Delphine De Nucingen

derrière lui quelques romans inachevés qui seront tout de même publiés. Autres œuvres de Balzac : Eugénie Grandet Les illusions perdues. La cousine Bette Le Cousin Pons Les personnages Le Père Goriot : Vieillard qui a dédié sa vie à ses filles, Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Pour elles, il n'hésita pas à ses ruiner, leur offrant tout ce qu'elles désiraient. (Au fur et au mesure de l'histoire et que sa fortune se lapide (s’anéantit), il monte dans la pension Vauquer). Son dernier vœu sera

neuf ans qui mène une vie noctourne énigmatique. Il a fait sa fortune pendant la Révolution. C'est un ancien fabricant de vermicelles,de pâtes d'Italie et d'amidon. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'ainée et Delphine, la cadette. Goriot fait les sacrifices pendant toute sa vie pour faire plaisir à ses filles. Il finit par mourir sans un seul sou. | Eugène de Rastignac | Jeune "ambititeux" qui rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Rastigniac

l’avait fait auparavant, des hypocrites autrement dit. A partir du moment où une personne ment sur ses vraies intentions, elle joue un rôle et le proverbe est donc applicable. Nous pouvons citer l’exemple des deux filles du père Goriot, Anastasie et Delphine, qui viennent régulièrement rendre visite à leur père qui s’est très bien occupé d’elles en leur donnant la meilleure éducation possible, les gâtant sans relâche et dépensant sans compter pour elles. Lorsque Goriot avait encore de l’argent, elles

par avance en pomper le miel ». - Paris réduit aux beaux quartiers : «  là où vivait ce beau monde » « Vendôme » « Invalides » > Paris apparait comme la ville des diners, des bals… avec « où commençait à briller les lumières » + diner projeté cz Nucingen. C. Le deuxième naissance de Rastignac. - Paris : objet de désir, une proie. > défi lancé par la célèbre apostrophe « A nous deux maintenant! » > provocation en duel. > marque sa certitude, son assurance. + métaphore filée de la fille «  tortueusement

Suite aux visites de ses deux filles, Delphine et Anastasie, une image d’échec de l’amour apparaît : celle de Delphine avec le baron de Nucingen; celle d’Anastasie avec son mari, M. de Restaud et avec son amant, Maxime de Trailles; et celle de l’amour paternel du Père Goriot pour ses filles. Tout d’abord, dans le début de cet extrait, Delphine vient se plaindre auprès de son père à propos de sa situation financière et lui dit tous ses malheurs sans penser que cela pourrait le blesser. Elle raconte

determination, des choix à faire. Toutes personnes confondu peut ce reconnaître dans Eugène, il vie des malheurs du quotidien que tout le monde vie comme le manque d'argent, il vie des petites choses de la vie quotidienne comme son aventure Delphine de Nucingen, rien de plus banale de nos jours. Voila pourquoi à mon sens Eugène de Rastignac est le heros de ce livre. 2) Les personnages secondaires sont : - Le père Goriot; c'est aussi lui le titre du livre. C'est un personnage qui influence Eugène

peut le faire entrer dans la haute société, lui livre. Le bonhomme a pour filles deux des femmes les plus brillantes de la société parisienne, richement mariées et mêlées à des intrigues de toute sorte : Anastasie, comtesse de Restaud ; Delphine, baronne de Nucingen. Leur père, veuf de bonne heure, leur a voué un amour exclusif, aveugle, est animé à leur égard d'une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s'est dépouillé peu à peu de ses biens en leur faveur, s'est ruiné, s'est

Cet amour est celui que se vouent les personnages ayant des liens de parenté, l’amour qui donc forme la famille. C’est le Père Goriot qui fait preuve du plus grand amour filial au cours du roman, l’amour paternel pour ses deux filles Anastasie et Delphine. En effet, cet amour de Goriot pour ses filles est si grand, qu’il ne vit que pour et par cet amour. Goriot « avait donné pendant vingt ans, ces entrailles, son amour ». Cet amour est permissif et aussi pardonne absolument tout en se laissant pas

cousine, Madame de Beauséant. Malgré ses premiers faux-pas dans un monde pétri de codes, il pénètre le mystère Goriot. Le vieil homme, qui ne paie pas de mine, a suffisamment doté ses deux filles Anastasie et Delphine, pour que l'aînée épouse un comte, et la cadette le riche banquier Nucingen. Maintenant que Goriot a tout sacrifié à l'ascension sociale de ses filles, il est devenu un père clandestin, qui a la folie d'adorer celles qui le tuent à petit feu. Vautrin, très intéressé par Rastignac,

gloire meurt heureux, comblé par l’amour de Madame de Rênal qui ne peut, elle, lui survivre. Eugène de Rastignac, lors de la mort de Goriot, qu’il a secouru et aimé, décide d’étouffer toute sensibilité, tout romantisme, n’idéalise plus Delphine de Nucingen mais son apostrophe à Paris : « À nous deux maintenant ! » n’est pas proférée sans amertume ni regret. Maupassant n’écrira plus, après Bel-Ami, de romans classés réalistes mais revendiquera « l’illusion de réel » dans la « Préface » de