Dans Quel Contexte Est Né Le Christianisme

Les peplumPorqué ? C’est un vêtement plutôt grand, large. Souvent, beaucoup de plis, comme un film. Souvent brodés. Apparaît dans les cinés clubs parisiens, entre 59 et 60. Milieu très restreint. Un réalisateur comme Tavernier, témoigne. Au départ, pour les puristes, seulement les films italiens qui traitent de l’Antiquité. Claude Aziza, spécialiste du cinéma, et du peplum. Dès le départ, comme pour les livres du 19ème, se moquent de la réalité. De ce que devait être l’Antiquité. Reprend la litté

Révolution Le mariage est premièrement un élément issu de la tradition. C’est une union perpétuelle (pour l’Église) mais également une union qui se fonde sur le droit naturel (élément de la Révolution). « Le mariage existait avant l’établissement du christianisme ». Favorable à l’Ancien Régime. Le mariage est pour lui aussi un élément de Révolution car il sera maintenant état d’un « contrat civil ». Le mariage fait donc naître des droits et des obligations. On installe donc une base laïque pour le mariage

part, celles issues de la communauté scientifique, notamment suite aux travaux de Charles Darwin et de ses successeurs, qui décrit l’homme comme le produit de l’évolution ; D’autre part, celles des principales religions monothéistes (judaïsme, christianisme et islam), pour qui le monde (et les hommes) sont issus de la Création divine. Face à une opposition aussi fondamentale, on imagine aisément les aléas des relations qu’entretiennent entre elles Science et Religions monothéistes, à la fois douloureuses

qui entraînent le déclin du commerce transaharien avec un bouleversement du trafic Ainsi, ds ce nouveau contexte, les chefs de tribu vont utiliser l’islam pour fédérer les ethnies, provoquant alors une islamisation des sociétés africaines, tandis que les pop noires animistes st étouffées par la poussée musulmane, ce qui explique qu’ils accueillent le colonisateur – et ac lui le christianisme – en libérateurs. La fracture Nord-Sud à l’intérieur des Etats : pratiquement tous les Etats africains

de la philosophie traditionnelle et du christianisme. En 1883-85 : « Ainsi parlait Zarathoustra », 1886 : « Par delà le bien et le mal » 1887 : « Généalogie de la morale », 1901 : « La volonté de puissance »; toute sa doctrine trouve son épanouissement dans ces œuvres ou se précisent les concepts du nihilisme, du surhomme, de la volonté de puissance, de l’éternel retour. En 1888 : « Ecce homo », « L’antéchrist », où il attaque de nouveau le christianisme. Enfin, encore en 1888, il publie « Crépuscule

Charlemagne par Egindhard pour qu’il retrouve une gloire qu’il gardera par la suite. Le Contexte historique lors de la promulgation : A la date de ce texte, cela fait treize années que l’armée franque et Charlemagne sont en conflit permanent avec la Saxe. En effet, Charlemagne veut établir sa « dilatatio regni » habituelle. Mais celle-ci s’accompagne aussi d’une dilatation religieuse visant à convertir au christianisme le peuple saxon païen qui résiste à toute évangélisation. Cette politique impérialiste

de la religion chrétienne, dont la rédaction, fragmentée par la maladie et la fin édifiante de l’homme, à donné ce que nous appelons les Pensées. b Les Pensées (1670) (œuvre posthume) Pascal entreprend en 1656, l’écriture d’un Apologie du christianisme, dont les fragments sont regroupés dans les Pensées, publiées en 1670, après sa mort. Les Pensées constituent une succession de remarques de longueurs différentes, dont le but est de définir l’homme. Le thème principal de cette œuvre est la défense

un désir négatif adéquatement, alors il devient un désir joyeux, un désir conforme à son essence de désir (Spinoza). c) La condamnation chrétienne du désir et l’amor fati Le christianisme condamne les désirs sensuels (péchés capitaux) et valorise des désirs spirituels (foi, espérance, charité). De la sorte, le christianisme valorise un arrière-monde, une après-vie, et dévalorise la vie sensible qui nous est donnée. Ainsi, il faut le rejeter (Nietzsche). Il faut désirer que ce qui arrive arrive. Il

QU’EST-CE QU’UNE NATION ? Discours de mars 1883 prononcé à la Sorbonne Contexte : Perte de l’Alsace Lorraine apr la défaite de 70. Ce discours résume les oppositions entre la pensée allemande et la pensée française sur la notion de nation (concept issu et diffusé depuis la Révolution française + pb des nationalités et des mouvements nationalistes en Eur) Analyse du concept de nation selon les conceptions de l’époque La thèse de Renan : la nation se fonde sur le passé, sur l’héritage, qu’il s’agit

rites très ouverts après lesquels on avait des réponses à de grandes questions. A ces mystères ce sont ajoutés des tas de religions orientales (à l'époque romaine, grâce à la grandes ouverture de leur civilisation) qui ont préparé le terrain au christianisme. Ces chrétiens sont devenus des fauteurs de trouble et c'est pour cela qu'ils ont été persécutés par les romains. Les rites orphiques : rites initiatiques réservés à une sorte d'élite. Il semblerait que ces rites reposent sur l'idée très nouvelle