Dans La Maison Natale

qu'elle considèrait comme sa grand-Mère et sa maîtresse. La jeune fille était sourde d'une oreille.Lalla Asma avait deux enfants (Zohra et Abel) qui n'aimaient pas Laïla. Suite au décès de sa maîtresse, Laïla s'est réfugiée au Fondouk, une sorte de maison ouverte, A partir de ce moment là, la jeune fille découvre une autre vision de la vie. Elle était très amie avec les autres filles du centre, particulièrement Houriya , la directrice Madame Jamila n'aimait pas que Laïla traîne avec Houriya et Suite

prendre en compte avec un public fragilisé, plus âgé. Décembre 2008, un médecin à Bruxelles nous contacte concernant une dame albanaise de 67 ans, isolée, vivant en maison de repos, son état se dégrade depuis quelques mois. Ma collègue et moi-même décidons de la rencontrer accompagnées de son médecin traitant, à la maison de repos. Madame ne parle pas très bien le français, elle a un accent et mélange plusieurs langues, mais nous comprenons vaguement ses propos. Elle semble ravie de nous

Epreuves communes de français. La vengeance (Après une longue absence, Orso est sur le point de retrouver son village natal en Corse. Colomba, sa sœur, qui l’accompagne, s’arrête au détour d’un chemin.) « Orso, dit-elle, c’est ici que notre père est mort. Prions pour son âme, mon frère ! » Et elle se mit à genoux. Orso l’imita aussitôt. En ce moment la cloche du village tinta lentement, car un homme était mort dans la nuit. Orso fondit en larmes.

époque. Sa femme a les cheveux très bruns, coiffés en bandeau. Tous deux semblent appartenir à un milieu bourgeois. Les différents moments de la vie de Frida Kahlo sont représentés : la conception, la grossesse de sa mère, la vie heureuse dans la maison de famille. Frida s’est représenté par un portrait en pied, le seul du tableau, ce qui lui permet de représenter sa jambe malade : la jambe gauche est entourée par le feuillage d’un petit arbuste fleuri. L’attitude de l’enfant est assurée : elle

juillet 1676 et mort à Paris le 11 juin 1756, est un grammairien et philosophe français. Après avoir fait ses études chez les Oratoriens de sa ville natale, il entra dans leur congrégation dont il sortit bientôt pour venir étudier le droit à Paris. Obligé par son peu de fortune d’abandonner le barreau, il devint précepteur chez le président de Maisons, puis chez Law, et enfin chez le marquis de Beaufremont. Il ouvrit enfin une pension rue Saint-Victor, mais il y eut peu de succès et vécut toujours

Je me libère de toutes pressions, de l’envoûtement au nom de Jésus Que toutes les citadelles maléfique de l’esprit de sorcellerie dans mon village natal, les carrefours de mon quatier, dans toute les réunions ayant lieu durant le jour ou durant la nuit, coordonnés par la sorcellerie ; que l’arbre qui vous reçoit, la maison qui acceuille, le carrefour qui vous accuielle, maintenant même,reçoivent le feu et soient réduits jusqu’aux cendres, au nom de Jesus ! Eternel, enseigne-moi à éviter

La baronne danoise Karen von Blixen-Finecke est née le 17 avril 1885 à Rungstedlund et est décédée le 7 septembre 1962 dans sa ville natale. Karen fait ses études à Copenhague, puis des études d’art à Paris et à Rome. Elle fait ses débuts d’écrivain en 1907 par la publication d’un conte Les reclus(Eneboerne), puis d’autres jusqu’en 1909 mais Karen arrête d’écrire à cause du manque de succès de ses romans. En décembre 1912, elle se fiance avec le baron Bror von Blixen Finecke. Le 14 janvier

de soixante-quatorze ans. Plus de trois siècles après sa mort, Jean de La Fontaine est toujours présent à Château-Thierry : en effet, depuis 1876, un musée consacré à la vie et à l'œuvre de ce génial poète et fabuliste a été aménagé dans sa maison natale.

apporte la richesse. En 1881, il publie son premier volume de nouvelles sous le titre de La Maison Tellier, qui atteint en deux ans sa douzième édition. 1883, Maupassant termine son premier roman, qui lui aura coûté depuis 1877 six années : c'est Une vie, dont vingt-cinq mille exemplaires sont vendus en moins d’un an. Avec les droits d’auteur de La Maison Tellier, Maupassant se fait construire sa maison. En 1883, naît son premier enfant, un garçon, fils de Joséphine Litzelmann couturière modiste

rapport qu'entretiennent avec elle ceux qui sont nés dans un univers hanté par l'objet d'art, propriété familiale et familière, accumulée par les générations successives, témoignage objectivé de leur richesse et de leur bon goût, parfois « produit maison », à la façon des confitures et du linge brodé. La familiarité statutaire se manifeste par exemple dans l'information sur les occasions et les conditions de l'acquisition de l'œuvre d'art qui dépend non seulement des capacités matérielles et culturelles