Densité d'énergie

Température d’auto inflammation Energie minimale d’inflammation (plus faible pour les gaz que pour les poussières) Densité des vapeurs à l’air Conditions d’utilisation Température, pression Manipulation Connaissance des produits et procédés b) ATEX poussières Les caractérisations physico chimiques des produits à poudre : Granulométrie (+ de 500µ pas de risque normalement d’ATEX) Densité concentration maximale et minimale Energie minimale d’inflammation (nuage/couche) Conditions d’utilisation Température

couleur cuivrée, aimant : NON, Densité : 8,9 Aluminium(Al) couleur gris terne, légère, aimant : NON, Densité : 2,7 Fer(Fe) couleur grise, avec des taches de rouille (oxydation), aimant : OUI, Densité : 7,9 Zinc(Zn) couleur grise, déformable, aimant : NON, Densité : 7,1 Or (Au) jeune, brillant, aimant : NON, Densité : 19,3 Argent(Ar) blanc argenté, corrosion avec des taches noires, aimant : NON, Densité : 10,5 Mercure(Hg) Ne pas

Japon, le Vietnam et Taïwan (densités >1000hab/km² dans les plaines, deltas et villes). Ex : Hong Kong, Tokyo, Séoul -Asie du Sud-est : forte densité dans les plaines et les deltas (ex : delta de Tonkin) ; sous-continent indien : + de 100 millions d’habitants environs. L’EUROPE Densité>700hab/Km² ; concentrat° élevée due à un développement industriel assuré et à l’abondance de travail. 3. REGIONS MOYENNEMENT PEUPLEES : L’AMERIQUE DU NORD Densité entre 500 et 700hab/km² (Nord-est

s   . ( : densité surfacique de charges) o 5. Relation entre  et . Charge pour une hauteur h du cylindre : Q  h  2Rh    2R .   Expression de Es en fonction de  : E s  . 2R o 6. Champ électrostatique : En surface E s  trouve E ext   C ext   E ext   R    C ext  Et on 2R o R 2 o  , identique au résultat de la partie I. 2 o  3 - III Énergie qu’il a fallu fournir pour charger le cylindre avec une densité  de charges : 1

circulation qui maintient la surface latérale du fil à 50°C. 1- Évaluer la température maximale dans le fil, si le courant qui le traverse a pour intensité I=300A. Exercice 6 : Un rondin à l’intérieur du quel est générée de la chaleur avec une densité volumique de puissance, P, est entouré d’une coquille en aluminium de rayon extérieur R2. L’ensemble est plongé dans un liquide à température uniforme T=200°C, servant à le refroidir. En supposant le régime permanant, on demande de calculer :

A la base il faut savoir que lorsque la température augmente la densité de l'alcool baisse . TT le principe de fonctionnement repose sur la flottabilité. Dans un liquide, les corps sont soumis à la poussée d'Archimède Les corps ont une flottabilité différente selon leur masse volumique. La flottabilité est la poussée verticale, dirigée de bas en haut, qu'un fluide exerce sur un objet immergé. La flottabilité agit toujours dans la direction opposée à la gravité. Si un objet est plus léger que

ISIFC 1 Elasticité Première partie : étude des contraintes Exercice 1 La figure ci-contre représente un cube élémentaire centré en un point P d'un milieu continu, ainsi que les densités surfaciques de force qui s’exercent sur les faces de ce cube. Ces densités sont exprimées en MPa (1 MPa = 106 N/m2).  Donner la valeur des composantes, dans la base    (e1 , e 2 , e3 ) , du tenseur des contraintes au point P. 30 e3 O e1 e2 ? . 20 40 P 60 Exercice 2 En un point P d'un milieu

d’explosion. C’est la concentration maximale en volume d’un gaz, au dessus de laquelle il ne peut être enflammé Température d’inflammation: C’est la température minimale à laquelle un mélange en proportion convenable, s’enflammera spontanément. Densité: Densité relative par rapport à l’air (=1) 5. Les classes de feux Classe Nom Description A Feux de solides ou dits secs Ce sont les feux de matériaux solides (charbons, bois, coton, tissus, papiers...) avec combustion vive ou lente. B Feux de

réalisent une sorte d’échographie du globe terrestre. Nous présenterons les principales conclusions de la sismologie et les faits qui en sont à l’origine. I) LA TERRE EST ESSENTIELLEMENT CONSTITUEE D’UN NOYAU ENTOURE D’UN MANTEAU AU SEIN DESQUELS LA DENSITE AUGMENTE AVEC LA PROFONDEUR A) Des zones d’ombre sismique pour les ondes P et S. Schéma 1 : zone d’ombre entre 103 et 140 ° pour les P, entre 103 et 180° pour les S directes. B) Les ondes P freinent et les S disparaissent lors de leur passage au travers

titane. On homogénéise le tout dans un mélangeur sous gaz neutre, pour prévenir toute inflammation des particules de titane. Le lot homogène est introduit dans une presse ou il est comprimé à froid, on forme alors des compacts (cylindre dense). La densité relative du compact permet toutes les manutentions pour constituer une électrode par empilement. On fabrique ainsi une électrode primaire, on fusionne les électrodes de titane par refusions à l’arc sous vide. Cela revient à créer un arc électrique