Décennie

4 mois, dans un but de loisirs, un but professionnel (tourisme d’affaires) ou un but sanitaire (tourisme de santé). I. Historique L’entrée officielle du Maroc sur le marché touristique mondial est habituellement fixée à la deuxième moitié de la décennie 60, lorsque le Maroc à travers le Plan de développement (1965-1967) a inscrit le tourisme parmi les priorités. Mais l’apparition d’une demande touristique au Maroc remonte bien avant. La période 1965-1975 correspond au boom touristique qui va durer

Miss Dior et Femme de Rochas. C’est aussi l’époque des premiers parfums exclusivement masculins, basés sur les épices : Old Spice, ou sur la lavande : Pour un Hommede Caron. Les années 50 ________________________________________ Cette décennie voit émerger les parfums pour homme, avec des notes Cologne (Monsieur de Givenchy, L’Eau d’Hermès), orientales (Pour Monsieur de Chanel, Tabac Original) ou autour du vétiver (Vétiver de Guerlain, Vétiver de Carven). Les premiers parfums américains

singulièrement au Japon au début de la décennie 80, en Europe au début de la décennie suivante avec la mise en œuvre du grand marché intérieur des services financiers. Les réformes à l’œuvre et leurs conséquences sur la circulation des capitaux ont à l’évidence profondément bouleversé la logique de l’allocation d’actifs de la part des investisseurs, d’autant plus que le contenu de l’agent investisseur a lui-même significativement évolué au cours de ces décennies. Au début des années 90, la valorisation

française en 1886, il désigne formes et formules de l'invention littéraire pendant une dizaine d'années. Ses valeurs esthétiques, comme le montre Michel Décaudin dans La Crise des valeurs symbolistes, sont mises en cause en France dès le début de la décennie suivante par quelques-uns de leurs initiateurs mêmes. Sans doute l'étonnant laboratoire d'innovations qu'a été le symbolisme a fait sentir ses effets jusque dans le xxe siècle chez Barrès, Gide, Claudel, Valéry, dont les œuvres seraient peu compréhensibles

dépenses d'investissement de l'État. Ces politiques sont aujourd'hui moins utilisées notamment en raison de l'effet pervers qu'elles ont souvent, l'accroissement important de la dette publique. • Le renouveau de la pensée libérale depuis quelques décennies a conduit la plupart des gouvernements à adopter des politiques favorables à l'offre, c'est à dire cherchant à rendre plus fluides les conditions d'utilisation de la main-d'œuvre par les entreprises et à inciter les chômeurs au retour à l'emploi

Le Maroc est l’un des principaux pays arabes où la condition de la femme s’est améliorée au cours de ces deux dernières décennies. Tout comme son pays voisin la Tunisie, où les femmes bénéficientd'un statut personnel « libéral » sous la présidence de Hamid Bourguiba. Par contre, en Algérie ou encore en Egypte, ce n’est pas le cas, les avancées sont nombreuse à accomplir. Le Maroc est donc dansune position favorable aux droits féminins. Le 10 octobre de chaque année est le jour national de la femme

sa famille. Esclave dans une plantation de Virginie aux Etats-Unis, il parviendra à fonder une famille, mais ses enfants naîtront dans l'enfer et ne connaîtront jamais les merveilleuses forêts et les larges fleuves de la Gambie. Pourtant, décennie après décennie, Kunta saura conserver au fond de son cœur un peu de sa fierté d’antan et un désir ardent d’indépendance et de liberté qu’il parviendra à transmettre à sa descendance. Enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, tous se rappelleront qu’ils

évènements auxquels les peuples sont affrontés directement où indirectement marquent aussi les mentalités et apportent des priorités nouvelles. Les mutations qui s’en suivent ont nécessairement leur poids sur les personnes au cours des quelques décennies de leur existence. Les changements inéluctables des manières de vivre entraînent souvent un autre rapport aux valeurs spirituelles et aux règles morales. Des questions nouvelles se posent à la conscience humaine. D’où cet écart qui se manifeste souvent

consommateurs, nous rappelons que, malgré tout, nos modes de consommation sont ce qui fait le chiffre d’affaire réel des entreprises, et nous avons là, chacun d’entre nous, le moyen de contribuer modestement à une autre économie. Si pendant des décennies, la société de consommation a placé les consommateurs dans une position passive et infantilisante, on redécouvre que le consommateur est un acteur économique à part entière, en interdépendance avec les entreprises et les instances de régulation du

importance, au moins sur le plan rhétorique, on n’hésite pas à lui imputer tous les dysfonctionnements sociaux ou économiques (coût du travail, coût de la protection sociale, manque de formation des travailleurs). Références ff Ph. Askenazy, Les Décennies aveugles, emploi et croissance 1970-2010, éd. Seuil, 2011 ff G. Lecointre, Pour en finir avec l’emploi jetable, Editions de l’Archipel, 2011 ff N. Mauchamp et D. Linhart, Le Travail, éd. Le Cavalier bleu, 2009 ff P. Cingolani, La précarité, Que