De l'origine des espèces

Les individus d'une même espèce présentent une très grande diversité phénotypique (ensemble des différences observables): elle dépend de la variabilité génétique mais aussi de l'environnement. Quelle est l'origine de cette variabilité ? I - Le polymorphisme des gènes. Lorsqu'on observe les séquences de nucléotides d'un même gêne chez des individus appartenant à la même espèce on observe des différences de séquence. Ces différentes séquences qui codent différentes protéines sont des allèles

de questions se sont posées. On considère que des modifications climatiques sont à l’origine de l’apparition de ces diverses espèces. L’environnement subit de profondes modifications au fil du temps. Le recul des forets, la sécheresse /humidité, modification de la faune et les flores auraient poussé les primates à évoluer ou disparaitre. Ces changements provoquent la sélection et l’adaptation de nouvelles espèces. b) Différents lieux d’habitations Nous savons que nous avons un ancêtre commun

I – L’ORIGINE DES ARBRES Avant les arbres (organismes ligneux, capables de produire un tronc ramifié), il y a 450 millions d'années, il y avait les algues, les mousses, les fougères, et toutes les plantes "cryptogames", sans fleur, sans ovule, sans graine. Ces pratiques de reproduction primaires en limitaient l'expansion (l'espèce se reproduisait sur place) et la pérennité (la plantule n'avait pas de réserve pour survivre en dormance). Les arbres sont apparus sur terre à la fin du dévonien

incroyable machine à faire du différent, à se transformer à tout va; le hasard et les contraintes de l'environnement vont orienter le fil de ces transformations, disparition de certaines espèces et maintien des autres; ce n'est pas l'individu qui évolue mais le groupe auquel il appartient (population d'une espèce) c'est ainsi que les formes de vie se transforment au cours du temps on dit évoluent: l'évolution explique la succession des êtres au cours du temps, leurs transformations, l'apparition d'espèces

ambigu en français, pouvant désigner plusieurs espèces différentes de la famille des équidés, tout comme les ânes. Les zèbres se trouvent principalement en Afrique centrale et australe. Ces animaux se caractérisent par des bandes de rayures verticales noires et blanches. Bien que la phylogénie des équidés soit peu connue, ce groupe est manifestement paraphylétique, c'est-à-dire que si tous ces animaux descendent bien d'une espèce commune, toutes les espèces descendantes de celle-ci ne sont pas que des

l'environnement. Par son action, l'être humain se met en danger en détruisant peu à peu les ressources qui lui sont pourtant vitales et démontre que la protection de l'environnement devient une priorité nationale et internationale. * * * Dès l'origine, La vie de l'espèce humaine semble liée à l'existence d'un environnement sain et varié, dans lequel l'homme puise les matières nécessaires à l'alimentation de ses besoins vitaux, mais aussi à son épanouissement. Or, ce dernier accentué par l'activité

Le Moyen Age est une société où l’on n’a pas vraiment de connaissance sur le règne animal. Les espèces ne sont ni classés, ni différenciés et l’on apprend dans le texte que la société ne ressentait pas le besoin, ni la nécessité de classer de façon méthodique les espèces. EN effet, la Genèse expliquait l’origine des animaux, par conséquent la société moyenâgeuse, alors, très croyante expliquait l’origine et la classification selon les jours de création de Dieu : les poissons et les oiseaux furent

relations au sein des écosystèmes entre les espèces elles même. Il y également la biodiversité du biotope. C’est la qualité de l’air, la terre. Il intègre le bioséne. L’ensemble forme l’écosystème. On ne connait pas encore toutes les espèces sur Terre. On en connaît uniquement 1,9 Million. L’endroit où il y a le plus d’espèces inconnues est la forêt tropicale, qui couvre 7% de la planète. La France contient beaucoup d’espèces européennes. En outre-mer on a des espèces endémiques, comme des amphibiens, reptiles

quand elle a lieu entre des individus et des variétés appartenant à la même espèce » Les espèces appartenant au même genre ont presque toujours, bien qu'il y ait beaucoup d'exceptions à cette règle, des habitudes et une constitution presque semblables ; la lutte entre ces espèces est donc beaucoup plus acharnée, si elles se trouvent placées en concurrence les unes avec les autres, que si cette lutte s'engage entre des espèces appartenant à des genres distincts. [Suivent quelques exemples animaux] Les

regroupent autour des cactus en particulier les opuntia(un des principaux genres de la famille des cactus . La femelle, qui mesure environ 5 mm de long y fait une colonie. On en compte près de 8500 èspeces réunies en 21 à 24 familles. Elles vivent dans une grande variété d'Habitats; des toundras(environ 2000 espèces connues en zone paléarctique) jusqu'à l'équateur. Ces insectes étaient autrefois nommés «poux des plantes » en raison de leurs pièces buccales transformées en rostre piqueur leur permettant d’aspirer