Denouement Au Bonheur Des Dames

nous dit l'auteur du Rouge et le Noir. L'oubli du texte originel par Stendhal et les contraintes des genres de l'article et du résumé nous amènent à être méfiant vis-à-vis de ce commentaire de et sur Stendhal. De plus, nous verrons que du titre au dénouement, l'auteur oublie (volontairement ?) des explications utiles ou bien semble sur-interpréter son texte. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il arrive par certain moment que Stendhal perdre de vue son propre roman. N'ayant pas d'exemplaire

œuvre ? Ce roman de mœurs propose une critique de l’avarice, de la vanité et de l’égoïsme. C’est ainsi qu’on peut interpréter le dénouement malheureux des personnages. Cependant cette vision pessimiste de la nature humaine est contrebalancée par la fin ambiguë d’Eugénie. Chute ou montée au ciel ? En tous cas, Balzac montre que l’avidité ne mène qu’à un dénouement tragique. Ce roman de mœurs semble montrer la corruption collective de la société, ce qui est pour Balzac une caractéristique de

décharger la grand-mère. Alors on détela le cheval, qui fut attaché à un arbre ; et la voiture tomba sur le nez, les deux brancards à terre. Les hommes, ayant retiré leurs redingotes, se lavèrent les mains dans un seau d’eau, puis rejoignirent leurs dames installées déjà sur les escarpolettes. Mlle Dufour essayait de se balancer debout, toute seule, sans parvenir à se donner un élan suffisant. C’était une belle fille de dix-huit à vingt ans ; une de ces femmes dont la rencontre dans la rue vous

lui confie les hésitations de son coeur : elle refuse le Prince, mais, si elle devait abandonner Arlequin, ce serait pour un officier qu'elle a rencontré plusieurs fois, et qui n'est autre que le Prince (scène 1). Elle aimerait aussi se venger des dames de la Cour qui jugent sa beauté «rustique», son «agrément campagnard», et en particulier de Lisette, qui, conformément au plan de Flaminia, vient I'insulter, ce qui permet au bel officier d’intervenir et de prendre sa défense (scène 2). Silvia s’attendrit

majeur de la contestation en France ? Pour ce faire, j’évoquerai dans une première partie les débuts de l’Affaire, avant d’aborder l’essor des intellectuels et la création de deux camps opposés : dreyfusards//antidreyfusards. Enfin, je parlerai du dénouement de l’Affaire et ses conséquences. I. Les débuts de l’Affaire: Découverte du bordereau A. Trahison et condamnation. À la fin de l’année 1894, le capitaine de l’armée française Alfred Dreyfus, est accusé d’avoir livré aux Allemands

Comme ses personnages partis du peuple « s’irradient dans toute la société contemporaine », Zola nous présente plusieurs milieux dont les mineurs avec Germinal, les politiciens avec Son Excellence Eugène Rougon, les grands magasins avec Au Bonheur des Dames, les artistes avec L’œuvre, les paysans avec La Terre, le monde de la finance avec La Curée… Zola donne à la peinture naturaliste des milieux un but humanitaire : "Quand les temps auront marché, quand on possédera les lois, il n'y aura plus

.........120 XXVII NUIT. ......................................................................... 123 XXVIII NUIT. ....................................................................... 127 HISTOIRE DE TROIS CALENDERS, FILS DE ROIS, ET DE CINQ DAMES DE BAGDAD. ................................................... 127 XXIX NUIT. .......................................................................... 130 XXX NUIT............................................................................. 133

soit ceux qui errent, solitaires, dans les ravines sinueuses des immenses villes, soit ceux qui ont dit à l’homme abandonné, avec des yeux clignotants et spirituels: ‘‘Prends-moi avec toi, et de nos deux misères, nous ferons peut-être une espèce de bonheur!’’ Les immenses villes … reprend-il. Walter Benjamin a noté que contrairement à Victor Hugo, il n’y avait pas chez Baudelaire de description de la ville. Sa ville est une ville abstraite, métaphysique, voire théologique. Il cite Le cygne (Fleurs

pourtant, ce n’est qu’après avoir lu la nouvelle de cette mort, que j’ai compris toute la place que ce nom avait tenu dans ma vie mentale, tout l’enthousiasme que l’écrivain-poète avait jadis excité en moi, toutes les jouissances d’art, tout le bonheur intellectuel dont je lui étais redevable. J’écris chacun de ces mots de propos délibéré, parce que tout cela est de la vérité littérale. George Sand était une de nos contemporaines (quand je dis nos, j’entends bien à nous), une vraie idéaliste

encore à sourire, mais cette visite lui permet de résoudre l'énigme du Père Goriot. Les deux aristocrates se proposent de lui relater le drame du vieil homme : cet ancien négociant a fait fortune pendant la révolution. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'aînée et Delphine, la cadette. Après leur avoir offert une belle éducation, et leur avoir constitué une dot, il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen. Tant que le Père Goriot mettait