Socrate et sa mort, pendant lequel il resta enchaîné dans la prison des Onze. Ses amis le visitaient et s'entretenaient avec lui quotidiennement

dans certaines religions. Ce pessimisme est parfois radicalisé, comme on le voit chez ce philosophe désespéré, Hegesias, "ministre de la mort", qui enseigna que la vie ne vaut rien, qu'il faut mourir pour être heureux. Sa doctrine (aboutissement du Cyrénaïsme) entraîna de nombreux suicides... Il y a enfin des philosophes qui remettent en cause le principe même du bonheur. Le raisonnement est le suivant : les moralistes estiment que les hommes font leur propre malheur ; mais ces hommes cherchent ce

dans une éthique de la qualité. Qualité du plaisir, plutôt que quantité. L’épicurisme n’a donc rien à voir avec un hédonisme vulgaire, une recherche effrénée du plaisir caricaturée dans le Gorgias (discours de Calliclès) et emblématisée par le cyrénaïsme., du nom de son fondateur, Aristippe de Cyrène, que la tradition présente comme un débauché (il va au bordel) et un travesti. L’épicurisme est un hédonisme, donc une recherche du plaisir, mais pas de n’importe quel plaisir. Il distingue entre plaisirs

(l'Expédient) et Pénia (l'Indigence)). De la même manière, Hadrien parlera plus loin de la « dure douceur » d'Antinoüs (171). L'amour n'est pas le libertinage, le pur aiguillon sexuel (allusion à Poseidonius), il ne s'achète ni se vend, dans un rejet du cyrénaïsme (courant qui affirme que le plaisir est la base de tout bonheur) ou encore d'un épicurisme mal compris, qui vanterait la luxure et la jouissance. Il présuppose une recherche authentique de la beauté physique et de l'accord des âmes. Mais cette

Chapitre 1 : Le bonheur consiste-t-il en la réalisation de ses désirs ?Introduction Face au bonheur, nous sommes spontanément subjectivistes et relativistes : subjectivistes en ce sens que l’expérience d’une vie « heureuse » nous semble pouvoir varier en fonction de la personnalité, des opinions et des horizons d’attente de chacun, et relativistes car il nous paraît impossible de définir de manière universelle et absolue ce qui mène à une telle expérience. Ainsi certains pensent-ils trouver le bonheur

même temps humaine, puisqu’elle fait place au sens commun et au plaisir que celui-là reconnaît sans hypocrisie. Nous avons donc trois positions sur le problème du Souverain Bien qu’il ne faut pas confondre : d’une part l’hédonisme défendu par le Cyrénaïsme d’une manière extrême, et l’Epicurisme d’une manière modeste ; au centre, dans la position du Juste Milieu, l’eudémonisme d’après lequel le plaisir trouve ses qualités dans les occupations et les fonctions plus ou moins nobles dont un homme est