Déchèterie

juin et juillet 2012. 9 Quoi et comment ? Serge Van De Put, effectuera sa résidence afin de produire plusieurs œuvres avec les matériaux fournis par la société Geficca : diverses chutes ou pièces de caoutchouc non conformes donc vouées à la déchèterie. C'est là que réside son art : ré-utiliser ce qui n'est plus utilisable dans son but premier ou utiliser ce qui n'est pas utilisable selon les critères classiques de production. L'artiste devra produire plusieurs œuvres et travailler essentiellement

eu d’augmentation des effectifs de l’inspection. En revanche, l’évolution à la hausse des indicateurs relatifs à la collecte des déchets s’est accompagnée d’une politique très volontariste qui a multiplié par dix les aides locales de l’ADEME aux déchèteries et centres de tri (4,2 M€ en 2008 ; 39,6 M€ en 2011). Les engagements totaux sur des opérations relatives aux déchets passent de 102,6 M€ en 2009 à 217,7 M€ en 2011. Cas où les objectifs n’ont pas été atteints : en 2009, la stagnation du

régénération des bouteilles en PET, c’est à dire, qu’ils créent à partir d’un déchet une matière première secondaire. Pour cela, l’usine se doit d’avoir accès à un gisement de qualité issu principalement des collectivités locales, centre de tri déchèteries et de négociants de France, Allemagne, Luxembourg et Belgique. Ce gisement de plastique PET est principalement composé de bouteilles d’eau, de jus de fruits, d’huile, et différents soft-drinks.                  

millions de tonnes en France composé de :· Environ 5,1 Mt (soit 30 %) de déchets gérés à domicile (paillage, compostage …), essentiellement des déchets verts· 4 Mt de déchets verts collectés en déchèteries (donnée 2015)· 1,16 Mt de déchets collectés en porte à porte et en points de regroupement (hors déchèteries) (donnée 2015)· Le reste des biodéchets (déchets alimentaires et déchets verts) représente donc encore 40 % des ordures ménagères résiduelles soit près de 7 Mt, essentiellement de déchets alimentaires

déchets est variée : • déchets organiques issus de l'alimentation, qui peuvent être valorisés en compost • plastiques, verres, papier, carton qui peuvent être triés et recyclés • piles, huiles usagées, produits toxiques, qui doivent être amenés en déchèterie dans des conteneurs adaptés : ces déchets sont toxiques pour l'environnement et la santé Les déchets industriels banals (DIB) sont assimilables aux déchets ménagers. Ils sont présents dans toutes les activités professionnelles, sous forme de

plusieurs tournées de ramassage. Par exemple, une commune peut choisir de collecter les déchets triés par apport volontaire et organiser une collecte en porte-à-porte pour les ordures ménagères résiduelles (OMR). Les autres déchets étant à ramener à la déchèterie. La fréquence de collecte varie également d’une organisation à une autre : 38% de la population est collecté une fois par semaine, 34% deux fois par semaine, 19% trois fois par semaine, 8% plus de trois fois par semaine et moins de 1% moins le

[pic] Former et sensibiliser le personnel de l’Office de Tourisme Intercommunal (cf. service environnement de la Communauté de Communes Chalaronne Centre), [pic] Mettre en place le tri sélectif à l’OTI, [pic] Utiliser la déchèterie intercommunale pour le tri des déchets (papier, cartouches d’encre, toner, piles, …). ➇ Déplacements responsables [pic] Limiter ses déplacements et profiter de la technique : l’évolution technologique propose aux professionnels

chaque année, ce qui provoquerait la contamination au mercure de 81 000 km2 d'eau. (5) 6. Collecte des lampes basses consommation usagées Les options possibles pour la collecte de ses vieilles ampoules basse consommation : * les rapporter en déchèterie ou au point de collecte d’un magasin à l’occasion de l’achat d’une lampe neuve. * Ne les déposez pas dans une bulle à verre classique ou avec les déchets ménagers : portez-les au parc à conteneurs, avec les PDD. * les faire collecter par

l’environnement). Il existe différents types de déchets. De manière générale, on peut distinguer les déchets par leur producteur (déchets ménagers, industriels ou agricoles) ou par la façon dont ils sont collectés (collecte par la commune, apport dans les déchèteries ou les points de tri sélectif, etc.) ou encore par leur devenir (recyclage, mise en décharge, incinération, etc.). Le règlement CE 2150/2002 relatif aux statistiques sur les déchets a en outre établi une nomenclature par type de déchets. Le Code

vert et une de tri des déchets ménagers. Elle gère 93000 habitants sur 34 communes, sachant que chaque personne en moyenne produit 430 kg de déchets par an. La récolte des déchets se fait par collecte sélective à des endroits prédéfinis, aux déchèteries et par apport volontaire (comme les poubelles à verre). Une fois ces déchets récupérés on procède aux mécanismes de recyclage ou de compostage, ce qui procure un avantage économique et environnemental (le tri limite l’incinération et l’éco-compostage