Daniel Cohn-Bendit

sovereignties, and to resolve international disputes collectively. This contradiction led, in turn, to the “right of intervention,” which also pretends to limit political sovereignty by a legal norm and, ultimately, by “moral” values. For example, Daniel Cohn-Bendit and Zaki Laïdi have declared that “ethical sovereignty is a new way to think about sovereignty,” and they have defined this new form as “the refusal to allow anyone to claim sovereignty for objectives contrary to basic freedoms and human rights

à parler de « soixante-huitards » à propos de quinquagénaires dont l’esprit d’indépendance ou de non-respect de l’autorité restent des traits dominants de leur caractère ? (cf. le retour en force depuis les élections européennes de 1999 de Daniel Cohn-Bendit). Comment ne pas être frappé également par la réaction instinctive de nombreux Seniors âgés (les « paisibles »  et « TGV/très grands aînés », c’est-à-dire les 75-85 ans et les + de 85 ans) à stocker des produits de première nécessité. Le sucre

grâce auquel donner forme aux inquiétudes et aux pulsions qui habitent. Lui proposer des cadres dans lesquels il puisse apprendre la densité du geste et la maîtrise de soi, se former à la détermination de l'agir (page 266). 5. Daniel Cohn-Bendit : Daniel Cohen-Bendit, incarnée en France le mouvement anti autoritaires en mai 1968. Il parle l'argument d'autorité qui consiste à imposer son point de vue, sans discussion, parce qu'on est l'autorité, le pouvoir. Pour lui, refusé l'argument d'autorité

déboucher avec son départ du pouvoir en 1969 sur un démenti de la politique gaulliste. Il va révéler son habileté politique à l’épreuve de ce qu’il qualifie de grand chambardement. La crise étudiante sont pour lui « les enfantillages » (notamment Daniel Cohn-Bendit), les ouvriers et la crise sociale c’est pour lui : « la chienlit ». Puis la crise politique qu’il qualifie de situation « insaisissable » jusqu’à ce qu’il démêle la situation. Au lieu d’opter sur le choix de la situation d’état d’urgence, il

Gay Lussac. Je vais vivre ces événements un peu sur le mode décrit par Stendhal à propos de Fabrice Del Dongo à la bataille de Waterloo. Je construis des barricades, je plaisante avec des C.R.S., j'écoute sur un transistor les discussions entre Cohn Bendit, Sauvageot et Geismar avec le recteur Roche et le préfet Grimault. A deux heures du matin, la police charge, la violence éclate. Comme la chèvre de Monsieur Seguin, je tiens jusqu'au lever du jour. Je m'échappe de la souricière en courant comme

"rapporteur public" au conseil d'Etat exprime l'évolution de jurisprudence administrative qui a eu lieu l'an dernier. En effet le conseil d'Etat réuni en assemblée du contentieux, sa plus solenelle formation, a enfin abandonné sa jurisprudence Cohn-Bendit, vieille de 31 ans, qui refusait de donner un effet direct dans l’ordre interne aux directives communautaires. Dans son arrêt Perreux, elle reconnaît désormais qu’une directive, même s’il elle n’a pas été transposée dans le droit national, peut-être

Condorcet sur le poste de professeur de khâgne en remplacement de Ferdinand Alquié. Ce poste était initialement occupé par le professeur Henri Dreyfus-Le Foyer (jusqu'en 1940) évincé en raison de sa qualité de juif. Ce fait révélé en octobre 1997 par Jean Daniel dans un éditorial du Nouvel Observateur sera reproché à Sartre. Ingrid Galster se pose la question de la qualité de l'engagement de Sartre et remarque « qu'il l'ait voulu ou non voulu : objectivement, il profitait des lois raciales de Vichy9. » Il

où le requérant n’invoque pas de dispositions réglementaires entre l’acte individuel et la directive. Cette solution de principe a été rendue par un arrêt de principe du 22 décembre 1978, affaire Cohn-Bendit (GAJA). a) La portée de cette jurisprudence En l’espèce, M. Cohn-Bendit adresse au ministre de l’intérieur français une demande d’annulation d’accéder au territoire français, en invoquant la contrariété de ce refus à l’encontre d’une directive. Le CE va estimer que la

Pompidou => majorité confortable pour gouverner * Election législatives 1967 droite = 1 siège de majorité * Malaise politique & social => crise mai 68 * Crise étudiante débute par « mvmnt du 22 mars » à Nanterre dirigé par Daniel Cohn-Bendit (entre autres) * Influencé par Trotskysme (extrême gauche qui veut généraliser la révolution communiste) + révolution culturelle chinoise : petit livre rouge de Mao + Ernesto Guevara (Che) * Apogée guerre du Vietnam & mvmnt protestation

bourgeoises…) se développe et part de Nanterre, les étudiants étant mobilisés par des gauchistes (personnes d’extrême gauche se réclamant de l’anarchisme, du trotskisme ou du maoïsme, donc anticapitalistes mais aussi antisoviétiques, à l’image de Daniel Cohn-Bendit). En mai, l’agitation (qui aboutit à la fermeture de l’université de Nanterre) se transforme en crise avec des affrontements violents entre étudiants et forces de l’ordre à Paris (nuit des barricades au quartier latin). La crise devient alors