Dans l'antre du roi de la montagne

LE CONTE DE PSYCHÉ : APULÉE, LES MÉTAMORPHOSES Traduction : Entre-temps, Psyché, malgré sa splendeur évidente, ne recueille aucun fruit de sa beauté. Elle est regardée par tous, elle est louée par tous, mais il n'y a personne, ni roi, ni prince, ni même homme du peuple qui se présente avec le désir d'obtenir sa main. Certes, on admire son physique de déesse, mais c'est comme une statue artistement polie que tous l'admirent. Depuis longtemps ses deux sœurs aînées, dont le public n'avait pas

berger qui rentre/salue celui qui sort, et celui qui sort lui répond ». Adepte de la prudence, Ulysse envoie trois de ses compagnons s'enquérir des « mangeurs de pain » vivant sur cette île. Ceux-ci rencontrent une femme « aussi haute qu'une montagne », femme du roi Antiphatas. Celui-ci arrive et tue un des compagnons « pour son repas ». Ici encore nous avons affaire à un monstre anthropophage, cruel, sanguinaire, que nous pouvons d'ailleurs rapprocher au cyclope Polyphème. Ces monstres n'ont pas

retrouve le lendemain soir à servir à manger et à boire à treize nains ainsi que Gandalf. Thorin, le chef de la compagnie, explique son intention de récupérer le trésor volé par Smaug le Dragon, dans la Montagne Solitaire, Erebor, ancienne demeure des nains. Après que Gandalf ait donné une carte de la montagne ainsi que la clé d'une porte secrète à Thorin, celui-ci explique à Bilbo pourquoi il a été choisi pour les suivre : il serait, selon les dires de Gandalf, un cambrioleur parfait, qui pourra les aider

de treize nains, Thorïn (leur chef), Dwalïn, Kili, Fili Nori, Bombur, Ori, Dori, Bofur, Nori, Bifur, Gloïn, Nori, Oïn et Balïn. Ils cherchent un nouveau membre, un voleur professionnel, pour pouvoir atteindre leur objectif, à savoir arriver à la Montagne Solitaire, tuer le dragon Smaug et reprendre son trésor ainsi que son royaume. Conseillés par Gandalf, ils choisissent ainsi Bilbo, qui, même s’il n’a rien demandé, se retrouve entraîné dans l’aventure.Après quelques jours, le groupe est fait prisonnier

1.Les Cicones Après la prise de Troie et sa destruction, les héros grecs entreprennent de rentrer chez eux. Ulysse, le roi d'Ithaque, et ses compagnons longent d'abord les côtes de Thrace jusqu'au pays des Cicones. Là, ils s'emparent de la ville d'Ismaros qu'ils mettent à sac. Mais tandis qu'ils ripaillent en fêtant leur victoire, d'autres Cicones appelés à la rescousse les surprennent et les forcent à fuir après avoir subi de lourdes pertes. 2. Les Lotophages Après l'épisode désastreux des Cicones

Les jeunes seigneurs du pays s’étaient installés dans son palais. Ils passaient le temps à festoyer, à dévorer les biens d’Ulysse. Pire ! Ces misérables assaillaient Pénélope, la suppliant de choisir l’un d’eux, de l’épouser, d’en faire le nouveau roi d’Ithaque. Mais la reine refusait : elle espérait toujours que son Ulysse généreux reviendrait. Pour tromper les prétendants, elle inventa la ruse de la toile. « Mes jeunes prétendants, leur dit-elle, je sais bien qu’Ulysse est mort !

vivait dans une forêt d'Argolide. Elle terrorisait les habitants de cette région. Ses rugissements étaient si glaçants que bergers et laboureurs se terraient dans leurs maisons. Hercule, armé d'un arc, de flèches et d'une massue se dirigea vers l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si dure qu'aucune flèche ne pouvait l'entamer. Les flèches dérisoires ricochaient sur la terre. Hercule ne se laissa

peur de rien, il était incroyablement fort. Après quelques années, il devint colossal : il n'arrivait pas à maîtriser sa force. Personne n'osait le défier à la course tant il était rapide. Hercule se maria ensuite avec Mégara, la fille de Créon, le roi de Thèbes, après avoir empêché l'armée d'Erginos de conquérir le royaume de Thèbes. Ils eurent plusieurs enfants. Mais Héra, la déesse femme de Zeus, qui était furieuse que son mari l'ait trompée avec une simple mortelle s'en prit à Hercule. Elle demanda

en premier dans un tribunal macabre par les voyous de la ville puis par l’action de la police devant un vrai tribunal qui le jugera a mort. C’est le premier film parlant de Fritz Lang. Avec l’utilisation d’un leitmotiv musical (Dans l’antre du roi de la montagne) pour donner plus d’intensité et au suspens du film. Ce film est la représentation de la montée du nazisme en Allemagne de Fritz Lang méfiant de se mouvement mensonger. Le titre original du film est « Les assassins parmis nous » référence

ne sais par où je commence, Tant ai de matière abondance Pour parler de ma pauvreté. Par Dieu vous prie, franc roi de France, Que me donniez quelque chevance, Ainsi ferez grand'charité. J'ai vécu d'argent emprunté Que l'on m'a en crédit prêté; Or ne trouve plus de créance, On me sait pauvre et endetté Mais vous hors du royaume étiez, Où toute avais mon attendance Grand roi, s'il advient qu'à vous faille, (A tous ai-je failli sans faille) Vivre me faut et suis failli. Nul ne me tend