De Vigny La Maison Du Berger

le « moi », le goût du passé et bien sur la nature.. L’expression des sentiments personnels est souvent présent dans le genre poétique et la nature permet au poète de s'exprimer. En nous appuyant sur « Le Lac » de Lamartine ainsi que «La Maison du berger » par Vigny, « Nuit d'août » par Musset et Victor Hugo avec «  les voix intérieures » nous allons nous intéresser à ce que recherche l'homme romantique dans la nature. Dans un premier temps, nous allons évoquer la beauté dans un second temps, nous

permet de poser quelques jalons sur la poésie classique et l’évolution vers la modernité. Elle cherche à construire une passerelle entre l’univers des élèves (représenté ici par Ridan et Grand Corps Malade) et le patrimoine littéraire (Du Bellay, Vigny et Verlaine) en conduisant une réflexion sur les notions d’héritage et de renouvellement. La seconde porte plus directement sur la modernité en poésie avec l’étude de la Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France de Cendrars. Il s’agit

composée de cinq poèmes classiques portant sur la nature : « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, « Dans l’interminable ennuie de la plaine » de Paul Verlaine, « Contre les bûcherons de la forêt de Gastine » de Pierre de Ronsard, « La Maison du Berger » d’Alfred de Vigny et « Nuits de juin » de Victor Hugo. J’ai choisi ces poèmes car, après mûr recherche, ce sont les poèmes qui m’ont le plus touché personnellement : de par les émotions qu’ils dégagent, notamment dans « Le Lac » de Lamartine où l’on

et que ses splendeurs vaines, J’aime la majesté des souffrances humaines, Vous ne recevrez pas un cri d’amour de moi. Mais toi, ne veux-tu pas, voyageuse indolente, Rêver sur mon épaule, en y posant ton front ? Viens du paisible seuil de la maison roulante Voir ceux qui sont passés et ceux qui passeront. Tous les tableaux humains qu’un Esprit pur m’apporte S’animeront pour toi, quand, devant notre porte, Les grands pays muets longuement s’étendront. Nous marcherons ainsi, ne laissant

mort entrainerait celle de Kitty. Kitty s'inquiète auprès du Quaker du sort de Chatterton et lui rend grâces pour sa bonté. Instruit par lord Talbot des ennuis auxquels Chatterton est exposé, John Bell souhaite que le poète quitte au plus vite la maison. A Lord Talbot prêt à lui venir en aide, Chatterton confie que c'est sur l'Angleterre qu'il compte en la personne de Lord-Maire Mr Beckford. Celui-ci arrive en grande équipage et il essaie de convaincre Chatterton de la futilité du métier de poète

les éléments métaphysique qui gravitent autour de lui. Un autre intermédiaire à la méditation s’agit de la nature. La tranquillité et la beauté de la nature offre au poète un lieu paisible à l’écart de toute société humaine. Alfred de Vigny dans La Maison du Berger, présente un discours proche du stoïcisme, philosophie conduisant à vivre en harmonie avec la nature. Le poète pousse Eva, image de la femme éternelle à « par[tir] courageusement, [à] laisse[r] toutes les villes » afin qu’elle « cherche

P. 7 : Pour Vigny, Chatterton est une pièce philosophique. P. 15 : Le Quaker (médecin) a choisi de soigner les âmes plus que les corps.P. 17 : Kitty Bell est victime de l'industrialisme de son mari. P. 18 : Le poème « La maison du berger » (voir anthologie ERPI) s'érige contre les dangers du progrès. Lamartine voit dans Chatterton un drame « socialiste ». P. 19 : Politiquement, Vigny est républicain, tendance

attrayants, montre le lien naturel avec la nature et la solitude, en donnant des comparaisons avec les hauteurs et l'immensité. On décèle surtout une opposition entre la nature sauvage et celle travaillée par l'homme. On pense aussi à La Maison de Berger d'Alfred de Vigny qui parle d'abri et de transition nomade. Il est question de l'état d'âme qui est le reflet du moi face à la nature qui me renvoie moi-même. Malgré le charme que comporte la nature, elle est incapable de nous réconforter. Extrait

reflet des états d’âmes comme l’illustre parfaitement les tableaux romantiques et « La maison du berger » (Vigny) où la nature est soit calme et apaisante, soit dévastatrice selon les sentiments et l’humeur du peintre ou du poète. Elle se fait la gardienne du souvenir dans « Le Lac » de Lamartine : « gardez, belle nature, au moins le souvenir ! » et devient la complice des amants dans « La maison du Berger » de Vigny où la nature est un refuge d’amour, de liberté et de paix pour les amants.

attrayants, montre le lien naturel avec la nature et la solitude, en donnant des comparaisons avec les hauteurs et l'immensité. On décèle surtout une opposition entre la nature sauvage et celle travaillée par l'homme. On pense aussi à La Maison de Berger d'Alfred de Vigny qui parle d'abri et de transition nomade. Il est question de l'état d'âme qui est le reflet du moi face à la nature qui me renvoie moi-même. Malgré le charme que comporte la nature, elle est incapable de nous réconforter. Les 4 strophes