Célibattante

produits de qualité et donc les produit de luxe (Hermès : + 46%, hôtels de luxe…) 2. Les 8/14 ans : les lolitas et lolitos : ils ont de l’argent de poche (parents, grands parents, arrières grand parents…) 3. Les jeunes femmes de 25/ 35 ans : les célibattantes 7 Arrivée de plusieurs millions de nouveaux consommateur 7 Comment rester un produit de luxe face à une demande de plus en plus importante ? (Les marques vont augmenter leurs prix En 2025 : Il y aura le même phénomène mais encore plus amplifié

nous avons effectué la segmentation suivante : Les adolescents : préadolescents de -10 ans et adolescents jusqu'à 25 ans Les papy boomers : 20 ans en 1968 Early-adopters : les influenceurs, acheteurs précoces à l'affut de nouveautés Les célibattantes : femmes célibataires urbaines, actives et ambitieuses Les dinks : double incombes, couples mariés sans enfants Les week-enders : concentrent leurs achat le week-end Les bobs : bourgeois bohèmes Les oupos : enfants omnibulé par leur réussite

Seconde cible Les personnes qui achètent du prêt-à-porter de luxe, 26-35 ans, jeunes diplômés ou cadres moyens et supérieurs. C’est une population active qui a fait des études supérieures. Concernant la gente féminine, on retrouve de nombreuses « célibattantes » qui non donc pas d’enfants et les moyens financiers de s’offrir des produits de luxe. La gamme de produits Nous avons donc décidé de faire passer la gamme Burberry Prorsum, du statut haut de gamme au statut luxe en créant cinq nouveaux

qui ne répondent à aucune CSP sont plus difficiles à cerner. C'est le cas des early adopters. Ils s'agit d'acheteurs précoces qui jouent un rôle d'entraînement stratégique en raison de leur pouvoir d'influence. Autre groupe transversal, les « célibattantes ». Femmes célibataires, urbaines, actives et ambitieuses elles cultivent leur forme, leur look et leurs passions à l'image de Bridget Jones. Les « bobos » (bourgeois bohémiens) constituent un groupe "paradoxal". Ils votent à gauche mais vivent

ne peux pas encadrer... Des nuls, des soumis et des glandeurs L'entreprise aime les typologies, cela la rassure. Dans la novlangue de l'entreprise, il y a d'abord des familles de consommateurs, des « adulescents » aux « papyboomers », des « célibattantes » aux « dinks » (double income, no kids), en passant par les « influenceurs », les « bobos », les « early adopters »... Il s'en crée chaque année de nouveaux. S'il y a des catégories d'acheteurs, existe-t-il des familles de travailleurs ? Oui,

pourquoi est-ce à vous de subir les affres de la Loi de Talion et les injustices de la condition féminine d’antan (ou d’Afghanistan) que nous rejetons quant même en bloc aujourd’hui ? Et puis surtout, à force de jouer les grandes filles, les célibattantes qui s’assument, à force de leur trouver des défauts aux hommes, on a un peu oublié le plaisir de l’amour et on commence parfois à repenser , en seule compagnie d’un vibro en plastique vert, aux délices de la chair… avec un homme, un vrai, avec

sont des néologismes nés de la fusion d’au moins deux mots déjà existants dans la langue ; la publicité n’est pas la seule à (ab)user des mots-valises : songez par exemple aux « adulescents » du marketing (« adultes » + « adolescents »), à la « célibattante » des magazines féminins (« célibataire » + « battante ») ou à la « stagflation » des économistes (« stagnation » + « inflation »)… Le néolangage publicitaire a quant à lui inventé « croustifondant » pour qualifier les gaufrettes Verkade (à la

spécialisé (formule club ou en grappe). Evidemment cette liste n’est pas exhaustive, d’autres groupes peuvent exister, apparaître. A vous d’ouvrir l’œil sur les besoins de vos congénères ! ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ Les obèses Les célibataires, célibattants (condition choisie) et solitaires Les gays et nouveaux hermaphrodites Les rurbains Les femmes hyperactives et Hillariennes Les groupes ethniques Les créatifs culturels Les seniors Les nomades Les passionnés thématiques Les handicapés Les alterconsommateurs