Cytosine

favorisent l’expression des gènes. L’ADN se décompacte, les histones se dissocient de la molécule d’ADN. Si l’ADN est compacté au contraire, aucune protéine responsable de la transcription des gènes peuvent se fixer sur la molécule. La méthylation des cytosines a tendance à inhiber l’expression des gènes. La phosphorylation : on ne connait pas le rôle.  La modification des queues d’histone contrôle la condensation de la chromatine. Quand on parle de modifications post-traductionnelles on parle de phénomène

l’échelle de l’ADN, car elle provoque la cassure d’un ou de ses deux brins. Rappelons, ici, la structure de cette molécule : elle est composée de deux chaînes de nucléotides (un phosphate, un sucre, une base azotée qui varie : Adénine, Guanine, Thymine, Cytosine liés entre eux par des liaisons d’hydrogènes) qui portent les gènes. structure de l'ADN Si l’on modifie cette structure, alors cela amène à altérer l’information génétique. Il y a rupture de chaînes provoquant plusieurs modifications de

analogue nucléosidique de la guanosine qui s'incorpore aux chaines d'ADN en élongation et induit l'apoptose. Des essais de phase III sont en cours dans le traitement du glioblastome. D'autres enzymes sont employés dans ce type de stratégie :
· la cytosine désaminase transforme la 5FC en 5FU
· la XGPRT permet le passage de la 5-thioxanrthine en un
métabolite toxique
· le cytochrome P450-2B1 transforme le cyclophosphamide en
4-Ohcyclophosphamide On observe actuellement la mort d'une quantité beaucoup

différences s’expriment sous forme de mutation au sein des ces séquences : —  Mutation par substitution dont la plus récurrente est le remplacement de l’adénine par la guanine ou le remplacement de l’adénine par la thymine ou de la thymine par le cytosine —  Mutation par insertion ou délétion soit par ajout ou suppresion d’un nucléotide. Ainsi , on peut supposer que le gène de la pinopsine du poulet et du dindon sauvage est issu d’un ancêtre commun et qu’il a évolué par mutation pour s’adapter à

une macromolécule constituée d’une chaîne de nucléotides. Chaque nucléotide est composé d’un acide phosphorique, d’un glucide à cinq atomes de carbone (le ribose), et d’une des quatre bases azotées suivantes : A pour Adénine, U pour Uracile, C pour Cytosine et G pour Guanine. Il existe plusieurs types d'ARN qui assurent des fonctions différentes dans les cellules. L’ARN messager assure le transfert de l’information génétique du noyau au cytoplasme. Document 9 Représentation schématique d’une molécule

d'environ trois milliards de nucléotides qui, en s'enchaînant les uns aux autres en deux brins complémentaires, constituent le chromosome. Les nucléotides sont de quatre types différents représentés par des lettres : A (adénine), T (thymine), C (cytosine) et G (guanine). Ces nucléotides se succèdent en nombre variable pour constituer des séquences spécifiques qui peuvent se répéter plusieurs millions de fois. Ces séquences, par leur taille, leur nombre et leur disposition, sont propres à chaque personne

génétique, les cellules d’un même organisme se spécialisent. S’appuyer d’un exemple. Notions fondamentales : cellule, matrice extracellulaire/paroi, tissu, organe ; organite, spé- cialisation cellulaire, ADN, double hélice, nucléotides (adénine, thymine, cytosine, guanine), complémentarité, gène, séquence. 2. Définir ce qu’est un métabolisme autotrophe ; un métabolisme hétérotrophe. Comment expliquer que toutes les cellules n’ont pas le même métabolisme ? Notions fondamentales : métabolisme, autotrophe, hétérotrophe

bases. Ces lésions sont réparables. La cassure double brin (notée CDB) est une rupture simultanée des deux brins d’ADN. • - Les bases peuvent être détruites ou modifiées. La thymine est plus susceptible de subir ce changement, suivit de la cytosine, l’adénine et la guanine. Une lésion du désoxyribose est possible mais très rare. 12 - - Des pontages (rattachement de deux molécules d’ADN) et la formation de liaisons intrachaînes et interchaînes entre ADN et protéine (dimères) Des

du soleil [8]. Le potentiel génotoxique des UVA a longtemps été sous-estimé. Il passe à la fois par des réactions oxydatives et, comme pour les UVB, par la formation au niveau de l’ADN de dimères de pyrimidines et de mutations de base thymine en cytosine [12]. La formation des dommages à l’ADN par les UVA est 1 000 à 10 000 fois inférieure à celle produite par les UVB. Cependant, le fait que le rayonnement UVA soit capable d’atteindre les couches les plus profondes de l’épiderme (Figure 3), et que

environ trois milliards de « lettres » chacun. Celles-ci sont appelées bases et sont puisées dans le modique alphabet génétique. Il n’y a que quatre caractères différents : A, T, G, C, qui sont respectivement l’adénine, la thymine, la guanine et la cytosine. Les brins sont attachés de la manière suivante : A avec T et C avec G. Le principe de la puce à ADN repose sur la propriété que possède l’ADN de reformer sa double hélice en présence d’un brin complémentaire. Dans l’ADN humain il existe environ