Démocratie chrétienne

Meriem SAIBI 24/11/2014 Le salut dans l’imaginaire des chrétiens occidentaux à la fin du Moyen Age « Le salut nous assure le paradis à notre mort ». Cette citation de saint Paul définit parfaitement ce que représente le salut pour les chrétiens. Il s’agit en effet d’être lavé de ses péchés et d’accéder à la vie éternelle auprès de Dieu au paradis. La fin du Moyen Age, que l’on peut situer entre 1320 et 1520, est marquée par une montée de l’angoisse du salut et par ce que Jacques Chiffoleau

symbole païen pendant des millénaires avant la fondation de l'Église Chrétienne. Elle a été découverte en Chine et en Afrique. Elle apparaît sur des pierres de l'Âge du Bronze Scandinaves représentant le marteau de Thor, leur dieu du tonnerre et de la guerre. Elle était considérée comme un symbole magique. Elle portait bonheur et détournait le mal. Agneau : symbole du Christ en tant qu'Agneau Pascal et aussi symbole pour les Chrétiens (comme le Christ est notre Berger et on a dit à Pierre de nourrir

qu'une jeune chrétienne peut être en couple déjà à mon âge ? Puis-je l'embrasser sur la bouche ? Puis-je me faire baptiser si je suis en couple avec ce garçon qui est chrétien depuis 1 mois ? Réponse : Tes questions sont très pertinentes, et démontrent ton souhait de vivre en harmonie avec ta foi. C'est bien de se poser des questions dans ce domaine avant de commettre des choses qu'on ne pourra plus effacer… Etre amoureuse d'un garçon n'est pas un péché, et bon nombre de chrétiens mariés se sont

Maréchal Pétain est d’abord Héros de la Nation puis Traître de la Nation. Nous pouvons trouver une autre illustration, bien plus ancienne, en l’Empereur Constantin, descendant d'une longue lignée d'empereurs romains persécuteurs des chrétiens, qui devint lui-même chrétien puis considéré comme un Saint (2). « A force de vouloir rechercher les origines, on devient écrevisse. L'historien voit en arrière ; il finit par croire en arrière » (3). Il est inutile de se concentrer sur ses origines mais il est

plusieurs histoires, les histoires des civilisations qui naissent puis meurent. L’histoire serait donc un enchevêtrement de trajectoires paraboliques. Un autre shéma très connu est celui selon lequel l’histoire à un début et une fin. C’est le shéma chrétien qui donne à l’histoire une trajectoire linéaire finie allant de la création au jugement dernier. Ce shéma ressemble à celui qui est le plus utilisé de nos jours, c’est à dire celui qui confére à l’histoire une direction linéaire mais sans fin.

Introduction : Les chrétiens ont étaient persécutés au Moyen-âge, au IX ème siècle lareligion à étais reconnu. En 476, l’empire romain s’effondre a cause des peuples barbares, malgré cette effondrement l’église reste et les peuples barbares finissent par devenir chrétiens, ainsi au XIèmesiècle l’église devient puissante. L’étymologie du mot « église » vient du grec « ecclésia » qui signifie « l’assemblé des croyants », la majorité de la population est catholique (99%) mais aussi descommunautés musulmanes

l’Eglise. Cependant le christ précise selon Gélase, que les empereurs peuvent fait appel aux pontifes pour tout ce qui concerne la « vie éternelle ». D- L’idée d’une hiérarchie entre les pouvoirs Gélase souligne dans ce traité que « Les empereurs chrétiens ont besoin des pontifes pour leur « vie éternelle », et les pontifes se servent des dispositions impériales (des lois) pour ce qui concerne la marche des choses terrestres. » En effet cela exprime l'idée d'une hiérarchie des deux pouvoirs et plus

du xixe siècle comme son chef-d'œuvre. L'Eucharistie (en grec ancien εὐχαριστία / eukharistía, « action de grâce ») est un des sacrements chrétiens. Elle occupe à ce titre une place centrale dans la doctrine et la vie religieuse de la plupart des confessions1 et est associée à la célébration liturgique principale du culte chrétien : la messe. Les chrétiens relient la célébration de l'Eucharistie au commandement donné par le Christ à la veille de sa Passion : « faites ceci en mémoire de moi ». Elle

fit de lui le père de l’histoire de France. Entre 575 et 592, Grégoire de Tours rédige une monumentale histoire du peuple franc des origines à 591. L’Histoire des Francs est une grande fresque en dix livres, dans la tradition de l’historiographie chrétienne. En cherchant à donner un sens moral à son récit, l’évêque de Tours narre les événements politiques, moraux et religieux du royaume. L’Eglise, dont il confie les luttes et les œuvres, est au cœur de son histoire ; il évoque ainsi la vie des premiers

son Père (Jn17, 21), le Saint Concile décide d’élaborer un décret pour encourager l’unité entre les chrétiens. De là, un mouvement se mettra en place pour rendre concrète cette pratique de l’œcuménisme. Ce mouvement s’appelle donc mouvement œcuménique. Il se définit selon les mots du concile comme « toute sorte d’entreprises et initiatives provoquées et organisées en faveur de l’unité des chrétiens selon les nécessités variées de l’Eglise et selon les circonstances »[2]. De plus, il y a lieu de spécifier