Déception

désir stimule, apporte, grâce à une « force consolante », du plaisir à l’homme en créant une image rendant l’objet désiré présent et sensible. Des lignes 9 à 15, Rousseau amène son second argument qui veut que la satisfaction du désir constitue une déception : la réalité ne peut rivaliser avec la beauté de l’objet imaginé. Enfin, le philosophe tire la conclusion de son argumentation dans les lignes 16 à 21 : l’homme, s’il veut rester vivant et humain, ne peut se priver de désirer sans devenir misérable

exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte, et elle est parcimonieusement mesurée. Mais ce contentement suprême lui-même n’est qu’apparent : le désir satisfait fait aussitôt place à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second une déception non encore reconnue. La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain

terrasse de café ?, observe et voit la femme : frappé par sa beauté -> véritable coup de foudre -> pas de contact autre que visuel -> s’en va -> déception de Baudelaire Plan : Partie 1 : vers 1 au vers 5 : mise en place du cadre + description des charmes de la femme Partie 2 : vers 6 à vers 8 : émerveillement de Baudelaire à la vue de cette femme Partie 3 : déception et retour à la réalité de l’auteur Justification : - Passage partie 1 à 2 : Moi -> marque une coupure avec description + 1ere intervention

particulièrement bien agencé pour décrire le cheminements de Du Bellay dans sa critique sur Rome et dans ses regrets; on découvre avec un certain aspect chronologique et évolutif de la pensée de Du Bellay. Il commence par nous exposer ses regrets et ses déceptions de Rome avec un aspect satirique mais aussi et surtout élégiaque; dans un grand nombre de ses poèmes, il maudit sa curiosité et le désir qui l'a pris de partir à Rome. Ensuite il continue avec des poèmes satiriques qui vante la cour du roi de France

remarque dans cet extrait la présence du registre laudatif, il est sous forme de discours direct cependant un narrateur omniscient intervient de temps en temps. Il se compose en deux parties, la passion que Fréderic avait pour Mme Arnoux, puis la déception de Mme Arnoux. Nous allons étudier cet extrait en 2 grandes parties : dans un premier temps, la nostalgie de « l’ancienne Mme Arnoux » et dans un second temps l’amour qui persiste envers Mme Arnoux Dans cette première grande partie, nous étudierons

opposé à la déception qu'il pourra ressentir lorsqu'il le possèdera. Ce sentiment de déception est ressenti, car l'Homme a été aveuglé par l'effet de médiatisation et influencé par la création de nouveau désirs produits par la société de consommation dans laquelle nous vivons. Ainsi la satisfaction n'est pas réelle et reste momentanée. La réalisation d'un désir influencé, n'est donc pas à la hauteur de nos attentes , ni de nos propres valeurs. Et provoque ainsi, frustration et déception. Ces deux

serai trop long a dire ................ je regrette souvent mes gestes, mes dires, mes croyances, mes mauvais choix. Mais quels sont ces choix que je qualifie de regrets ???? Le regret est symbole de déception. Cette déception est traduite par un mal être, un dégoût de soi. Cette déception touche mon amour propre ou mon amour tout court. Quelle surprise et quelle chance de revenir vers mon passé... Remonter le court du temps et refaire ma vie sans les "Si". La vie m' offre bien des surprises

mari. Dans un premier temps nous allons étudier le personnage caricatural qu’est Charles pour ensuite analyser la déception de cette nouvelle mère. II) Une mère déçue : La déception se manifeste à tous les égards lors de cet événement qui était censé apporter un bonheur familial. 1)Le matérialisme d’Emma : Le matérialisme de la jeune femme est l’une des causes directes de cette déception. Ne se souciant en aucun cas des problèmes financiers de son mari elle continue de réclamer plus à ce dernier

la première guerre mondiale est caractérisée par la morosité et la déception. La démocratie italienne est fragile, le pouvoir appartient à la chambre des députés. La guerre a couté cher à l'Italie, les prix agricoles s'effondrent. Le nationalisme devient le thème de la victoire mutilée. Climat révolutionnaire : grèves, syndicats. L'atmosphère après la première guerre mondiale est caractérisée par la morosité et la déception. La démocratie italienne est fragile, le pouvoir appartient à la chambre

prédominant dans son recueil de poème « Les Regrets », montrer dans le sonnet XXXII, en exprimant un désarroi, la rupture d’un idéal par la réalité. Ainsi, son voyage en Italie plein d’espoir et d’ambition culturelle ne sera que de regrets, et de déception. Dans un premier temps, nous nous intéresserons l’expression des ambitions humanistes perceptibles dans ce sonnet, puis nous étudierons cette réalité décevante pour enfin montrer que le sonnet est au service d’une double thématique. I) L’expression