Daniel Durand

donc plu s mûre et plus lucide que Just, en particulier en ce qui concerne ses sentiments. En devenant femme, elle se rend vite compte qu’elle est liée à lui par quelque chose de plus profond qu’un simple rapport fraternel. Le Chevalier Nicolas Durand de Villegagnon est membre de l’ordre de Malte et le vice-amiral de Bretagne. Il a une ambition démesurée, il a pour but «d'apporter les secours de la civilisation dans ces contrées de cannibales», pour lui il s’agit d'une entreprise juste et nécessaire

l'établissement de comptoirs assurant une présence durable, les navigateurs bretons jouèrent un rôle de premier plan, qu'il s'agisse du projet de fondation de la France antarctique en 1555 dans la baie de Guanabara (Rio de Janeiro) sous la direction de Nicolas Durand de Villegaignon, vice-amiral de Bretagne, ou plus encore du projet de la France équinoxiale en 1610, avec la fondation de São Luis, dans l'île côtière du Maragnon, dans le nord du Brésil, par le seigneur de La Ravardière, parti de Cancale. Ces deux

Jean DE LÉRY, Histoire d'un voyage fait en terre de Brésil, 1578, Extrait chapitre VIII I. Introduction de la lecture analytique : L'auteur : Jean DE LÉRY (1536-1613) est un auteur humaniste du deuxième moitié du XVIème siècle.(Renaissance/Humanisme). Œuvre : Histoire d'un voyage fait en terre de Brésil, il s'agit d'un texte argumentatif. Il décrit dans son œuvre, la vie des Tupinambas (peuple indigènes d'Amazonie). Situation : Suite à la découverte du Brésil par Villegagon en 1555, LÉRY

III) Résumé : En 1555, à la demande du roi Henri II, la France entreprend un voyage vers le Brésil afin d'y implanter la France antarctique et d'y établir une colonie, sous le commandement du chevalier Nicolas Durand de Villegagnon. Alors que le voyage se prépare, l'officier Le Thoret cherche dans la ville de Rouen des volontaires qui doivent nécessairement être des hommes puisque l'amiral refuse la présence des femmes. Au même moment, le chevalier Dom Gonzagues tente de trouver des jeunes enfants

A.Découverte de Vasco de Gama B.Découverte de Christophe Colomb C.Découverte de Magellan D.Découverte de Bartolomé Diaz E.Découverte de Jacques Quartier F.Découverte de Amerigo Vespucci G.Découverte de Walter Raleigh H.Découverte de Nicolas Durand de Villegagnon III. La comparaison des découvertes I. Les causes des grandes découvertes A. Développement scientifique et technique 1. L’utilisation de compas Les marines européens pouvaient faire des voyages

partie du public se déplaçant même uniquement pour se moquer des œuvres exposées. Malgré tous ces désaccords, les artistes impressionnistes gagnent peu à peu les faveurs du public et de leurs pairs, notamment grâce à l'aide du marchand d'art Paul Durand-Ruel, qui les fait exposer à Londres et New York . Renoir finit par accéder à une relative sécurité financière en 1879, suivi par Monet au début des années 1880 et Pissarro dans les années 1890. CONCLUSION : L’ impressionnisme reste l’une des

Jean de Léry, né vers 1536 à La Margelle, terre de Saint-Seine (actuelle Côte-d'Or, France), mort vers 1613 à L'Isle (Suisse) à l'âge de 79 ans, est un voyageur et écrivain français. 1613 : mort de Jean de Léry, à l’Isle en Suisse, à l'âge de 77 ans. il est connu pour ses histoires vivantes qui racontent la vie dans le Nouveau Monde. il apprend le métier de cordonnier, et se convertit au protestantisme ; il se réfugie à Genève, auprès de Calvin. A l’âge de 18 ans, il se réfugie à Genève

l'atelier. 1886, Paul Durand-Ruel organise la première exposition de Degas à New York où une vingtaine de nus crée la polémique. En 1889, Huysmans consacre un chapitre aux nus de Degas dans son recueil "Certains". Degas travaille la sculpture. Vers 1890, Degas délaisse la peinture pour se consacré au pastel et aux monotypes et pratique la photographie. Il achète des tableaux d'ingres et de Delacroix. L’exposition de vingt-six paysages qu’il présente en octobre 1892 à la galerie Durand-Ruel est sa première

leurs origines, Colombe est plus lucide que Just sur ses sentiments. En devenant femme, elle se rend vite compte qu’elle est liée à lui par quelque chose de plus profond qu’un simple rapport fraternel. c) Le Chevalier Nicolas Durand de Villegagnon Le Chevalier Nicolas Durand de Villegagnon est membre de l’ordre de Malte (ordre catholique dont les membres ont une fonction d’hospitaliers et de militaires) et « vice-amiral de Bretagne ». Animé par une ambition démesurée, il entend « apporter les secours

moi, l’auteur voulait représentait la beauté de la nature, dont les deux personnages faisant partis, dans cette œuvre, qu’on doit la chérir comme un bijou tellement que la nature est belle. Cette peinture, exposée dans les locaux de la galerie Paul Durand-Ruel pour le deuxième Salon impressionniste sous le titre de la Promenade, a été peu remarquée à l’époque, mais les rares commentaires étaient favorables.4