De Yalta A Potsdam

[iɔsɛb bɛsariɔnis DZE d͡ʒuɣaʃvili] , 18 Décembre 1878 [ 1 ] - 5 Mars 1953) a été le de facto chef de l'Union soviétique à partir du milieu des années 1920 jusqu'à sa mort en 1953. Parmi les bolcheviques révolutionnaires qui ont pris part à la révolution russe de 1917, Staline a été nommé secrétaire général du parti du Comité central en 1922. Il a ensuite réussi à consolider son pouvoir après la mort en 1924 de Vladimir Lénine à travers la suppression des critiques de Lénine (dans le post-scriptum de

chapitre 2 : LES GRANDS MODELES IDEOLOGIQUES ET LA CONSTRUCTION EST-OUEST JUSQU’ANNEES 70 Intro : Problématique possible : De la Grande Alliance à la Guerre Froide. La Grande Alliance était une alliance de circonstance qui connu ses premières faille a la conférence de Yalta, de grandes divergences apparaissent à Potsdam notamment car on assiste a une extension du communisme et de la doctrine marxiste. Marx : « Toutes avancer du communisme est une base de départ en vu d’une avancée ultérieur

15% de la popu en moins France: 600 milles morts (3* moins qu'a la 1ere GM) USA: popu civile épargnée car pas d'affrontement sur leur territoire, “seulement” 200milles morts chez les militaires, grâce à leur technologie.- Pas de gros problèmes démographiques car contrairement a 1erGM, tte la popu a été touché. victoire contre le mal, optimisme → reprise rapide de la fécondité. (baby-boom). - Mobilité des populations: Allemands vivants en Europe de l'est doivent revenir en Allemagne. Nouvelles

étatsuniens, britanniques et soviétiques, luttent toujours en Europe centrale et de l’Est. Dans quelle mesure, dans une Europe où tout reste à reconstruire, les événements qui surviennent en 1945 modifient-ils profondément la face du Vieux Continent ? Ce tournant dans l’histoire européenne se traduit par l’issue du conflit mondial et son bilan, qui révèle une Europe à remodeler, ainsi que par l’établissement d’un nouvel ordre mondial. L’année 1945 évoque dans un premier temps la fin de la Seconde

L’Allemagne, un enjeu des relations internationales à l’époque de la guerre froide ( 1945 à 1991)     Introduction   L’Allemagne, divisée puis réunifiée de 1945 à nos jours, a eu une position majeure dans les relations internationales. On lui a parfois attribué le surnom de « miroir de l’Europe » durant cette période. Nous allons voir comment elle a pu devenir un enjeu des relations internationales durant les années de la Guerre froide opposant les USA et l’URSS. Nous allons suivre un plan chronologique

affaiblie. A la charge donc des pays vainqueurs d’entamer cette reconstruction puisque ce sont les seuls qui ont la puissance politique mais aussi économique de le faire. 1945 sonne en réalité l’heure de faire un bilan, et oblige les alliés à se rendre à l’évidence : nous sommes en présence d’un monde à reconstruire. Ainsi nous pouvons nous demander si en 1945 on assiste à l’émergence d’un nouvel ordre, dominé et contruit par les deux grands vainqueurs ? I- Un monde détruit A) Sur le

prononcé par le président américain John Fitzgerald Kennedy devant l’Hôtel de Ville de Schöneberg à Berlin-Ouest le 26 juin 1963. Kennedy adresse un message de solidarité aux Berlinois de l’ouest séparés des quartiers orientaux par le mur construit en août 1961. Dans un lieu symbolique, Berlin qui a connu le fameux blocus en 1948-1949, dans une Allemagne de l’Ouest (RFA) qui s’oppose depuis 1949 à une Allemagne de l’Est (RDA), il s’agit pour le président démocrate de définir face au monde entier

détache peu à peu des États-Unis afin de pouvoir diriger l'Est de l'Europe comme elle l'entend. Ainsi, son rôle international est très important pendant la période que l'on a appelée la Guerre Froide. Quels ont été les facteurs de rupture entre les deux blocs? Comment l'URSS s'est-elle comportée avec ses "pays amis"? Quels ont été les facteurs de détente dans les années 1970? De 1945 à 1953, année de la mort de Staline, l'URSS s'est totalement séparée du bloc occidental. En effet, à la fin de

reconstitution d'un Grand Reich : unification avec l'Autriche (Anschluss, 1938), annexion des Sudètes (Munich, 1938), revendication de la ville de Dantzig (1939). Face à ces coups de force, souvent par crainte de l'U.R.S.S., les démocraties cèdent aux exigences de Hitler et pratiquent une politique d'apaisement. Les Etats-Unis restent fidèles à leur isolationnisme. En août 1939, pour éviter de combattre sur deux fronts, Hitler signe un pacte de non-agression avec l'U.R.S.S. Le 1er septembre 1939, il envahit

chez les vainqueurs. Il conviendra donc tout d’abord de dresser le tableau matériel et humain de cette catastrophe. Nous aurons également à nous interroger sur les conséquences territoriales du conflit dans l’immédiat après-guerre en examinant notamment de quelle manière les deux grands vainqueurs que sont les États-Unis et l’URSS s’impliquent, chacun à sa manière, dans la construction d’un nouvel ordre européen. I. Une Europe dévastée 1. Un bilan humain extrêmement lourd La Seconde Guerre