Dégradé de couleur

travail. La technique sèche est la plus traditionnelle. Son principe est d'étaler délicatement la peinture très diluée sur le support de façon à laisser transparaître la couleur du fond. Une fois les premiers tons posés et après séchage complet on s'intéresse aux éléments de détails de plus en plus précis en utilisant des couleurs moins diluées et en prenant soin d'aller des tons les plus clairs vers les plus foncés. Le travail progresse par couches successives et se termine par quelques rehauts plus

définit par sa netteté: un tracé bien net, des couleurs bien denses et des ombrages bien dégradés, et son inaltérabilité. La définition d’un tatouage est semblable à celle d’une image numérique et du nombre de pixels qui la définisse: * plus il y a de points d’aiguilles concentrés au cm, plus le tracé est net * plus les points sont rapprochés, plus un aplat de couleur est uni * plus les points sont dispersés, plus l'effet de dégradé (ou d'ombrage) est obtenu. Un tatouage de qualité

étiquetée, elle dit « Je n'ai jamais peint mes rêves, j'ai peint ma propre réalité ». L’œuvre que je présente est un tableau de Frida Kahlo qui s’appelle « La Colonne Brisée » peint en 1944, cette œuvre correspond à l'époque où la santé de l'artiste se dégrade, depuis l'accident de bus dans lequel elle est gravement blessée en 1925, son bassin, ses côtes, et sa colonne vertébrale ont été brisés. Pour la description de l’œuvre, au premier plan on voit l'autoportrait de Frida Kahlo au centre du tableau, elle

étiquetée, elle dit « Je n'ai jamais peint mes rêves, j'ai peint ma propre réalité ». L’œuvre que je présente est un tableau de Frida Kahlo qui s’appelle « La Colonne Brisée » peint en 1944, cette œuvre correspond à l'époque où la santé de l'artiste se dégrade, depuis l'accident de bus dans lequel elle est gravement blessée en 1925, son bassin, ses côtes, et sa colonne vertébrale ont été brisés. Pour la description de l’œuvre, au premier plan on voit l'autoportrait de Frida Kahlo au centre du tableau, elle

produit. -Arguments : 1) 23 saveurs Depuis 1885 – grande expérience Dr Pepper cultive les jeunes ( Phrase énoncer sur la publicité ) -Fond : Sobre, ancien, le produit appairais fréquemment, -Couleurs : Dégradé du fauteuil à la canette ( Rouge ), couleur « anciennes » ( Brun bois, jaune, noir, jaune ) qui fait ressortir le rouge présent sur le produit. -Personnages : Le produit (Avec des lunettes ) -Originalité : Oui, le produit est présenté comme personnage ( Âgé )

Introduction Ce n’est pas un hasard si nous voyons rouge, rions jaune, devenons verts de peur, bleus de colère ou blancs comme un linge. Les couleurs ne sont pas anodines. Elles véhiculent des codes, des tabous, des préjugés auxquels nous obéissons sans le savoir; elles influencent notre environnement, nos comportements, notre langage et notre imaginaire. Les couleurs ont une histoire mouvementée, qui remonte loin, et qui raconte l’évolution des mentalités… L'art, la peinture, l'architecture, la décoration

toile De formes : géométriques ( triangles, trapèzes …); de volumes ( cônes, cylindres...) De couleurs : de tons chauds ( jaune, rouge ); de tons froids ( noir, blanc, gris ) De contrastes : noir / blanc ; chaud / froid Il a utilisées la technique du dégradé, il a utilisé des gestes lents, rapides, irréguliers, précis, hésitants. Ces gestes sont surtout précis car ils sont cernées de noirs; le dégradé nécessite une maîtrise techniques donc une précision. Le style de cette œuvre est le cubisme*

différents pays au G20 actuel à partir de 1999. La légende n’est composée que des éléments de surface pour indiquer à quelle date chaque pays ont fait partie du G20 actuel. Dans la légende, l’utilisation de dégradé de couleurs permet de juger du gradient d’intensité du phénomène ; plus la couleur vire au rouge plus le pays y est entré tard. Cependant elle exprime aussi ce qui est implicite ; la Russie actuelle est en rouge et cette forte connotation ne peut que faire référence à l’URSS communiste.

-Caractéristiques des formes : Sont-elles réalistes ou stylisées, figuratives ou abstraites, géométriques ou organiques, « ressemblant à… », « évoquant… » , « faisant penser à.. », ou absence totale de référence extérieure, simple jeu de formes et de couleurs ou de matériaux. -Composition :Tracez les lignes directrices (lignes de construction, lignes de forces « qui traversent l’oeuvre », grands axes sur lesquels l’image est construite). Quelles sont les lignes dominantes (verticales, horizontales, obliques

intérieur : il a faim, pas manger. V.26-34 obsession de pensée, v.21-23 geste non maitrisé mais répété V 17-18 V.43-53 2 idées fixes, la tête à déguster / le café crème Portrait psychologique du personnage très dégradé Personne à la fois anonyme et invisible (v.11 une tête couleur poussière : insiste sur un physique incolore, vaporeux).  Tout le portrait du personnage nous conduit par l’écriture de Prevet à ne pas le remarquer appartient à la dénonciation implicite de l’indifférence collective