De l'autre côté du miroir

a été posé, je vais tout d'abord analyser es objets qui servent simplement à décrire l'histoire puis dans un second temps, les objets qui contrairement aux précédent servent à faire avancer l'histoire. On peut considérer les objets comme les miroirs des personnages que Gustave Flaubert a inventé, ils reflètent l'intérieur du personnage à travers son utlisation : par exemple la casquette de Charles est en apparence anodin mais elle est l’occasion de son ridicule. Elle est présentée comme une coiffure

Commentaires sur l’illustration du livre : Nous voyons une jeune fille habillée comme une poupée, avec une robe bleue à volants, des cheveux blonds, bouclés. Elle tient à la main une clef. A côté d’elle se trouve un lapin blanc avec un petit chapeau bleu marine sur la tête, une collerette blanche autour du cou, il tient dans sa patte une grosse montre. A l’arrière plan se trouve un fauteuil ancien en tissu fleuri bleu. La petite fille et

dans une routine. Le spectateur éprouve donc « le plaisir des yeux » à travers le décor et les costumes utilisés. Dans A.L.I.C.E (Alice and Lewis In Caroll Expériences) de Benoît Bradel, librement adapté du roman de Lewis Caroll Alice de l’autre côté du miroir, la scène devient un échiquier ce qui change du théâtre traditionnel. L’utilisation de vidéos et d’images transporte le spectateur dans le monde de Lewis Carroll. Ainsi il éprouve du plaisir en voyageant dans un monde imaginaire grâce au décor

pseudo-déclenchement » ou de « néo-déclenchement ». Laurent poursuit l’idée en soulignant que « la clinique du débranchement de l’Autre ne va pas sans la clinique de la production de la pulsion »12 Deux ans plus tard, Castanet et De Georges, intitulent leur rapport « Branchements, débranchements, rebranchements ». L’intérêt du concept de débranchement par rapport à l’Autre leur paraît résider dans l’éclairage rétrospectif qu’il permet d’opérer sur l’élément qui faisait « branchement » pour le sujet

Que gagne-t-on à échanger ? Le sujet exige de distinguer différents types d’échanges et de penser à leur opposition éventuelle. On échange des biens, des services, des idées. Mais cette réciprocité est-elle bien la condition du rapport à l’autre ? Faut-il se donner autant, ou se rendre la pareille pour connaître un véritable échange ? Faut-il s’échanger des choses pour avoir de bons rapports, ou le vrai rapport est-il indifférent aux comptes et aux intérêts ? Par nature, l’échange implique réciprocité

Juan et Le Double (1932) 4 AVANT-PROPOS Table des Matières Les deux études réunies ici sous un même titre et inspirées, l'une par la projection d'un film, l'autre par une représentation à l'Opéra de Vienne, ont, quoique écrites à huit années d'intervalle 1, une étroite corrélation entre elles. Dans l'une comme dans l'autre, il est question de problèmes, remontant aux origines les plus reculées de l'homme, qui continuent à exercer sur l'art une influence de premier plan. Nous nous efforcerons

missions en Afrique, principalement en Côte d’Ivoire et au Togo. Depuis le milieu des années 1980, il a diversifié ses champs d’observation, effectuant notamment plusieurs séjours en Amérique latine et essayant d’observer les réalités du monde contemporain dans son environnement le plus immédiat, notamment Paris. Anthropologue de la ville et du quotidien, Marc Augé observe le monde contemporain et propose un point de vue original sur la place de l’autre dans la société. Aujourd’hui, on ne peut

faire comprendre La cigale et la fourmi Cette fable décrit les comportements opposés d’une cigale paresseuse et d’une fourmi travailleuse. La cigale a passé l’été à chanter et travailler, pendant que la fourmi mettait des provisions de côté pour passer l’hiver. L’hiver venu, la fourmi avait de quoi subvenir à ses besoins, et la cigale se trouva dépourvue. Elle vint réclamer à manger à la fourmi. Mais la fourmi lui dit « tu as bien chanté tout l’été, et bien maintenant, va danser ! »

malgré la violence, le masochisme et le contrôle absolu. En second lieu, Alice est clairement désaxée par rapport au monde extérieur qu'elle découvre. À la page 45, la narratrice fait une énumération de son monde fantastique qu'elle s'imagine de l'autre coté du domaine, dû aux lectures de ses « dictionnaires » : « Saisie parce que rien n'était conforme à ce que j'avais imaginé du village et qui était une chose imaginable, je me serais attendue à quelque palais à pont-levis avec des tapis volants circulant

d’Apollon et Bacchus, dieux éternellement jeunes, Dorian a commis l’un des pires excès d’orgueil qui soit : le péché d’Hubris. Erreur d’autant plus irréversible que l’on ne peut briser le lien entre l’âme et le corps et, en voulant détruire le « miroir de son âme qu’il avait sous les yeux », c’est à lui-même que le jeune homme porte un coup fatal. Ici encore, les yeux jouent un rôle central car ils l’empêchent de se soustraire à l’horreur de ce qu’est devenue son âme pervertie. Aussi cette quête