De Vigny Moïse

élan ascensionnel, déjà présent dans un poème de jeunesse (Tout là-haut..., Pl. I, p. 199), est fréquent dans la littérature romantique: voir, par exemple, Hugo, Feuilles d'automne, VI; Lamartine, La Solitude, Dieu dans les Premières Méditations; Vigny, Élévation (C.B.). Baudelaire, à propos de Banville, évoque "ces merveilleux instants" où "l'être intérieur [...] s'élance en l'air par trop de légèreté et de dilatation, comme pour atteindre une région plus haute" (Pl. II, p. 164); voir le début du

mi-bestiaire. Diversité et virtuosité sont les maîtres mots de la production exclusivement poétique de Saint-Amant. Dans cette œuvre voisinent des satires burlesques, des hymnes bachiques, des pièces de louanges aux grands, une épopée chrétienne (Le Moïse sauvé), des scènes amoureuses et, comme ici, de nombreux poèmes évoquant ou décrivant des paysages. Pareille variété se retrouve dans les manières et registres d’écriture de Saint-Amant : langage vert ou noble, effets de sérieux, de surprise ou de

admirer un arbre, il te détournerait de Iaveh. » ; ce refus de la nature est aujourd'hui repris en écho par de nombreuses phrases de Bernard-Henri Lévy. Les enfants ne sont pas mieux partagés. Ceux qui en doutent n'ont qu'à relire le Décalogue de Moïse que l'Église a adopté sans y ajouter un seul mot tiré des Évangiles. Certes, ces derniers portent l'enfant au pinacle spirituel, ce en quoi ils s'accordent à la sensibilité européenne ; mais ils restent pourtant muets sur les devoirs envers la nature

revoltei sociale (vizează starea de lucruri din societate), dar mai ales religioase (are ca obiect ordinea instituită de Dumnezeu şi, în ultimă instanţă, contestă divinitatea): G.G. Byron, Cain; M.I. Lermontov, Demonul; • geniul: Alfred de Vigny, Moise; Nikolaus Lenau, Faust; Mihai Eminescu, Luceafărul. Ironia romantică: dezgustat de real, artistul romantic are tendinţa de a se refugia într-o lume imaginară, produs al propriei lui fantezii; în acelaşi timp însă, el este prea lucid pentru

une école. C'est en tant que tel que le romantisme a marqué la création littéraire, que ce soit en Allemagne (Novalis, Wackenroder, Tieck, Kleist), en Angleterre, (Blake, Wordsworth, Coleridge, Byron, Shelley, Keats), en France (Stendhal, Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, Gautier) ou en Italie (Manzoni, Leopardi). Le Théâtre: Le théâtre du Grand Siècle est dominé par deux maîtres: Racine, pour la tragédie, et Molière, pour la comédie. Tragédie racinienne: Avec Jean Racine, la tragédie atteint son apogée:

une école. C'est en tant que tel que le romantisme a marqué la création littéraire, que ce soit en Allemagne (Novalis, Wackenroder, Tieck, Kleist), en Angleterre, (Blake, Wordsworth, Coleridge, Byron, Shelley, Keats), en France (Stendhal, Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, Gautier) ou en Italie (Manzoni, Leopardi). Le Théâtre: Le théâtre du Grand Siècle est dominé par deux maîtres: Racine, pour la tragédie, et Molière, pour la comédie. Tragédie racinienne: Avec Jean Racine, la tragédie atteint son apogée:

en Grèce, ignore la dimension du tragique. Jean Zacklad transmet cet enseignement : les Juifs ne sont pas tragiques parce qu’ils ont deux lois : la loi écrite, (Torah écrite) et la loi orale (Torah orale). La Torah écrite désigne les Cinq Livres de Moïse ou Pentateuque. La Torah orale comprend, dans la littérature biblique, les Livres des Prophètes et les Hagiographes, puis au-delà de cette littérature, le midrach, le Talmud et la cabale. L’opposition de l’écrit et de l’oral ne se formule pas comme

traditionnel, conventionnel, bientôt usé. »(2). Certains arrivent même à avancer la théorie du plagiat qui affirme que tous les mythes polythéistes sont empruntés au Nouveau Testament et que tous les Dieux païens ne sont qu'une déformation de la figure de Moïse. La mythologie polythéiste continuera cependant son influence au XVIIe siècle à travers la littérature baroque dont l'imagination puise son inspiration dans la mythologie gréco-latine qu'elle emploie avec une grande tendance vers les métamorphoses

des autres qui se dirigent vers un autre monde. De cette façon, ce courant tente de mettre en évidence le tragique et le mystère tournant autour du phénomène. Il aborde l’effet éphémère incontournable de la vie résultant nécessairement de la mort. Vigny, un auteur romantique, reflète cela dans le poème La maison du berger, où il aborde la détresse de la condition humaine face à un inéluctable destin mortel avec des vers tels que « Viens du paisible seuil de la maison roulante, voir ceux qui sont passés

le courage de regarder » (III, page 891), qui était un véritable érudit, évoqua de nombreux personnages, de nombreux événements, de nombreux créateurs, de nombreuses oeuvres. On peut relever des mentions à  : - la Bible : Adam ; Ève ; Abraham ; Moïse ; Zéphora ; « les Hébreux dans la mer Rouge » (II, page 39) ; la femme de Loth ; Jethro ; Sarah ; Isaac ; Joseph ; Pharaon ; la femme de Putiphar ; David ; Bethsabée ; Salomon ; Tobie ; le ‘’Livre de Daniel’’ ; Goliath ; Jessé ; l’archange Gabriel