Déforestation

La conséquence, c'est une perte substantielle et irréversible de la diversité de la vie sur Terre. En moyenne on compte 40% de réduction du nombre d'animaux entre 1970 et 2000. Ainsi 5 causes majeures d'origine humaine sont reconnues : La déforestation massive qui correspond à une disparition de l'habitat. Ainsi,plus de la moitié de la biodiversité risque de ne plus avoir de lieux de vie, et les animaux n'ont plus le choix, s'adapter à de nouveaux environnements ou mourir. Le conflit entre homme

populations et/ou leur répartition géographique sont en déclin pour la majorité des espèces examinées. On compte parmi les exceptions les espèces domestiques, les espèces exotiques envahissantes et les espèces protégées par des mesures spécifiques. La déforestation pour faire des terres agricoles et des pâturages équivaut à 200 000 hectares de forêt tropicale qui disparaissent en 1 semaine. * Les espèces animales On estime que, depuis quelques siècles, les êtres humains sont responsables de près

plus vieille origine de pollution. L’élevage bovin entraîne le rejet de méthane (CH4) dans l’atmosphère, de même que les cultures en rizière. La déforestation est aussi entraînée par combustion et donc par dégagement de dioxyde de carbone. En effet, 25% des rejets de CO2 proviennent de la destruction des forêts tropicales. Chaque année, la déforestation détruit 210 milliers de km² de forêt tropicale. Même si la pollution atmosphérique provient en partie de la nature, notamment par le volcanisme

la planète, le plus grand réservoir de biodiversité au monde, menacé par les grandes compagnies est désormais protégé par les indigènes ! Le chef de la tribu des Surui, Almir Narayamoga Surui est un des plus grands acteurs de la lutte contre la déforestation et de la gestion durable d'une forêt. Il à été récompensé plusieurs fois pour son travail remarquable et de grandes entreprises tels que Google, l'ont aider à mener son projet à terme. Les Surui sont la première tribu indigène amazonienne à entretenir

effet, de – 18 °C. Les principaux gaz à effet de serre sont : - la vapeur d'eau, responsable à plus de 60% de l’effet de serre - le dioxyde de carbone qui provient essentiellement de la combustion des énergies fossiles et de la déforestation - le méthane, qui provient de l’élevage de bovins, des marais, des pergélisols, etc. - l'ozone, constituant de la stratosphère et de la troposphère - l’oxyde nitreux, produit par la combustion de matière organique 4. Présenter

partie à la destruction de la barrière de corail, lieu privilégié pour la diversité biologique, car elle abrite 4000 espèces de poissons, 700 espèces de coraux et 6000 espèces de mollusques, mais aussi le prélèvement important de bois, donc la déforestation qui joue un grand rôle dans le déclin de la biodiversité (destruction des habitats), car il ne faut pas oublier que c’est la forêt qui abrite et nourrit le plus d’êtres vivants. Des forêts sont ravagées pour faire des parcs d’élevage intensif :

en faveur de l'industrie de la biomasse auront pour effet de plus que doubler les prélèvements annuels de bois, estime l'ONG. Ce rythme réduit au final en cendres la possibilité pour la forêt boréale de totalement se régénérer. Au-delà de la déforestation, c’est le climat mondial qui trinque. Ainsi, "les centrales électriques nord-américaines fonctionnant à la biomasse émettent jusqu’à 150 % de plus de CO2, 400 % de plus de monoxyde de carbone irritant pour les poumons, et 200 % de plus de particules

dégager les trois volets du développement durable. Les trois volets ne sont pas rappelés, ils se dégagent grâce au regroupement. Volet environnemental (écologique) : • préserver les lémuriens et leur habitat (la forêt primaire) menacés par la déforestation [pratiques agricoles (riziculture, culture sur brûlis), charbon de bois] • sensibiliser les enfants malgaches [à la protection des primates mais aussi de leur écosystème (gestion des déchets)] • utiliser les fours solaires. Volet économique :

dirige vers les fronts pionniers. Un front pionnier est la mise en valeur de terres encore peu exploitées. Ainsi l’Etat brésilien pousse les brésiliens à exploiter l’Amazonie dans la région du Nord-Ouest, dans la région du Manaus par exemple. La déforestation de la forêt amazonienne permet à des exploitants de gagner des terres. 2) Des fortes inégalités a) La ville : témoin de ces inégalités L’urbanisation du Brésil a été l’une des plus rapides du monde. Actuellement près de 80% de la population

(capitalisme, consommation de masse, systèmes « énergivores ») suivant celui des pays anciennement industrialisés produit actuellement menaces sérieuses sur l’écosystème mondial ( dégagement de gaz à effet de serre, réchauffement climatique, déforestation à outrance, désertification etc.) .On peut se demander si la mondialisation actuelle a de l’avenir .Ne faut-il pas trouver une autre sorte de mondialisation , axée plutôt sur un développement durable ?