Denis Sassou-Nguesso

Générale du Congo des origines à nos jours ». L’Harmattan Juillet 2010. Denis SASSOU NGUESSO. Parler vrai pour l'Afrique, Edition Michel LAFON, Année 2009 Pascal LISSOUBA. Socialisme et Développement NGOY NGALA. Le retour des ethnies Ouvrages généraux et spécifiques Akindès Francis. Les mirages et la démocratie en Afrique subsaharienne francophone, Saint-Paul, Dakar, Diffusion Kartala, Paris, 1996 ; Bouche Denise, Histoire de la colonisation française, Fayard, Paris. 1991 ; Decraene

froidement par le démocrate Jacques Chirac qui refuse même de lui serrer la main en présence des photographes parce que dira t-on... Ce président n'est pas un démocrate. Au même sommet France-Afrique du Carrousel du Louvre est invité également Denis Sassou Nguesso qui lui aussi quelques mois plus tard, a également fait un coup d'état militaire. Au cours de cette opération plus de 15.000 personnes soit 0,6 % de la population vont trouver la mort. A l'échelle française c'est comme si un président venait

cette information aux chefs d’Etat de l’Uemoa qu’Alassane Dramne Ouattara a fait le tour de la sous-région la semaine dernière. Il a été mandaté, selon le diplomate, par le président français Nicolas Sarkozy. «En Afrique centrale, c’est à Denis Sassou Nguesso que la mission a été confiée d’informer ses homologues de la CEMAC mais aussi des Comores», ajoute notre source. Le diplomate assure que Sarkozy, compte tenu des problèmes que le Président sénégalais rencontre actuellement et surtout à cause

deux pays. A titre illustratif, on peut citer : Mariage : l’épouse du Président BONGO, née Edith SASSOU NGUESSO, comme son nom l’indique, est la fille du chef de l’Etat congolais Denis SASSOU NGUESSO. Camaraderie : plusieurs membres des deux classes dirigeantes se sont connus sur les bancs d’école. L’élève Omar BONGO a fait la plus grande partie de ses études à Brazzaville ; les généraux SASSOU NGUESSO et Jean Boniface ASSELE du Gabon ont été des condisciples dans la ville congolaise de Dolosie.

qu’il mène depuis un an pour une gestion transparente des revenus du pétrole provoque bien des remous dans la sphère de l’Etat. […] Tout commence en juin 2002, par une lettre des évêques de l’Eglise catholique congolaise au chef de l’Etat, Denis Sassou Nguesso. Les prélats y font part de leur souci de la dégradation des conditions de vie de leurs concitoyens – 70 % vivent en-dessous du seuil de pauvreté – dans un pays potentiellement si riche. (…) Soulignant le « jeu mafieux des réseaux pétroliers

SOUS-PARTIE N°2.1 Les troubles de l'ordre public favorisent, tout d'abord, les atteintes à l'Etat de droit en Afrique. Par exemple, au Congo, les élections législatives de 1992 n'ont pas permis aux partis politiques de s'accorder. Le candidat Denis Sassou Nguesso n'obtenant pas les ministères convoités recrute une milice : les Cobras. Ces derniers affrontent l'armée nationale et lui permettent de prendre le pouvoir en 1997. Autre exemple, au Nigeria, le président Obasanjo est suspecté de fraude électorale

dégradation des conditions de vie, ne manque pas de se mobiliser en cas de troubles politiques. Lors de la guerre de 1997, les miliciens Cobras sont recrutés parmi les jeunes des quartiers pauvres de Brazzaville pour soutenir l’ancien dictateur Denis Sassou Nguesso. Les Cobras prennent le contrôle de la ville et se livrent à des pillages. En Côte-d’Ivoire, ce sont les Jeunes Patriotes (recrutés uniquement parmi les moins de 25 ans) qui ont exercé les violences les plus graves vis-à-vis des ressortissants

France et ne tarde pas à éclabousser Omar Bongo et son entourage, la FIBA (French international bank of Africa), banque d'affaire dont la famille Bongo est actionnaire, au même titre que la République du Congo (dont la fille aînée du président Denis Sassou-Nguesso, Édith, est la seconde épouse d'Omar Bongo), étant mêlée à cette affaire politico-financière. Le 27 novembre 2005, Omar Bongo Ondimba est réélu avec 79,18 % des suffrages. L’opposition, avec à sa tête Pierre Mamboundou, dénonce ce scrutin

Dimitris Khristofias (Parti Communiste) COLOMBIE : Alvaro Uribe Velez (sans étiquette) COMORES : Ahmed Abdallah Sambi (indépendant) CONGO : Général Denis Sassou Nguesso COREE DU NORD : Kim Jong Il (Parti Communiste) COREE DU SUD : Lee Myung Bak (Parti National) COSTA RICA : Oscar Arias (Parti Libéral National) COTE D'IVOIRE : Laurent Gbagbo

des rapports de confiance avec son voisin ». Ces rapports de confiance mutuelle ont permis à Sassou Nguesso et Mobutu de normaliser le bon voisinage entre les deux pays. Ce climat pris fin avec l'arrivée de Laurent D. Kabila, puis de Joseph Kabila à cause d'une part de la présence des ex garde présidentielle de Mobutu au Congo Brazzaville et de l'autre, des relations qu'avait le président Denis S. Nguesso avec Jean Pierre Bemba. Pour des raisons d'ordre idéologique, l'insécurité a toujours régné à