D'autres mondes

 Moorcock, Leiber, et bien d'autres grands maîtres magiciens qu’il a eu cet amour de la littérature fantastique. Ces lectures avaient de l’impact sur son imagination, voire sur sa personnalité, et il n'avait pas l'impression d'inventer quoi que ce soit car pour lui, l’histoire se déroulait exactement dans sa tête. Malgré les tournées aux quatre coins de la France pour des animations ou des salons, Pierre Bottero passait l'essentiel de son temps à écrire. C’est ainsi que d’autres livres sont parus chez

l’exagération sur les qualifications du docteur enseignant en « métaphysico-théologo-cosmolonigo-logie », d’une part fait rire et d’autre part discrédite et donc critique son statut. Il en est de même pour l’anaphore du superlatif « le meilleur » repris trois fois sur trois lignes qui critique de manière dissimuler l’optimisme de certaines personnes « tout est beau dans le meilleur des mondes ». En ce qui concerne le discours de ses personnages, Voltaire ironise aussi. Au chapitre onzième, à propos de l’histoire

Le meilleur des mondes- Huxley Dans ce livre visionnaire écrit dès 1932, Aldous Huxley imagine une société qui utiliserait la génétique et le clonage pour le conditionnement et le contrôle des individus. Dans cette société future, tous les enfants sont conçus dans des éprouvettes. Ils sont génétiquement conditionnés pour appartenir à l'une des 5 catégories de population. De la plus intelligente à la plus stupide: les Alpha (l'élite), les Bétas (les exécutants), les Gammas (les employés subalternes)

de pure forme, et constitue un simple jeu avec le lecteur, appelant des lectures à clés. Le refus de l’auctorialité apparaît également dans un grand nombre de romans signés par leur auteur. Il existe un grand nombre d'articles sur le sujet. Ouvrez d'autres textes romanesques du XVIIIe : vous verrez que l'auteur ne se présente très souvent que comme un simple traducteur, éditeur d'un manuscrit retrouvé ou confié, compilateur de correspondances, raconte qu'il écrit sous la dictée, etc. Les préfaces de

Résumé Fiche de lecture Le meilleur des mondes Rédigée par Jobin Eslahpazir Le 02 janvier 2011 Introduction Nous pouvons prétendre sans l’ombre d’un doute qu’Aldous Leonard Huxley est l’auteur qui, mieux que quiconque, caractérise la tension présente au début du siècle, appelée « les deux cultures »1 entre les sciences expérimentales et les humanités (comprendre par cela, littératures et les sciences humaines au sens large du terme). L’importance d’Huxley tient non seulement au fait qu’il est

critique l’optimisme et s’attaque au raisonnement de Leibniz tout au long de son oeuvre, montrant son oppostion aux théories de ce dernier. Nous nous attarderons sur le chapitre 3, qui marque les premières aventures de Candide dans le “meilleur des mondes” qu’il va enfin être capable de découvrir lui même après avoir été chassé du chateau de Thunder-ten-tronckh. A travers ce chapitre, Voltaire vise à dénoncer la barbarie de la guerre en s’appuyant sur un registre profondément ironique. Notre parcours

quelques raisons de le vouloir. Dès lors, si toute volonté suppose le jugement de l'entendement sur la bonté c'est parce que l'homme est libre de ses actions, et que son jugement sera la cause même de la volonté, même si Dieu crée le meilleur des mondes possibles. En effet, le péché existe, mais sans lui, le pardon ne serait pas présent or, c'est un acte de beauté pour Leibniz. La volonté divine n'est pas cause de nos péchés car notre propre jugement est maître de nos actions. « […] A moins qu'en

déraisonnables, voire dangereuses pour des sociétés basées sur des idéaux libéraux ou religieux . Or j’ai découvert au cours de mes lectures et recherches une véritable mosaïque d’Utopies : Utopies Littéraires, Sociales, Architecturales, Pirates, et tant d’autres encore qu’il me serait impossible de toutes les comprendre et toutes les décrire. Mais différentes et principales Utopies et contre Utopies peuvent être considérées : * Utopies Littéraires : avec la République de Platon, premier modèle de vie

dystopique : Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine, Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne (1940) de Karin Boye, 1984 (1949) de George Orwell, Limbo (1952) de Bernard Wolfe, Fahrenheit 451 (1953) de Ray Bradbury, La Grève (Atlas Shrugged, 1957) de Ayn Rand, La Planète des singes (1963) de Pierre Boulle, Un bonheur insoutenable (1970) de Ira Levin, ou encore La Servante écarlate (1985) de Margaret Atwood. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire

découvre donne à son voyage un caractère initiatique - la séduction des univers lointains, de l'ailleurs, d'un "any where out of the world" : dimension poétique et esthétique des descriptions en faisant VOIR des mondes d'une beauté incomparable : il s'git de faire rêver le lecteur : les mondes bucoliques d'avant le péché originel comme chez Fénelon, le caractère merveilleux de l'Eldorado, la sensualité de l'Orient du bon vieillard, la douceur de l'exotisme... = séduire le lecteur en le charmant, en