Deficit Exterieur En France

différents soldes. I. La structure du budget: 1) L’évolution des recettes budgétaires: Les Recettes Budgétaires sont constituées des recettes fiscales, non fiscales et les dons. Les recettes internes passent de 516,6 milliards de francs CFA en 2000 à 1506,7 milliards de francs CFA en 2010, soit une progression de 191,6% en valeur relative, avec une part prépondérante des recettes ordinaires hors dons. Les recettes fiscales s’élèvent à 1194,7 milliards de FCFA en 2010 contre 533,4 milliards de FCFA en

dette des citoyens. II- qu'est ce que la dette publique ? Le déficit public apparait lorsque les produits (les recettes fiscales essentiellement) sont inférieurs aux charges (dépenses budgétaires essentiellement) des administrations publiques. Cette différence entre les charges et les produits s’apprécie sur une période légale, généralement l'année civile. La dette publique augmente à chaque fois qu'un déficit public est financé par l'emprunt. La dette publique représente donc l'accumulation

Exemple typique : l’IRPP en France (~ « n’importe quoi »). La règle de Mundell (principe d’efficience) : Pour atteindre un objectif économique : utiliser l’instrument le plus adapté c’est-à-dire celui qui possède par rapport aux autres un avantage comparatif. Exemple : réduction de l’inflation. 1.2) Politiques conjoncturelles et structurelles : synthèse Politique conjoncturelle Régulation à court terme (chômage, inflation, équilibre extérieur) Politiques économiques 2)

d’inflation (2011) :+2,9 % Solde budgétaire(2011) : -3,9 % Dette publique (2011) : 120,1% Déficit public en % du PIB : 3,9% Balance commerciale(2010) : -24,6 milliards d’euros Principaux clients de l’Italie (2011) : 1° Allemagne (13 %) - 2° France (12 %) - 3° Etats-Unis (6 %) ; 4° Suisse (5 %) ; 5° Espagne (5 %) Royaume-Uni (4 %) Principaux fournisseurs de l’Italie (2011) : 1° Allemagne (17 %) - 2° France (8 %) - 3° Chine (7 %). 4° Pays-Bas (5 %), 5° Russie (4 %), Espagne (4 %). Part des principaux

l’Etat dans la sphère économique reposent sur différentes politiques comme par exemple la politique budgétaire monétaire ou encore la politique de lutte contre le chômage. On parle ainsi de politique économique lorsque l’Etat décide d’augmenter le déficit budgétaire pour soutenir l’emploi, de fixer des normes en matière des hausses de prix pour l’inflation mais aussi d’adopter une fiscalité différentielle pour soutenir les exportations. -La politique économique a reçu ses lettres de noblesses avec

Les politiques économiques Economie I / Les objectifs et les instruments des politiques économiques A / pourquoi mettre en œuvre des politiques économiques ? La notion de politique économique Les prévisions économiques de la France en 2010 Le gouvernement prévoit une reprise de la croissance pour 2010, mais une reprise fragile. Les principales mesures de politique économique Les principales mesures de court terme (politique conjoncturelle) : prime à la casse. Les principales

LA BAISSE DES TAUX D'INTÉRÊT SUFFIT-ELLE A RELANCER L'INVESTISSEMENT ? Dissertation rédigée L'Euro a remplacé le Franc en Février 2002. Derrière cette modification monétaire importante, qui comporte des désagréments pour les citoyens européens, se trouve la volonté de diriger avec plus d'efficacité la politique monétaire. La Banque Centrale Européenne intervient par la politique monétaire pour lutter contre l'inflation et pour favoriser la croissance : en agissant sur les taux d'intérêt, directement

dollars, il fallait des échanges internationaux croissants ; il fallait donc de plus en plus de dollars. Or, les dollars étaient situés en dehors des Etats-Unis. Le système ne pouvait donc marcher que si les Etats-Unis avaient un déficit extérieur et ils en ont profité car il déficit était n »cessaire pour le fonctionnement dy système. Les Etats-Unis sont devenus de plus en plus inflationnistes dans les années 1950-1960 car l'étalon-or n'était plus là pour freiner l'inflation. Le problème est, qu'à cause

En ce qui concerne le déficit du commerce extérieur de la France, il avait déjà atteint, en 2006, le montant record de 29,211 milliards d’euros après 23,1 milliards en 2005. Il continue de se creuser. Il était évalué à 15 milliards d’euros sur les six premiers mois de 2007, contre 12,9 milliards durant la même période de l’année précédente. Les importations ont progressé dans les premiers mois de 2007 plus rapidement que les exportations tandis que nos entreprises perdent des parts de marchés,

avant plusieurs objectifs : que constitue le plan White (restaurer la stabilité des changes et empêcher le retour aux dévaluations compétitives, et veulent un mécanisme d’assistance financière aider les pays dont la balance des paiements est en déficit : pour empêcher le recours au protectionnisme en cas de difficultés temporaires.) • Plan White : adoption d’un système de parités fixes Parités fixes ajustables Or comme étalon et double convertibilité. USA : convertibilité or de l’USD. Autres