David Michel Ange

d'«air» reste imprécis, mais ce texte a pour intérêt de conforter l'idée d'un intérêt pour ce qui fait l'unicité de la touche de chaque artiste. Cette reconnaissance est manifestement totale lorsque Francesco Gonzaga ordonne de faire demander à Michel-Ange de «me faire l'honneur de travailler pour moi et de daigner exécuter, à son gré, une sculpture ou une peinture. (…) Il nous importe peu que ce soit l'une ou l'autre, pourvu qu'elle soit l'œuvre qu'il souhaite réaliser». L'artiste, au-delà d'une

désavouées, s’ils avaient eut à la connaitre. Hadrien n’était pas un « vieux romain ». Il fallait des « renaissants tardifs » pour le comprendre, et utiliser le fatras désarticulé que Michel-Ange avait déjà pressenti. 6 Michel-Ange, Bibliothèque Laurentienne, 1519 Sculpteur, peintre, architecte, Michel-Ange (1475-1564) n’est pas à proprement parler maniériste. C’est un monstre solitaire. Il n’est pas né quand la Renaissance commence. Il est mort avant l’avènement du Baroque. Mais rien, ni

Caravage cherche à peindre une vérité qui refuse les conventions et ne recule pas devant la laideur. Par son sens révolutionnaire du sacré, il subs- titue un naturalisme extrême aux artifices du maniérisme. Fidèle à la nature et très influencé par Michel-Ange, il fait du corps humain le véritable objet de sa peinture. Son œuvre puissante et novatrice révo- lutionne la peinture du XVIIe siècle par son réalisme parfois brutal, son érotisme troublant et l’invention de la technique du clair-obscur qui inspirera

conservée à Volterra  Ils décrochent le corps du Christ de la croix qui semble lourd, il échappe à ceux qui le tienne, d’où l’affolement perceptible. Rosso, Moïse défendant les filles de Jethro, 1524, Florence  Influencé par les grands-nus de Michel-Ange dans la Chapelle Sixtine. Ici ils sont librement réinterprétés pas le même respect de l’anatomie, corps malmenés, tordus par la violence extrême qui les animent. Les expressions des visages sont exagérées. Maniérisme : Style loin de la nature

Vierge Marie et son Fils décédé.Toutes deux émeuvent par le sentiment de compassion qu’elles suscitent dans la représentation de la douleur maternelle. Mais seule la sculpture de Michel-Ange atteint le niveau esthétique du chef-d’œuvre. 1. Art populaire slave, Pietà, xixe siècle, bois sculpté et peint. 2. Michel-Ange, Pietà, basilique Saint-Pierre, Rome. 2 UN PUISSANT MOYEN DE COMMUNICATION C’est à la fin de la préhistoire, alors qu’il ne connaissait pas encore l’écriture, que l’homme a

parfois pompeuse) Architecture En architecture, il a donné des châteaux aussi célèbres que Versailles ou le palais de Schönbrunn à Vienne. • En Italie: o St Pierre de Rome (initialement renaissance et finalement baroque, Michel-Ange y a beaucoup travaillé), [pic] [pic] Basilique Saint-Pierre de Rome o Ste Marie du Salut à Venise • En Espagne:  o Saint-Jacques de Compostelle [pic] [pic] • En Allemagne: en Bavière avec les

ne lui apporte que déceptions : ses oeuvres passent inaperçues. En 1814, il suit le roi Louis XVIII en fuite à Gand. Après avoir échoué au concours du Prix de Rome en 1816, il voyage en Italie, découvre les peintres de la Renaissance italienne, Michel-Ange, Raphaël et le peintre flamand Rubens. De retour à Paris, il s’installe rue des Martyrs, pas loin de son ami Horace Vernet, et prépare une oeuvre monumentale : le radeau de la Méduse, qui sera présentée au Salon de 1819. Le Radeau de la Méduse

le début du XVème grâce à Glovans de Médicis dominèrent la ville presque sans interruption jusqu’au XVIIIème siècle. Florence fut l’une des cités les plus influentes durant la Renaissance. L’art s’y développe avec de nombreux artistes tels que Michel-Ange ou Léonard de Vinci. Florence est le berceau de la Renaissance. -Les différents lieux de florence dans la pièce, marque de la renaissance : Dans la pièce de théâtre Lorenzaccio, les scènes se passent dans de nombreux lieux de Florence. Ces

italien y évoque la figure emblématique de Michel-Ange, dont on n’a conservé d’ailleurs que très peu de portraits, et rapporte à son sujet qu’« il détestait représenter le vivant, s’il n’était pas d’une infinie beauté »[19] ; à propos des sculptures de Julien et de Laurent de Médicis à la sacristie San Lorenzo, le maître italien n’hésite pas à affirmer qu’il s’est peu attaché à les représenter « comme la nature les avait formés et composés »[20]. Michel-Ange affiche on ne peut plus clairement son refus

deviendra La Joconde, un tableau qui ne le quittera jamais. Léonard vit ses dernières années italiennes à Rome, au service des Médicis, qui dirigent quasiment le pays et protègent l'artiste depuis longtemps. Mais la concurrence de Raphaël et de Michel-Ange, étoiles montantes de la peinture et de la sculpture, est rude. Léonard est malade et meurt en 1519. Les dizaines de milliers de documents, notes manuscrites, études, dessins, sont assez rapidement disséminés et ne seront récupérés qu'en partie