Delphine De Nucingen

éducation bien trop supérieur à leur classe sociale, et leur procurant d'énormes dots (Goriot est devenu riche pendant les révolution et augmentant le prix des pattes (Il est vermicellier), il profite de la misère du peuple pour faire fortune). La Delphine deviendra baronne, Anastasie comtesse. Mais ce « Christ de la paternité » Il meurt principalement a cause de l’amour obsessionnel qu’il a pour ses fille. L'amour paternel abandonne toute morale le père Goriot est le type du père qui adore ses filles

Delphine Goriot, épouse du baron du Nucingen, est un personnage de La Comédie humaine d’Honoré de Balzac dont les aventures débutent dans le Père Goriot. Fille du vermicellier Jean-Joachim Goriot, née en 1792, elle a une sœur aînée Anastasie de Restaud. Les deux sœurs se jalousent et se détestent copieusement. Chronologie dans la Comédie humaine 1819 : Delphine de Nucingen apparaît pour la première fois dans le Père Goriot, femme du baron de Nucingen, qu’elle a épousé en 1808. Ce riche banquier

orpheline et Eugène de Rastignac, un étudiant. C’est Rastignac qui perce le mystère du père Goriot grâce à sa cousine, la vicomtesse de Bauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde. Goriot s’est ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Mais celles-ci le tiennent à l’écart : elles ont honte de leur père, enrichi sous la Révolution dans la fabrication des pâtes alimentaires. Vautrin révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir. Il veut

Honoré de Balzac, La Maison Nucingen La Maison Nucingen retrace en partie l'itinéraire du baron Nucingen, véritable « Napoléon de la finance » de La Comédie humaine. Pour le prodigue et toujours impécunieux Balzac, toute grande fortune s'édifie dans le secret et naît du crime. Le puissant financier rejoint cependant les sommets grâce à son énergie qui lui permet de ne pas sombrer dans les médiocrités de la société bourgeoise. L'action du passage suivant se situe dans un cabaret parisien où sont réunis

autres, devient amant de Delphine de Nucingen. Après la mort du père Goriot, il pousse son célèbre cri "A nous deux maintenant !", que Balzac complète par un ironique "Et pour premier acte de défi que Rastignac portait à la société, il alla diner chez la baronne de Nucingen." Le cri d'un arriviste. * 1820 : Le Bal de Sceaux écrit en 1829 Une année a passé. Le jeune « loup », amant de Delphine de Nucingen, est devenu banquier aux côtés de son mari, le baron de Nucingen. * 1821-1822

Langeais. Elles lui apprennent que le Père Goriot a consacré sa fortune entière au bonheur de ses deux filles, Anastasie et Delphine, toutes deux mariées (la première, au comte de Restaud, la seconde, au baron de Nucingen). Il est ému par le sort du vieillard, que ses gendres méprisent. Mme de Beauséant lui conseille d’arriver par les femmes et de tenter sa chance auprès de Delphine, la seconde fille du Père Goriot. Devinant que Rastignac a besoin d’argent pour mener à bien ses ambitions mondaines, Vautrin

vie, il a consacré son argent au bonheur de ses filles : Anastasie et Delphine.  Après leur avoir donné une bonne éducation, il les a marié au comte de Restaud et au banquier Nucingen. Maintenant qu’il se trouve dans la misère, ses gendres le méprisent et le vieil qui a donné toute sa vie à ses filles se retrouve évincé. Madame de Beauséant conseille à Eugène de séduire la fille cadette du père Goriot, Delphine de Nucingen. Eugène est de retour à la pension Vauquer où il décide d’apporter son

enterré au Père-Lachaise, célèbre cimetière de Paris. Eugène de Rastignac : Jeune homme 21 ans fils du baron de Rastignac, venu de Charente pour étudier le droit à Paris. Il est conseillé par sa cousine, Mme de Beauséant et par son amante, Mme de Nucingen. Ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Vautrin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il n'a pas de talent et cherche une riche maîtresse pour le faire entrer dans la haute aristocratie parisienne du XIXeme.

le droit à Paris. À la maison Vauquer, il rencontre Vautrin qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen. Vautrin/Jacques Collin/Trompe-la-Mort C'est un forçat évadé du Bagne de Toulon, qui a été condamné pour un faux, commis par un autre. En 1819, il se cache à Paris sous le nom de Vautrin. Il est trahi par un ancien camarade du bagne, surnommé

des autres, devient amant de Delphine de Nucingen. Après la mort du père Goriot, il pousse son célèbre cri "A nous deux maintenant !", que Balzac complète par un ironique "Et pour premier acte de défi que Rastignac portait à la société, il alla dîner chez la baronne de Nucingen." Le cri d'un arriviste. 1820 : Le Bal de Sceaux écrit en 1829 Une année a passé. Le jeune « loup », amant de Delphine de Nucingen, est devenu banquier aux côtés de son mari, le baron de Nucingen. 1821-1822 : Illusions perdues écrit